Ardavan Amir Aslani
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Le Pakistan ; de l'empire des Moghols à la République islamique
Ardavan Amir-Aslani
- L'Archipel
- 3 Juillet 2019
- 9782809826142
À la découverte de l'une des prochaines puissances mondiales...
Le Pakistan, le "Pays des Purs" en ourdou, est né dans le sang et les larmes, à la faveur de l'un des plus grands traumatismes du XX e siècle : la partition de l'Inde britannique en deux états indépendants, l'Inde et le Pakistan. Depuis 1947, ces deux pays vivent dans une haine réciproque, malgré les tentatives d'apaisement.
L'Inde et le Pakistan, nations qui abritent deux religions diamétralement opposées, l'islam et l'hindouisme, nations et religions qui ont pourtant cohabité au sein de l'Empire moghol des Indes. Construction politique et culturelle unique en son genre, imprégnée à la fois de la pensée de la Perse voisine et des cultures d'Asie centrale, l'Empire des Moghols contribua à la construction d'un islam original, "indien", symbolisé par autant de témoignages de pierre : le Taj Mahal d'Agra, le Fort Rouge de Dehli, les palais des États princiers...
C'est pourtant le Pakistan, État musulman, qui s'impose comme l'héritier culturel et politique de cette prestigieuse ascendance. Sa situation géographique et culturelle en fait une passerelle entre les mondes iranien et indien. De nos jours, malgré les tensions religieuses extrêmes qui ont jalonné son histoire, le Pakistan connaît une réelle évolution. Il deviendra sans doute, d'ici une dizaine d'années, le deuxième pays musulman le plus peuplé au monde.
Ardavan Amir-Aslani retrace la genèse de la complexe identité du Pakistan, marquée par des influences anciennes et diverses, qui en font aujourd'hui une entité à part sur la scène internationale. Il aborde les défis que ce pays puissant et fragile doit affronter dans un monde musulman en mutation.
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Alors que 2023 commémore le centenaire de la fondation de la République de Turquie, le géopoliticien Ardan Amir-Aslani analyse les enjeux et défis qui attendent la Turquie contemporaine, en retraçant ses évolutions de la révolution d'Atatürk jusqu'aux réformes autoritaires d'Erdogan.
Devenu Premier ministre en 2003, élu président en 2014, Recep Tayyip Erdogan a dépassé la longévité au pouvoir d'Atatürk. Son projet civilisationnel n'a pas changé. Il s'est même crispé et tient en trois mots : califat, néo-ottomanisme, pantouranisme. Son parti, l'AKP, s'est ouvert à l'Europe tout en rejetant ses valeurs, pour se concentrer sur la redéfinition du nationalisme turc, en rupture avec le sécularisme kémaliste.
Le pari d'Erdogan : devenir le « nouveau père » d'une nation phare de l'islam sunnite, reconnectée avec ses racines asiatiques et sa gloire impériale. Fût-ce au détriment des minorités kurde et arménienne, et au risque de fracturer une société partagée entre modernité et tradition, modes de vie occidental et oriental.
En dépit de l'agenda islamo-conservateur de ce président autoritaire qui se rêve sultan et de ses attaques contre le fait démocratique, la Turquie - urbaine, multiculturelle, ouverte à la mondialisation - demeure le pays le plus occidentalisé du monde musulman.
Sa diplomatie du chantage, son agressivité militaire dans son ancienne sphère d'influence, de la Libye au Caucase, auront-ils raison de la patience de ses alliés et de ses voisins ? Précarisés par une crise économique sans précédent, les Turcs oseront-ils rompre avec l'hégémonie d'un parti et d'une idéologie à court d'arguments et qui n'ont pas su améliorer leurs conditions de vie ?
Autant d'enjeux ici étudiés au regard de l'Histoire, des défis énergétiques et de la géopolitique d'une Turquie au bord de l'explosion, un siècle après la fondation de la République par Mustafa Kemal. -
De la Perse à l'Iran ; 3000 ans de civilisation
Ardavan Amir-Aslani
- Archipel
- 14 Mars 2018
- 9782809824025
De la Perse à l'Iran, 3000 ans d'histoire De la poésie soufie de Rûmi aux élégies amoureuses de Hafez de Chiraz, la culture persane participe pleinement de l'histoire universelle des sciences, de la philosophie, de l'art et des religions. Car l'Iran n'est pas limité au peuple iranien ni à ses frontières actuelles : géographiquement et historiquement, l'Iran est situé à un carrefour. Depuis toujours, il est impossible de comprendre une immense partie de l'Asie centrale et du monde islamique en laissant l'Iran et sa culture de côté.
Aujourd'hui, la culture musulmane de Perse, si admirée au Moyen Âge, vit pourtant un âge sombre. En Occident du moins, on s'en méfie, on l'ignore : fi de ces poètes qui chantaient la beauté de la femme et de l'amour, de cette diversité des courants de pensée qui prônait une culture de l'autre, de ces chemins vers une compréhension de Dieu et des hommes.
C'est contre cette réécriture fallacieuse d'un passé louable qu'Ardavan Amir-Aslani, spécialiste de l'Iran, veut s'ériger. Et redonner ainsi à la culture perse la place qui lui revient dans l'Histoire.
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Maison Al Saoud ; chronique d'une chute annoncée
Ardavan Amir-Aslani
- L'Archipel
- 22 Mars 2017
- 9782809821864
Depuis le début du règne des Saoud, en 1932, l'Arabie Saoudite s'est taillée un fief dans le sang, bénéficiant du soutien des Occidentaux qu'elle abreuve d'or noir. Ne possède-t-elle pas un quart des réserves mondiales de pétrole ?Cette dynastie tire son pouvoir d'un pacte vieux de deux siècles entre un prédicateur wahhabite et un émir. Alliance du sabre et du turban qui assura son hégémonie sur la péninsule et sur les lieux saints, permettant au courant le plus conservateur et sectaire de l'islam de diffuser sa pensée dans l'ensemble du monde arabomusulman - et au-delà.Or, dans cette monarchie absolue, le Coran constitue la seule source du droit et nourrit un corps de doctrine rétrograde qui méprise la femme, l'étranger, la culture et, bien entendu, la modernité. Mais, depuis 2013, le pays pâtit d'une baisse des cours du pétrole qui menace de faire s'effondrer ce colossal édifice. Ses alliés historiques jugent de plus en plus sévèrement ses liens troubles avec le terrorisme islamiste.Confronté à la désaffection croissante des États-Unis et au retour de l'Iran sur la scène diplomatique, le régime échappera-t-il à l'implosion ? Si ce colosse aux pieds d'argile finit par s'effondrer, la face du Moyen-Orient, de l'Islam et même du monde en sera à coup sûr transformée, pas forcément pour le pire.
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Et si au lieu de la démocratie, les printemps arabes ouvraient la voie à des régimes islamistes ? Le fait religieux est au coeur des grandes problématiques de notre siècle et oriente les décisions politiques. Il conditionne les choix et le devenir de millions d'hommes et de femmes. La chute du mur de Berlin avait suscité l'espoir d'un monde nouveau. Après les attentats du 11 Septembre, c'est maintenant au nom du religieux que les combats sont menés. Ainsi le Tea Party ou la droite religieuse donnent le ton de la campagne présidentielle aux Etats-Unis; l'Europe, au nom de ses racines chrétiennes, s'interroge sur son identité; dans un contexte de montée de l'extrême droite et des populismes, le débat sur le port de la burqa ou sur les prières de rue pose la question de l'immigration et de la place de l'islam en France et en Occident ; les clivages sunnites/chiites s'expriment dans les rapports entre l'Iran et ses voisins, dans le leadership du Proche-Orient ; l'Afrique est devenue terre de prosélytisme et d'influence politique, en témoigne l'action des évangélistes au Soudan ; l'Eglise orthodoxe russe apparaît comme une puissance au service du pouvoir; la société israélienne se déchire entre religieux et laïcs ; dans le monde indo-asiatique, les tensions régionales ou intérieures sont justifiées par la religion comme en Inde, au Tibet ou au Cachemire. Un livre qui suggère les nouveaux défis et enjeux auxquels seront confrontés citoyens et dirigeants de tous les Etats. Des analyses percutantes, un point de vue précurseur.
Avocat, Ardavan Amir-Aslani est spécialisé en droit international et a été en charge de nombreux dossiers brûlants d'actualité. Auteur d'Iran, le retour de la Perse, reconnu pour ses analyses, Ardavan Amir-Aslani est régulièrement auditionné par des think tanks et des commissions parlementaires, tant en France qu'à l'étranger, sur les questions relatives au Proche-Orient et à l'Asie centrale. -
L'âge d'or de la diplomatie algérienne
Ardavan Amir-Aslani
- Editions Du Moment
- 1 Octobre 2015
- 9782354174330
L'expression « âge d'or de la diplomatie algérienne » revient souvent sous la plume des acteurs, des témoins ou des historiens pour qualifier la politique extérieure que mena l'Algérie entre son accession à l'indépendance, en juillet 1962, et la fin des années 1970. Trois hommes vont conduire cette diplomatie : Ahmed Ben Bella, président de la République (1962-1965) ; Houari Boumediène, président de la République (1965-1978) ; Abdelaziz Bouteflika, ministre des Affaires étrangères (1963-1978).
Cet « âge d'or de » s'inscrit dans un contexte dominé par la Guerre froide, par la dégradation des relations franco-algériennes, par deux conflits au Moyen-Orient - la guerre des Six-Jours en 1967 et la guerre du Kippour en 1973. C'est également l'époque des dernières grandes figures des révolutionnaires tiers-mondistes, d'Ernesto Che Guevara (Cuba) à Nelson Mandela (Afrique du Sud), de Amilcar Cabral (Guinée-Bissau et Cap-Vert) à Samora Machel (Mozambique).
Quels sont les succès, les revers de cette riche période de la diplomatie algérienne? Quelle est la philosophie, ou l'idéologie, qui la sous-tendent? Le ministère français des Affaires étrangères et plusieurs personnalités algériennes ayant mis leurs archives à la disposition de l'auteur, il apporte un éclairage nouveau, des informations inédites à tous ceux qui s'intéressent à la place de l'Algérie dans le monde.
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Des rives de la méditerranée aux confins de l'inde, le monde est un chaudron oú pakistan menaçant par ses convulsions et sa bombe nucléaire, des attentats à bombay qui exacerbent les tensions entre l'inde et son voisin, la guerre à mort entre le hamas et israël qui rappelle que toute solution ne peut être que politique, le guêpier afghan, l'impasse sanglante irakienne, les mystères syriens, les déchirures libanaises et enfin le retour de la russie dans le caucase, ses convoitises en asie central et l'hégémonie énergétique qu'elle souhaite imposer, voici quelques uns des risques qui planent sur le monde.
Paradoxalement, le seul élément stabilisateur ne serait-il pas l'iran ? ce pays, irrigué par la culture multimillénaire de la perse, a de nombreux atouts: pivot de l'islam chiite, des réserves en hydrocarbures parmi les plus importantes du monde, son histoire et une jeunesse tournée vers l'avenir et la modernité. or avec le prochain scrutin présidentiel en iran (juin 2009), les circonstances semblent propices aux changements en attendant de connaître la politique du nouveau président américain barak obama.
Voici le dossier qui vous est proposé, sans tabous ni propagande, sur ce pays afin de comprendre le monde tel qu'il va, avec ses périls et ses solutions.
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Juifs et perses ; Iran et Israël
Ardavan Amir-Aslani
- Nouveau Monde
- Histoire
- 14 Mars 2013
- 9782365833547
Il y a trois mille ans. Cyrus sauvait les juifs exilés à Babylone et ordonnait la reconstruction du temple de Jérusalem. Il inaugurait alors une relation particulière entre les juifs et les Perses qui allait se poursuivre au-delà et malgré les aléas de l'histoire.
C'est au nom de ce passé que Ben Gourion. Premier ministre israélien, proposa au Shah un partenariat stratégique avec l'Iran qui perdurera jusqu'aux premières heures de la République islamique.
Iraniens et juifs et non, juifs et Iraniens, c'est ainsi que se définissent encore les membres de cette communauté, la plus importante du monde musulman. Retraçant les grandes dates des relations entre Iraniens et Israéliens, l'auteur nous fait partager tout autant la vision des Iraniens juifs, vivant en Iran, que celle des Israéliens d'origine iranienne. Il nous fait découvrir l'opinion qu'ils ont sur l'Iran ou sur les relations entre Téhéran et Jérusalem.
Ce livre est une réflexion sur l'avenir de l'Iran, ses relations possibles avec Israël dans un Proche-Orient où des dictatures islamistes risquent de s'ériger, brisant l'espoir suscité par les printemps arabes, isolant l'Iran chiite autant que l'État juif.
Un ouvrage essentiel au regard des élections présidentielles iraniennes auxquelles Mahmoud Ahmadinejad ne pourra se représenter, une échéance politique majeure alors que la menace de frappes israéliennes contre les installations nucléaires iraniennes demeure.
Avocat, Ardavan Amir-Aslani est spécialisé en droit international. Il intervient en particulier dans le conseil auprès des États, dans leurs contentieux internationaux et les grands contrats commerciaux. Auteur d'Iran, le retour tic la Perse et de La guerre des Dieux - Géopolitique de la spiritualité (Nouveau Monde éditions, 2011. paru aux États-Unis en février 2013 sous le titre Islam and the west - Geopolitics of faith, Enigma Books), il est reconnu pour ses analyses.
Biographie de l'auteur Avocat, Ardavan Amir-Aslani est spécialiste en droit international. Il intervient en particulier dans le conseil auprès des Etats, dans leurs contentieux internationaux et les grands contrats commerciaux. Auteur d'Iran, le retour de la Perse et de La guerre des Dieux - Géopolitique de la spiritualité (Nouveau Monde éditions, 2011, paru aux Etats-Unis en février 2013 sous le titre Islam and the west - Geopolitics of faith, Enigma Books), il est reconnu pour ses analyses. -
Iran - Etats-Unis ; les amis de demain ou l'après ahmadinejad
Ardavan Amir-Aslani
- PIERRE-GUILLAUME DE ROUX
- 23 Mai 2013
- 9782363710697
Isolement international, économie asphyxiée par l'arsenal des sanctions économiques destinées à contrer son programme nucléaire, spectre du fondamentalisme sunnite qui se développe dans les pays voisins. la situation de l'Iran, à la veille des élections présidentielles de juin 2013, appelle un sursaut salutaire.
Un renouveau qui passe sans nul doute par la sécularisation du régime, de l'aveu même de la quasi-totalité de la société civile mais aussi d'une grande partie du Clergé. Une évolution à ne pas confondre, toute fois, un seul instant avec le phénomène sanglant des « printemps arabes». Barack Obama semble l'avoir compris depuis longtemps, en amorçant dès son premier mandat, un rapprochement diplomatique spectaculaire avec l'Etat que ses prédécesseurs inscrivaient dans l'Axe du Mal aux côtés de la Corée du Nord et de l'Irak de Saddam Hussein. Des efforts qui sont pourtant loin d'avoir porté leurs fruits. A cela une seule et même raison : les préjugés tenaces qui continuent de porter préjudice à l'Iran et d'en brouiller le vrai visage. Ardavan Amir-Aslani, spécialiste de la question, proche d'Alexandre Adler, revient ainsi sur une série de questions fondamentales : la divorce entre le chiisme iranien dont la vocation est d'abord spirituelle et le sunnisme des pétromonarchies (Qatar et Arabie saoudite) qui prône le Djihad, la guerre sainte; les véritables causes de la révolution islamique de 79; le degré d'éducation et de supériorité culturelle de l'Iran; les véritables relations entre l'Iran et Israël; la nécessité du défi nucléaire; la poudrière régionale du Pakistan et de l'Afghanistan favorisée par les visées chinoises.
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Depuis le rapprochement entre l'Iran de Rohani et l'Amérique d'Obama, les cartes stratégiques sont totalement rebattues au Moyen et Proche-Orient, voire dans les pays du golfe persique.
Les Américains ont semble-t-il compris que les chiites ne sont pas leurs ennemis et, a posteriori, ont revu leur copie sur les attentats du 11 septembre.
En revanche, l'Islam sunnite est devenu un danger pour un grande partie du monde arabe, pour l'Europe et l'Occident de manière générale, en témoigne les visées hégémoniques de Daech qui ne cesse de s'étendre et de se renforcer.
Il découle des deux premiers points que l'Occident a intérêt à s'appuyer sur Téhéran pour combattre l'Etat Islamique (EI) et, en quelque sorte, refaire de l'Iran le gendarme de la région, comme à l'époque du Shah, avant la révolution et l'installation de la « mollahchie ».C'est ce grand bouleversement que l'Europe et notamment la diplomatie française a du mal à comprendre, que l'auteur décortique dans cet ouvrage. Un grand bouleversement dont il va falloir prendre la mesure si l'on veut être en capacité de combattre le terrorisme qui cible tous les pays revendiquant des valeurs et une civilisation aux antipodes de celles des djihadistes de Daech ou d'Al-Qaida.
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Le xxe siècle a vu le choc de deux idéologies, démocratie et capitalisme contre dictatures fascistes et communistes. Le xxie a d'ores et déjà fait voler ce clivage en éclats, révélant de nouveaux enjeux déterminants pour l'avenir du monde.
Cette ère nouvelle confirmera-t-elle l'effacement des États-Unis au profit d'une résurrection des grands empires - turc, iranien, russe et surtout chinois ? À la faveur de cette redéfinition des équilibres, l'Europe redeviendra-t-elle un acteur majeur de la scène internationale ?
Le siècle des défis verra-t-il la résolution d'interminables conflits - israélo-palestinien, indo-pakistanais, intercoréen -, l'émergence de l'Afrique et des sociétés du monde arabo-musulman, revitalisées par un nouveau contrat social enfin respectueux des droits et des libertés des peuples ?
Catalyseur de ces questionnements, la crise de la Covid-19 semble déjà placer l'humanité face à la nécessité de repenser le monde et de faire émerger des modèles de société plus justes, urgences auxquelles s'ajoutent les menaces climatiques et la raréfaction des ressources énergétiques.
Ce livre de réflexion et d'analyse se veut une introduction aux grandes tendances géopolitiques des temps intéressants où le monde est entré et dont il dresse la carte. -
Depuis plusieurs dizaines d'années, l'Iran a fait la une de l'actualité. Aujourd'hui, après les années de guerre puis de sanctions internationales, une ère nouvelle s'est ouverte avec un seul mot d'ordre : le développement du pays et l'appel à l'investissement étranger.
Alors qu'à l'horizon 2050, l'Iran sera la première puissance économique du Proche-Orient, de nombreuses entreprises étrangères veulent dès maintenant investir dans le pays et se positionner sur ce marché à fort potentiel.
Faire des affaires en Iran nécessite non seulement une bonne préparation et une connaissance fine des opportunités, d'évaluer la complexité du pays, mais de connaître aussi l'environnement des affaires, le système institutionnel, le droit, les circuits financiers, les lois régissant l'investissement étranger, ou encore les coutumes et les codes qui régissent la société.
Partant du constat que de nombreuses entreprises, grands groupes comme PME, souhaitent s'implanter en Iran, nous avons voulu à travers ce livre, leur apporter un guide indispensable et une véritable boîte à outils afin de leur donner les clés pour tout savoir et réussir.