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Prix
Benoît Guillaume
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"Les yeux Fayoum" est le second livre d'une trilogie consacrée à l'Égypte, au temps qui passe, au voyage et au regard. Le premier, "L'heure égyptienne", a paru en mai 2023.
Les yeux Fayoum fait référence aux "portraits du Fayoum", série de portraits peints sur bois et intégrés aux sarcophages des défunt.es dans l'Égypte romaine, du 1er au 3e siècle après J.C. Ces portraits, aujourd'hui conservés dans nombre de musées, dont le musée du Caire, nous frappent par le réalisme et l'acuité des regards. Puis on ressort du musée, on déambule dans les rues du Caire et à nouveau, les regards s'échangent.
Qui regarde qui, d'hier à aujourd'hui ?
Ce recueil de poèmes nous interroge : les yeux sont comme une fenêtre sur le passé, une trace de la personne, une connexion avec le vivant à travers le temps, nous regardons les morts qui nous regardent. Le temps passe, les yeux demeurent, un sentiment de vertige et d'intemporalité nous étreint. Les gens de l'époque romaine posaient et faisaient peindre leur portrait dans leur jeunesse, de leur vivant, pour laisser la trace d'un visage éternellement beau, un visage sans âge à travers les âges. Aujourd'hui, les portraits du Fayoum sont reproduits sur les murs de maisons égyptiennes par leurs habitants qui, par ces peintures, rendent hommage et se situent dans une filiation, tout en regardant passer les passants. Les passants croisent ces regards de temporalités croisées, puis reprennent la route et traversent des paysages. Les passants posent leur regard sur ces paysages communs que tant d'autres ont traversés. Est-ce qu'on traverse le temps comme les paysages ? Voyager en explorant ce lien entre les lieux et le temps, étirer le temps et l'espace, cela permet-il d'éloigner l'exotisme ?
Les poèmes de Ramona Badescu, les illustrations de Benoît Guillaume témoignent de ces regards, temporalités et des paysages traversés,
Qui regarde qui, d'hier à aujourd'hui ?
Après avoir parcouru les rues de Tétouan au Maroc, "Par hasard", et pris le "BUS 83" à Marseille, le duo Badescu-Guillaume est parti en Égypte à l'invitation du Port a jauni et de l'Institut français du Caire. Ils ont plongé dans "Les yeux Fayoum" comme dans la nuit des temps. Les Égyptiens eux-mêmes ne disent-ils pas eux-mêmes que l'Égypte est Oum ad-dounia (la mère du monde) ? Et que « celui qui boit l'eau du Nil revient toujours vers lui », dans une boucle intemporelle, depuis la nuit des temps, jusqu'à la fin des temps ? -
" Pour votre sécurité, nous vous demandons de patienter calmement dans l'enceinte du parc zoologique ", répètent inlassablement les haut-parleurs du zoo de Vincennes aux visiteurs perplexes. Toutes les issues sont fermées : plus rien ni personne ne peut entrer ni sortir. Et tous les réseaux sont en berne : pas moyen de savoir de quelle catastrophe ce confinement soudain les protège. Les hypothèses fusent. Un attentat ? Une pandémie ? Une attaque extraterrestre, pendant qu'on y est ? À moins que le danger ne vienne non pas de l'extérieur, mais de l'intérieur du zoo... L'incompréhension fait peu à peu place à l'impatience, qui glisse elle-même rapidement vers la panique générale. D'autant plus que les animaux commencent à sortir de leur enclos et à se comporter comme des humains : bêtement. Sauve qui peut !
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Ramona Badescu et Benoît Guillaume se sont mis à l'heure égyptienne alors que le monde entier entrait dans un nouveau confinement, en octobre 2020. Ensemble, l'une écrivant l'autre dessinant aux mêmes endroits aux mêmes moments, ils ont parcouru les quatre voies qui relient le Caire à Alexandrie, les corniches des ces deux grandes villes et leurs rues, étonnamment pleines de vie. Ramona Badescu s'est beaucoup intéressée au temps, au rythme lent, à la couleur du musée rose, à la voix de la chanteuse Najat al-Saghira dont elle découvre le nom, aux passants bras dessus bras dessous, de long en long, de long en large, sur ce bord de Méditerranée, sur ce bord de Nil... Benoît Guillaume s'est beaucoup intéressé aux antennes de télévision, aux marchés et aux gens qui marchent, aux enfants qui se baignent, aux passants charrettes voitures ânes cafés et vitrines entremêlés, entassés...
Le livre est composé en suivant une courbe :
- de dessins colorés à l'extérieur vers des dessins monochromes à l'intérieur ;
- d'Alexandrie au Caire ou inversement, selon de sens de lecture ;
- de la ville à la corniche à l'autoroute à la corniche à la ville ;
- et dans chaque poème revient cette "heure égyptienne", dont la temporalité et la définition se précisent de poème en poème.
"L'heure égyptienne" est le premier livre d'une trilogie, car outre le Caire et Alexandrie, Ramona Badescu et Benoît Guillaume ont gambadé dans le Fayoum et en Haute-Égypte... une autre Égypte reste à découvrir dans deux autres recueils à venir. -
Le thème des terrains vagues a été inspiré par le travail graphique de Benoît Guillaume, qui s'installe à même les rues, à même les champs, à même les gens pour croquer leurs instants. Ses carnets d'illustrations sur le vif, qu'il auto-édite, parlent selon nous du frottement entre l'urbain et le végétal, le construit et le naturel, la culture et la nature. Nous avons proposé à Géraldine Hérédia de s'emparer de ces différentes thématiques pour écrire neuf poèmes de "Terrains vagues" dans la veine de ceux qu'elle a déjà écrits pour Le Port a jauni : "Poèmes en paysages" (illustrations de Clothilde Staes, 2015), "Poèmes du soir" (illustrations de Corinne Dentan, 2016), "Poèmes sur un fil" (illustrations de Clothilde Staes, 2017).
Ces trois recueils ont été conçus selon un même principe : partir des images et de thématiques choisies ensemble pour écrire des poèmes, exercice dans lequel Géraldine Hérédia excelle ! Le corps en paysage ou le corps comme paysage était la thématique du premier ; le monde de la nuit, la peur, les bruits bizarres pour le second ; le cirque, l'errance, l'instant suspendu pour le troisième.
Dans ce nouveau recueil, les "Terrains vagues" sont explorés comme lieux frontières : lieu de l'enfance où nous vivons nos premières expériences de transgression, d'amitiés, d'amours ; lieu où l'on se cache à l'abri des regards du monde ; lieu abandonné, où la nature s'installe sur les traces de la ville, mobilier urbain et bâti.
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Ce recueil de poe'mes est le fruit d'une résidence improvisée par les auteurs durant l'été 2019, dans le bus N°83 à Marseille. Apre's "Par hasard" (Le port a jauni, mars 2019), Ramona Badescu et Benoi^t Guillaume ont proposé de reprendre le principe de ce premier livre et de renouveler l'expérience d'une résidence commune autour d'un the'me commun. Ensemble, ils ont pris le bus, tous les jours pendant deux semaines d'été l'une pour écrire, l'autre pour dessiner. Jour apre's jour, ils se sont installés au me^me endroit, l'un dessinait, l'autre écrivait. Jour apre's jour, au gré du hasard, ils ont relaté le monde qui les entourait, chacun de leur point de vue, les me^mes lieux, les me^mes gens, les me^mes sce'nes : ceux qui portent des écritures sur leur T-Shirt, ceux qui pensent à voix haute dans leur téléphone que l'a^ge c'est une question de management, celle dont les seins mouillés dessinent deux soleils sur le T-Shirt, la nuit qui tombe du la hanse de la Fausse Monnaie...
Mais pourquoi le bus N°83 ? Il me'ne du Vieux-Port à la mer, on y monte de jour comme de nuit, on peut en descendre à tout moment et le long de la Corniche d'autres surprises nous attendent.
Dans le bus N°83, on est dedans et dehors, en ville et à la plage, seul et entouré, tout à la fois, on monte dans le bus et toute la ville de Marseille est là.
Ramona Badescu et Benoi^t Guillaume nous livrent là, une nouvelle fois, une oeuvre poétique, artistique et sociologique tout à la fois. -
Ce recueil de poèmes est le fruit d'une résidence artistique à Dar Ben Jelloun dans la vieille ville de Tétouan, dans le cadre d'un partenariat entre Le port a jauni et l'Institut français de Tétouan. Ramona Badescu et Benoît Guillaume sont partis en résidence ensemble durant trois semaines au mois de mai 2018, l'une pour écrire, l'autre pour dessiner.
Jour après jour, ils se sont installés au même endroit, l'un dessinait, l'autre écrivait. Jour après jour, au gré du hasard, ils ont relaté le monde qui les entourait, chacun de leur point de vue, les mêmes lieux, les mêmes gens, les mêmes scènes : un concert de musique, la terrasse d'un café, l'orage menace, un cortège funéraire passe, un chat dort, près du four à pain... Les poèmes répondent aux dessins qui parlent aux poèmes, par hasard.
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Recueil de dessins « de voyage ». Ces dernières années, Benoît Guillaume a souvent travaillé à la peinture, en couleur : ce livre propose un retour en arrière avec une série inédite. Lors d'un voyage en Inde, entre 2010 et 2011, il dessine systématiquement des scènes de rues, de foules, de gares, etc, au crayon à papier, sur des feuilles de papier format A3. Il n'y a pas de couleur, mais il reste les détails, les motifs et les gens.
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Le café lui sert de départ
Nathalie Bontemps, Benoît Guillaume
- Le port a jauni
- Histoires Courtes
- 9 Novembre 2017
- 9782919511297
Le café lui sert de départ est le nom de la première nouvelle du recueil construit au fil des années et de ses déambulations urbaines par Nathalie Bontemps, arabisante et traductrice distinguée de la langue arabe ayant vécu plus de dix ans en Syrie. De Marseille à Damas, de Beyrouth à Paris, les nouvelles se succèdent comme autant de portraits de villes. L'écriture est intérieure et profonde, elle s'attache au ressenti des villes, à leur quotidien et à la rencontre intime de ses habitants. L'illustrateur Benoît Guillaume a pour usage de s'asseoir dans les rues urbaines et de croquer les scènes qui coulent sous ses yeux dans une mixture de pastels gras, de posca, de mine de plomb, de stylo bic et de peinture acrylique. Ses croquis pris sur le vif constituent un écho instantané aux réflexions profondes et construites de l'auteure. La traduction de ces nouvelles est due au grand poète contemporain syrien, Golan Haji, en connivence avec Nathalie Bontemps, dont il est le mari. En français comme en arabe, l'écriture est puissante et harmonieuse.
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Lucie se fait un devoir de transmettre ses dons de sorcellerie à ses deux filles jumelles, Maud et Lise. Ces dernières dépasseront bientôt, et de loin, les dons médiocres de leur mère, pour finir par (littéralement) voler de leurs propres ailes, laissant seule Lucie, aux prises avec l'éclatement du reste de sa famille. Le dessin puissant, réel et magique de Benoît Guillaume au service de l'adaptation du roman éponyme de Marie NDiaye.
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J'ai beau faire, je ne vais jamais bien loin (flip book)
Benoît Guillaume
- Éditions Flblb
- Flips Book
- 20 Juin 2006
- 9782914553520
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Délices : Le calme du jardin des délices est troublé par un couple qui se dispute le fruit défendu. Mais même dans le jardin des délices, tout est prévu pour se débarrasser des importuns.
Palpite : Une curieuse créature, puis deux, puis trois, dansent la sarabande dans les bois, au rythme cha cha cha d'un coeur qui bat.
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Virtuose, expérimentateur, Benoît Guillaume n'a pas fini de nous surprendre et fait son premier livre à L'Association en Collection Mimolette. Selon les dires de l'auteur, "Mathieu va devoir apprendre quelques rudiments de fantôme. Passer à travers les murs, communiquer avec les vivants, leur faire peur avec l'odeur de notre cigarette, avec une odeur de pisse... De petites choses, on le voit, des actes qui paraîtraient simples à première vue. Mais ces dons ne sont pas donnés de manière démocratique à tout le monde. Mathieu n'est pas le meilleur fantôme de la ville."
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Aung San Suu Kyi, Rohingya et extrémistes bouddhistes
Frédéric Debomy, Benoît Guillaume
- Massot éditions
- 19 Mars 2020
- 9782380352368
Le phénomène de l'extrémisme bouddhiste en Birmanie, incarné par le bonze Wirathu, a surpris tous ceux qui n'envisagent le bouddhisme que comme une religion de paix ou une simple spiritualité.
Pour l'expliquer, Benoît Guillaume et Frédéric Debomy se sont rendus en Birmanie, dévoilant au fil des déplacements et des rencontres les ressorts d'une société brisée par des décennies de dictature militaire et obsédée par les questions d'identité.
On y découvre que l'intolérance des moines extrémistes est largement partagée par la société et que les musulmans, cibles privilégiées, n'en font pas seuls les frais : les chrétiens ne sont pas toujours épargnés et les femmes largement discriminées.
Dans ce contexte, la plus célèbre des opposantes à la dictature, parvenue partiellement au pouvoir, déçoit, ce qui semble s'expliquer à la fois par un contexte miné et son évolution personnelle.
Le lecteur découvrira ainsi dans les pas des auteurs combien il reste à parcourir pour que ce pays connaisse véritablement la démocratie.
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Sur le fil ; dix ans d'engagement pour la Birmanie
Frédéric Debomy, Benoît Guillaume, Victor Sylvain
- Cambourakis
- 27 Avril 2016
- 9782366241990
La publication de Sur le fil complète celle de Birmanie, fragments d'une réalité, par les mêmes auteurs, Benoît Guillaume et Frédéric Debomy, accompagnés cette fois du dessinateur Sylvain Victor. Sur le fil est une BD documentaire consacrée à la «révolution Safran» qui eut lieu en Birmanie en septembre 2007.
La première par tie raconte cet événement mais elle raconte aussi ce qui se passait en France en ces jours où la Birmanie était à la Une de l'actualité mondiale.
La seconde partie narre ce qui s'est passé entre l'échec de la «révolution Safran» et le début du processus d'ouverture politique actuel : une période caractérisée par une forme de dépression liée au retour de la chape de plomb de la dictature militaire du régime.
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LE SOLEIL DE LOUXOR
Ramona Badescu, Benoît Guillaume
- Le port a jauni
- Poèmes
- 23 Mai 2025
- 9782494753297
"Le soleil de Louxor" est dédié au soleil, comme un motif qui rythme les poèmes en mouvement autour de ce village de Haute Égypte et son temple de l'Égypte antique, sur la rive droite du Nil, face au village de Gourna et ses tombes de l'Égypte antique.
Le motif du soleil vient nourrir les dualités propres à ce lieu :
- l'ombre / la lumière,
- les vivants / les morts,
- Louxor sur la rive droite où le soleil se lève, où l'on vit et prie / Gourna de la rive gauche où le soleil se couche et où l'on meurt et voyage vers l'au-delà,
- le jour / la nuit.
Ce recueil de poèmes est bâti comme une architecture autour du soleil, qui structure le livre et son langage.
"Le soleil de Louxor" est le troisième livre de la trilogie consacrée à l'Égypte par le duo Ramona Badescu et Benoît Guillaume.
Voyageant ensemble de Tanger ("Par hasard", 2019), à Marseille ("Bus 83", 2020), à l'Égypte, ils s'installent au même endroit au même moment, l'une écrit tandis que l'autre dessine, et au fil des jours, naissent les livres.
Après "L'heure égyptienne" (2023) consacrée au temps et au rythme des grandes villes Le Caire et Alexandrie.
Après "Les yeux Fayoum" (2024) consacrés au portrait et au regard à travers le temps dans cette oasis proche du Caire.
"Le soleil de Louxor" vient clore ce cycle avec celui du soleil. -
Birmanie, fragments d'une réalité
Frédéric Debomy, Benoît Guillaume
- Cambourakis
- 27 Avril 2016
- 9782366241884
La Birmanie est à un tournant de son histoire, avec les récentes et premières élections démocratiques dont est sortie vainqueure la lauréate du prix Nobel de la paix, Aung San Suu Kyi. À l 'aube des élections, Benoît Guillaume et Frédéric Debomy, lauréats du programme Hors les murs 2015, sont partis deux mois en Birmanie où ils ont rencontré militants, politiques, membres de groupes armés, moines, extrémistes bouddhistes, familles musulmanes, étudiants en grève. Dans Birmanie, fragments d'une réalité, ils leur donnent la parole. Un état des lieux de la situation complexe d'un pays dont on dit souvent un peu trop vite qu'il est sorti de 50 ans de dictature militaire.
La sortie de ce livre est accompagnée de la publication d'une BD documentaire, Sur le fil , consacrée aux quelques jours de la «révolution Safran» qui eut lieu en Birmanie en septembre 2007.
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De la fenêtre, le trompe-l'oeil
Benoît Guillaume
- La Cinquieme Couche
- Extracteur
- 19 Octobre 2015
- 9782390080176
Une panne, un vol de portefeuille dans un quartier décrépi et la vie de Bertrand bascule.
Il refait sa vie dans ce quartier populaire, aux prises avec la promotion immobilière. Tout s'ef-fondre autour de lui, mais Bertrand ne voit partout que beautés. Bertrand n'est pas distrait, il se concentre sur l'essentiel : la beauté des plantes vertes qui cachent les fissures sur les murs, les jeux des enfants qui jouent avec les fourmis et les souris de l'appartement.
Les subtiles bichromies de Benoît Guillaume portent cette fable urbaine aux accents de réalisme magique.
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De la fenêtre le trompe l'oeil - Ancienne Edition
Benoît Guillaume
- La Cinquieme Couche
- 20 Juin 2006
- 9782930356280
Une panne, un vol de portefeuille dans un quartier décrépi et la vie de Bertrand bascule.
Il refait sa vie dans ce quartier populaire, aux prises avec la promotion immobilière. Tout s'effondre autour de lui, mais Bertrand ne voit partout que beautés. Bertrand n'est pas distrait, il se concentre sur l'essentiel : la beauté des plantes vertes qui cachent les fissures sur les murs, les jeux des enfants qui jouent avec les fourmis et les souris de l'appartement.
Les subtiles bichromies de Benoît Guillaume portent cette fable urbaine aux accents de réalisme magique. Premier livre de Benoît Guillaume, De la fenêtre, le trompe-l'oeil ressort aujourd'hui après que l'auteur ait publié, depuis, Chúc Súc Khóe : carnet d'Asie chez Cambourakis, des flips books chez FLBLB et des carnets de croquis. Il participé à une multitude de collectifs.
Il a, entre autres, réalisé, avec Barbara Malleville, le court métrage d'animation Encore des changements d'après Henri Michaux. -
J’ai beau faire, je ne vais jamais bien loin
Benoît Guillaume
- Éditions Flblb
- Fictions
- 1 Juin 2003
- 9782914553209
On les connaît, ceux qui disent que pour prendre un bon départ dans la vie, il faut se propulser vers l'avenir, frapper un grand coup... Pourtant, certains n'ont pas les épaules pour ça.
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Parade
Benoît Guillaume
- Les Apprentis Reveurs
- Les Petites Fresques A Colorier
- 20 Avril 2017
- 3760180379224
Dans ce 12ème titre de la collection des Petites fresques à colorier, Benoît Guillaume nous transporte au coeur d'une procession joyeuse et féérique. Musiciens, animaux étranges, robots, geishas ou squelettes animent ce carnaval, quelque part entre l'Asie et l'Amérique du Sud.
Ce grand coloriage fourmille de détails et laisse une grande liberté à l'enfant, qui peut colorier seul ou accompagné, assis ou debout, par aplats ou en différenciant les détails, ...
Benoît nous entraîne dans une ambiance de fête, où les masques et les costumes permettent toutes les fantaisies ! En coloriant les détails de ce beau jeu de formes et de couleurs, l'enfant entre dans l'image et crée sa propre histoire.
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Cette collection propose une série de dessins d'un auteur, précédée d'un texte court où il nous parle de sa pratique artistique.
Benoît Guillaume est auteur de bande dessinée et illustrateur ( Birmanie : Fragments d'une Réalité, Cambourakis). Les dessins de ce livre sont issus des nombreux voyages qu'il a réalisé. Ses croquis d'observation expriment avec virtuosité le mouvement des villes et des hommes.
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En 2006 et 2008, Benoît Guillaume a effectué plusieurs longs séjours en Asie du Sud-Est, au Laos, Vietnam et Cambodge, seul, puis avec sa compagne Barbara Maleville, également dessinatrice.Il dessine beaucoup pendant ses voyages, et ramène plusieurs carnets qui constituent la « matière première » de ce livre. Récit en bande dessinée qui mêle petites aventures du voyage et histoires glanées au fil des rencontres, le livre est ponctué de pleines plages de dessins, en noir et blanc et en couleurs. Scènes urbaines, portraits croqués sur le vif, paysages entrevus d'un train ou d'un bus : ce livre donne une image très vivante de l'Asie quotidienne et populaire, et porte un regard distancié, parfois ironique, sur les hauts lieux du tourisme tels que Angkor ou la baie d'Along.
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49 petites histoires de la musique classique avec @revisonsnosclassiques
Guillaume Benoit
- De Boeck Supérieur
- 49 Petites Histoires
- 16 Octobre 2024
- 9782807364769
La musique classique est partout, dans les films, dans les séries, dans les publicités et sur scène, plus moderne que jamais. Mais qu'en connaissons-nous vraiment ? Qui pourrait soupçonner que Carmen fut d'abord un échec pour Bizet avant de devenir l'opéra le plus joué ? Qui a composé le premier opéra ? Comment une fistule de Louis XIV a-t-elle été à l'origine de l'hymne national britannique?
Révisons nos classiques nous propose une plongée dans l'histoire à travers 49 événements, morceaux et compositeurs célèbres ou oubliés, mais incontournables pour comprendre la musique qui nous berce aujourd'hui. -
Le garde-manger de Benoît Castel : 75 recettes à conserver pour bien manger plus tard
Benoît Castel, Guillaume Czerw
- Éditions de la Martinière
- 1 Septembre 2023
- 9791040113621
Bocaux et conserves abondent sur les étagères du garde-manger de Benoît Castel qui vous propose à votre tour de bien manger - en respectant les saisons et vos impératifs pécuniers, grâce à 80 recettes à conserver et déguster au fil de l'année.
Sur les étagères du garde-manger de Benoît Castel, on trouve un bocal de légumes du potager, une pâte sucrée toute prête pour y déposer des fruits frais, du praliné sarrasin amandes à tartiner sur des biscottes de pain de mie maison. Quand on veut bien manger toute l'année, il existe de délicieuses façons de conserver les parfums d'une saison tout en évitant le gaspillage. Benoît Castel, pâtissier-boulanger astucieux, nous livre 75 recettes de conserves de légumes et de fruits, de sauces, de pâtes « prêtes-à-cuisiner », de laits végétaux et de petites pâtisseries à déguster plus tard, ou à dresser au moment opportun. On apprend à transformer ses épluchures en bouillon, son pain sec en croûtons et son fromage en pesto. On respecte ainsi les produits jusqu'aux fanes et aux quignons. Alors remplissons notre garde-manger. Notre garde-bien-manger !