Ce matin, alors que la maîtresse écrit au tableau, celui-ci se met à parler: Hé, retourne-toi vite, Yoann fait des grimaces! La maîtresse n'en revient pas, mais, pas d'erreur, c'est bien le tableau qui vient de parler. Un tableau qui parle, c'est impossible! Et pourtant... Une histoire pleine de rebondissements.
Que se passerait-il si le tableau pouvait parler? Il y a de quoi éveiller la curiosité et en étonner plus d'un! Voilà la question à laquelle répond avec humour cette Histoire à la carte. Tantôt allié des élèves, tantôt confident de la maîtresse, ce tableau cache bien des secrets, et les enfants sont bien décidés à les découvrir.
Un concept interactif avec trois fins alternatives.
Bernard Friot offre un concept ludique et interactif en proposant un début et trois fins possibles! Voilà de quoi donner l'envie de lire de façon amusante à travers une série qui permet au lecteur de choisir sa fin préférée. Mais aussi d'explorer les différentes possibilités de l'histoire, voire même d'en imaginer de nouvelles pour s'approprier le livre. Un concept donc idéal pour aller plus loin dans sa lecture, seul ou à partager!
Une tranche de vie collégienne, bourrée d'humour, signée Bernard Friot.
Bernard Friot: un auteur phare des éditions Milan Les trois livres J'aime/Je déteste (J'aime/Je déteste le sport, J'aime/Je déteste le français, J'aime/Je déteste les maths et la musique) enfin réunis en un seul volume.
Le grand talent de Bernard Friot dans l'art de raconter: un style limpide, beaucoup d'humour, et un ton original qui font l'immense succès des Histoires pressées avec, ici, une histoire plus développée, pour peaufiner les personnages (toujours très attachants) et les rebondissements (souvent très inattendus).
Humour et impertinence En 6e tout irait bien... sans le sport! Romain a horreur du sport. Il accumule les bévues, et fait tourner le prof en bourrique, qui finit par convoquer sa mère. Aïe... Comment sortir de ce guêpier? En 5e, une nouvelle prof arrive pour lui compliquer la vie, la prof de français qui a décidé de les faire lire. Carnets de lecture, parcours de lecture, création de marque-pages: elle est déchaînée! Et, comble de l'horreur: un tournoi de lecture. Dix livres à lire! Comment Romain pourrait-il survivre à ça? Quand, enfin, Il passe en 4e, Romain est toujours en vie (ouf!), mais pour combien de temps encore? Car sa nouvelle prof de maths chante et donne des concerts (aux abris!). Elle décide alors de s'associer avec le prof de musique pour un projet pédagogique (au secours!). Mais, au fond, quelle importance: Romain, lui, ne s'intéresse qu'à Katia. Katia la gentille, Katia qui commence à avoir des seins... Katia, Katia, Katia... Mais Katia semble plutôt regarder le nouveau, Enguerrand... Attention, là, Romain est vénère, mais il n'a pas dit son dernier mot...
Identification assurée À travers les petits et les grands malheurs de Romain de la 6e à la 4e, collégiens et collégiennes vont retrouver leur vie: complexes, angoisses, profs trop bizarres, fous rires, secrets, petites vacheries et grandes complicités!
Une chouette lecture, drôle, impertinente, avec sa petite dose d'histoire d'amour qui ne gâche rien... (Stéphanie Baur Kaeser, Ricochet.)
Quelle est l'origine de notre modèle social et comment le prolonger ? Cet ouvrage analyse la mutation qu'a connue le salaire à travers la sécurité sociale financée par la cotisation. À la fois récit et théorie du salaire socialisé, il mobilise des données très riches, nulle part ailleurs réunies, sur la protection sociale française entre 1930 et 1990 : son financement, ses prestations et son fonctionnement, les débats intellectuels et les confrontations politiques, l'entrée successive des fonctionnaires, des cadres et des ouvriers, les impasses des analyses dominantes sur la « double répartition » des ressources.
Le salaire socialisé est au fondement des puissances du salariat contre la mainmise du capital sur le travail et sur nos vies. Bien connaître sa construction, c'est se donner les outils théoriques et factuels pour poursuivre la marche vers l'émancipation.
Une lampe qui brille, c'est normal. Une lampe qui ne s'éteint jamais, c'est un peu moins normal. Une lampe qui glace tout sur son passage, c'est carrément bizarre ! Et la suite ? Trois sont possibles, à vous de choisir !
Un matin, Pierre se réveille avec des pieds de géant... Que faire? Comment se réinventer avec ses attributs gigantesques? Cette étrange affaire va le pousser vers des aventures assez folles, des histoires de stars, de poissons et de clowns...
Les Histoires à la carte de Bernard Friot, c'est un début, trois fins... ou plus?
De jolis petits romans interactifs, a de guster de s 8ans.
Elle, c'est la grande soeur. Lui, c'est le petit frère. Il leur arrive des histoires, de drôles d'histoires courtes, des histoires pressées. D'ailleurs, elle est souvent pressée, elle aussi. Pressée de rire, de tricher, de râler. Pressée de grandir.
Ce qui s'est passé depuis 2010 et le débat actuel sur les retraits confirment la pertinence de l'analyse de la réforme, du diagnostic sur les raisons de l'impuissance des opposants et des propositions pour une riposte offensive énoncées dans L'enjeu des retraites. C'est pourquoi les cinq chapitres de l'ouvrage sont repris sans changement.
Une longue et nouvelle introduction actualise le propos :
D'une part, compte tenu de ce que l'on sait du projet d'unification des régimes dans un dispositif de comptes à points, ce texte propose une autre unification des régimes assurant 100 % du meilleur salaire net quelle que soit la durée de carrière ;
D'autre part, elle répond à des objections qui ont été émises sur tel ou tel point du texte de 2010 ;
Enfin, elle énonce en termes nouveaux l'enjeu décisif du conflit sur les retraites : qui travaille, qu'est-ce que travailler, quel statut économique des personnes ?
D'où le nouveau titre : Le travail, enjeu des retraites.
L'Enjeu des retraites, publié en mars 2010, a été vendu à 16 000 exemplaires. Nous ne tenons plus le compte des conférences, débats, lectures en librairie auxquels Bernard Friot a répondu. De même pour ce nouvel opus, Bernard Friot se rendra disponible pour toute sollicitation.
Avec humour et créativité, Bernard Friot propose un petit guide de l'écrivain pour les enfants : s'inventer un pseudo, apprendre à parler de soi, imaginer des scénarios, passer en revue ses différents records, faire dialoguer des personnages ; une panoplie de bonnes idées pour donner envie aux lecteurs d'inventer des histoires
Depuis quinze ans, Bernard Friot rencontre pour des débats ou des formations des militants qui s'interrogent sur les échecs répétés face à la mise en cause des droits sociaux et qui se mobilisent pour une production non capitaliste. Ils manifestent un intérêt croissant pour un propos qui montre les possibles politiques très concrets qu'ouvrent à l'échelle macro-sociale les conquêtes antérieures du mouvement ouvrier.
Généralisation de la propriété d'usage des entreprises par les salariés et expropriation des propriétaires lucratifs, salaire à vie et suppression du marché du travail, cotisation économique à la place du crédit pour financer l'investissement : si nous savons nous appuyer sur le déjà-là considérable des conventions collectives, de la fonction publique et de la sécurité sociale, une émancipation décisive du travail est à notre portée.
Devenus ainsi maîtres de la valeur économique, nous pourrons sortir la production de ses impasses écologiques, anthropologiques et politiques, et trouver, enfin, les moyens concrets pour émanciper le travail.
La maîtresse a mal à la gorge, elle ne peut plus parler... Et si elle tombait vraiment malade et qu'arrivait le terrible remplaçant...
Les "Histoires à la carte" de Bernard Friot, c'est un début, trois fins... ou plus ?
De jolis petits romans interactifs, à déguster dès 8 ans.
Amanda, fille du célèbre chocolatier Nicolas Fève, fait une overdose de chocolat ! Elle ne veut plus en manger. Jamais. Pour son père, c'est la fin du monde... Les "Histoires à la carte" de Bernard Friot, c'est un début, trois fins... ou plus ?
De jolis petits romans interactifs, à déguster dès 8 ans.
Le livre inscrit la « Blitzkrieg » de Macron dans le temps long de « la réforme » telle que Rocard l'a mise à l'agenda de tous les gouvernements depuis la fin des années 1980. Il sort la réforme du qualificatif vague de « néolibérale » pour la poser comme une contre-révolution. C'est l'objet du second chapitre qui explique tous les éléments dispersés des réformes du salaire, du droit du travail, de la protection sociale, du marché du travail, du travail indépendant, depuis trente ans, pour montrer que l'enjeu est d'instituer le travail selon des modalités capitalistes, en réponse au début de son institution selon des modalités communistes.
Pour commencer, un premier chapitre présente donc cette institution communiste du travail, telle qu'elle se construit dans la révolution du salaire au cours du 20 e siècle, avec l'affirmation du salaire universel, à la fois pour tous dans le salaire à vie - qui concerne plus du tiers des personnes majeures -, et pour tous dans sa socialisation pour subventionner l'investissement et rendre ainsi possibles des prémices de copropriété d'usage de l'outil de travail, sans propriété lucrative.
Le troisième chapitre analyse l'entreprise Macron comme la tentative d'une classe dirigeante rassemblée (mais avançant sous le masque de la « société civile »), de renouer avec la systématisation de la contre-révolution initiée par Rocard. Ce qui est perçu, aujourd'hui, par le gouvernement, le Medef et la Cfdt comme l'origine des insuffisances des réformes qui se sont succédé depuis Rocard, c'est seulement leur manque de systématicité ; ce qui est en jeu, aujourd'hui, c'est l'achèvement de ce mouvement réactionnaire et contre-révolutionnaire.
Le quatrième chapitre est une adresse aux militants qui se battent dans les entreprises et dans les services publics, ainsi qu'à ceux qui explorent ici et maintenant des formes de travail alternatives.
Sortir de la défaite ou de la marginalité suppose une mobilisation en permanence aimantée à la boussole de la copropriété d'usage de l'outil de travail, du salaire à vie et de la subvention de l'investissement, lesquels supposent une large socialisation de la valeur dans des caisses de salaire et d'investissement, gérées par les travailleurs en vue d'une tout autre production que la production capitaliste. Pour finir, l'auteur, dans le prolongement de L'enjeu du salaire et d'Emanciper le travail, explorera les voies concrètes que pourraient prendre une mobilisation se donnant pour objectif la révolution du travail.
36 poèmes inspirés de la vie quotidienne sont à découvrir dans ce beau recueil, qui se lit comme un journal intime. Un pêle-mêle de pensées, parfois cocasses et joyeuses, parfois mélancoliques et sombres, pour une véritable ode à la douceur de l'enfance.
Un recueil de poèmes signé Bernard Friot sur le thème de l'amour. Un petit livre qui ne s'interdit rien, car, quand on aime, tout est possible !
Un Bernard Friot en pleine forme, avec des poèmes malins, percutants et accessibles à tous.
Après la série des Histoires pressées, devenues aujourd'hui un classique de la littérature jeunesse, Bernard Friot fait un détour par la poésie. Ce serait même plutôt la poésie qui vient à lui. On le retrouve en effet ici tel qu'en lui- même. Avec son ironie parfois grinçante, son sens du sarcasme, son humour décalé, mais aussi sa pudeur, sa discrétion, sa façon inimitable d'en dire tant en si peu de mots.
Les mots, justement, dont il joue avec facétie (« J'aime le bruit que font les mots / J'aime les mots qui font du bruit »), mais qui cachent aussi, au détour des pages, quelques aveux désarmants : « Je n'ai pas envie de tourner la page / Pas envie d'aller au bout de la ligne. / J'ai trop peur du point final. / J'ai trop peur de la page blanche. »
Mêler la vie des grands compositeurs et leurs oeuvres, voici l'approche complètement original de cette collection. Dans la tradition de la collection culte Le petit Menestrel, le lecteur est entraîné dans un récit de vie remarquable en même temps qu'il découvre les principaux thèmes de l'oeuvre du compositeur à travers 10 extraits musicaux phares. Le but : montrer aux enfants que derrière chaque grande oeuvre il y a un créateur en chair et en os ; leur proposer, par l'approche narrative et le média audio, une découverte accessible du répertoire classique.
Avec humour et créativité, Bernard Friot propose un petit guide pour aider le lecteur à explorer sa vie. Se raconter, c'est remonter à ses origines, parler de ses racines, de son environnement familial, de ses droits, de ses passions... et se constituer ainsi son propre livre, à garder précieusement.
Comme un musée. Un parcours de rencontres. On regarde, on écoute, on découvre. On admire, on s'étonne, on imagine. On est ému (parfois), on sourit (peut-être). Comme un musée : un livre. Ce livre.
Lucas a 12 ans, une mère casse-pieds, une grande soeur enquiquinante et une petite soeur de 2 ans. Son père est parti depuis un an. A la suite des histoires pressées, pressées, voici de nouveaux textes pressés évoquant la vie quotidienne du jeune garçon.
L'angoisse : que va-t-il pouvoir raconter??? Décidé à ne pas divulguer ses secrets, Ben met en place un super stratagème et s'invente une autre vie en s'inspirant très fortement de celle de sa soeur Line. Mais cela va lui jouer quelques tours...
Cette année, ce n'est pas une erreur.
Cette année, ils ont vraiment envie d'être là, tous les deux.
Elle, c'est Marion ; lui, c'est Kev.
C'est l'été. Ils ont 14 ans. Ils ont grandi.
Et l'amour ?
L'amour ? Il est peut-être en train de grandir lui aussi...
"Un été de gourmandise, d'amour et de vie" est le deuxième opus de la série de Bernard Friot "Les Romans ateliers".
Histoires pressées, ce sont des histoires courtes à déguster à table entre deux bouchées, à l'école dans la cour de récré, ou ailleurs si ça nous chante.
Histoires à terminer, à raccommoder, à détruire en mille morceaux. Juste le temps d'un sourire, d'un frisson ou d'une émotion. Il arrive tant de choses bizarres dans la vie quand on sait comment la regarder !
méfiez-vous : tout peut changer ! le fils michat parce que sa mère l'a trop souvent appelé " mon chou " ; elisa-marie, à force de ne rien aimer au restaurant ; l'autobus quand il n'a que deux roues et une hélice ; le maître d'antoine, à trop fréquenter les loups-garous.
tout change, vite, vite ! juste le temps d'une nouvelle histoire pressée.
"Il y a toujours un enfant pour demander : comment fait-on pour inventer une histoire ? Il mérite une réponse honnête." Inspiré par cette phrase de Gianni Rodari, Bernard Friot invente un livre-coffret ingénieux et ludique, une véritable boîte à outils pour exercer son imagination, inventer des histoires et se lancer en écriture. Mettre en mouvement l'imagination des enfants et les inciter à écrire, prendre part en s'amusant à la création d'une histoire, voilà le contrat de lecture de cette boîte à outils de l'apprenti écrivain. Un carnet, intitulé "Moteur à rédaction", rassemble des activités qui sont autant d'ateliers d'écriture. Chaque atelier convoque des "outils" (jeu de cartes, plateau de jeu, moulins à paroles, réservoir à réel, catalogue de personnage, etc.) qui sont "physiquement" proposés à l'enfant. Le tout, carnet et outils, rassemblé dans une boîte à fermeture aimantée. Chaque atelier s'accompagne d'une histoire écrite par l'auteur et illustrant l'activité proposée. Une manière attractive et ludique de faire entrer les enfants dans l'écriture, sans qu'ils aient l'impression de faire des exercices scolaires.