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L'Hydre
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bruna souffle sur le carreau.
dans la buée qui recouvre la vitre, elle dessine un vague bonhomme avec un gros baluchon posé à ses côtés. - voilà la silhouette. comment on va l'appeler ? la bergère ? le pêcheur ? le fantôme noir?
adeline yzac nous entraîne dans une histoire mystérieuse, en compagnie de deux enfants, à la poursuite d'un étrange personnage. qui est cette silhouette fantomatique ? que fait-elle ? que cache-t-elle ?.
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La dame blanche, sept contes fantastiques du périgord
Adeline Yzac, Agnès Gourlay
- L'Hydre
- 21 Novembre 2006
- 9782913703582
Il suffit parfois de peu pour croiser, sur les chemins du Périgord, d'étranges créatures venues du fond des âges, jaillies des mémoires et des imaginaires. Alors surgissent la Vieille du Puits, destinées à effrayer les enfants attirés par les points d'eau, le Dahu, tout droit sorti de la bouche d'un plaisantin, la Cacha Vielha, ce drôle de cauchemar qui adore torturer les estomacs des goinfres, la Dame Blanche, cette femme éphémère et mystérieuse, le Lébérou, galopeur de clochers, la Litre, à la figure douce comme celle d'une biche. Images du fantastique périgourdin, images de la nuit, images entre brumes et lune, ces sept récits nous emportent au creux de nous-mêmes.
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1244. Énéa, quatorze ans, vit dans un grand domaine au pied de Domme la Vieille, près du fleuve Dordogne.
Un soir, une escapade lui révèle un secret qui va la jeter sur les chemins, depuis le Périgord jusqu'à Carcassonne.
Énéa part à la recherche de sa famille dispersée par la récente croisade contre les cathares, elle parcourt un pays humilié par l'Inquisition et découvre le monde redoutable des adultes. Énéa va croiser bien des personnages hauts en couleur, des meilleurs aux pires, elle va risquer sa vie et sa liberté, puis peu à peu, trouver son identité et devenir plus forte...
Ce roman sur l'adolescence et sa quête d'absolu pourrait tout aussi bien se passer aujourd'hui, sous d'autres oppressions. Dans un style généreux, sensible et poétique, l'auteur nous entraîne à la suite d'Énéa la cathare, elle nous fait frissonner de joie et parfois de peur, et nous amène à partager le plaisir que libère son écriture.
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Je prends maman par la main, je la couvre d'une tonne de bisous, J'ajoute quelques pincées de câlins, Je soupoudre d'un zeste de chatouilles, Je berce délicatement le tout. Je savoure aussitôt.
