Le rapport Qualité de l'air dans les modes de transport terrestres est le fruit du travail des experts réunis au sein du groupe « air et transports » de la section des milieux de vie du Conseil supérieur d'hygiène publique de France (CSHPF). Ce groupe de travail pluridisciplinaire associe des toxicologues, des épidémiologistes, des évaluateurs de risque et des environnementalistes. Il a été constitué en réponse à une saisine du CSHPF par la Direction générale de la santé. Son objectif était de dresser un bilan des connaissances actuelles sur la qualité de l'air à laquelle est exposée la population générale dans les modes de transport terrestres (automobilistes, usagers de taxis ou minibus, motocyclistes, cyclistes, piétons, usagers de bus, usagers de tram, usagers de métro, usagers de train).





Après la présentation de quelques éléments de contexte soulignant la place et l'importance des transports dans les activités quotidiennes, le rapport Qualité de l'air dans les modes de transport terrestres présente la synthèse bibliographique des travaux internationaux publiés entre 1995 et janvier 2006, pour documenter les expositions aux polluants atmosphériques dans les différents modes de transport terrestres. Dans un troisième volet, sont exposés, par mode de transport et par polluant, les résultats de ces études, ainsi que les déterminants des niveaux relevés. La dernière partie fait état des recommandations du groupe de travail pour les transports de surface et les transports souterrains, ainsi que des recommandations en termes d'amélioration des connaissances.





Ce rapport s'adresse à l'ensemble des acteurs concernés par la qualité de l'air dans les modes de transport terrestres : industriels, gestionnaires de transports terrestres, professionnels de santé, pouvoirs publics et associations de surveillance de la qualité de l'air... Lire la suite Fermer

Le rapport Qualité de l'air dans les modes de transport terrestres est le fruit du travail des experts réunis au sein du groupe " air et transports " de la section des milieux de vie du Conseil supérieur d'hygiène publique de France (CSHPF) . Ce groupe de travail pluridisciplinaire associe des toxicologues, des épidémiologistes, des évaluateurs de risque et des environnementalistes. Il a été constitué en réponse à une saisine du CSHPF par la Direction générale de la santé. Son objectif était de dresser un bilan des connaissances actuelles sur la qualité de l'air à laquelle est exposée la population générale dans les modes de transport terrestres (automobilistes, usagers de taxis ou minibus, motocyclistes, cyclistes, piétons, usagers de bus, usagers de tram, usagers de métro, usagers de train). Après la présentation de quelques éléments de contexte soulignant la place et l'importance des transports dans les activités quotidiennes, le rapport Qualité de l'air dans les modes de transport terrestres présente la synthèse bibliographique des travaux internationaux publiés entre 1995 et janvier 2006, pour documenter les expositions aux polluants atmosphériques dans les différents modes de transport terrestres. Dans un troisième volet, sont exposés, par mode de transport et par polluant, les résultats de ces études, ainsi que les déterminants des niveaux relevés. La dernière partie fait état des recommandations du groupe de travail pour les transports de surface et les transports souterrains, ainsi que des recommandations en termes d'amélioration des connaissances. Ce rapport s'adresse à l'ensemble des acteurs concernés par la qualité de l'air dans les modes de transport terrestres : industriels, gestionnaires de transports terrestres, professionnels de santé, pouvoirs publics et associations de surveillance de la qualité de l'air... Lire la suite Fermer

Objectifs et méthodes. Zinc. Sélénium. Fer. Fluor. Vitamine A. Vitamine D. Vitamine E. Vitamines hydrosolubles. Avis du Conseil supérieur d'hygiène publique de France

Cet ouvrage, qui est le fruit de la réflexion d'experts de divers horizons réunis au sein du Conseil supérieur d'hygiène publique de France, dresse le bilan des connaissances actuelles sur la contamination des aliments par diverses mycotoxines (aflatoxines, ochratoxine, patuline, zéaralénone, fumonisines) et précise les risques qui en découlent pour la santé de l'homme et des animaux.
Après des généralités sur la formation des mycotoxines, les sources de contamination des aliments d'origine végétale et animale sont répertoriées. Les données de toxicologie fondamentales, issues de l'expérimentation et celles tirées des enquêtes épidémiologiques sont présentées et analysées de manière critique et donne des indications tant du point de vue des mécanismes moléculaires impliqués que de la nature du risque (risque cancérogène chez l'homme, intoxications aiguës chez les animaux d'élevage, intoxications chroniques ainsi que les risques liés aux produits laitiers).
L'ouvrage décrit également les techniques analytiques couramment utilisées pour doser ces mycotoxines dans les denrées alimentaires et dans les fluides biologiques. De manière plus précise, les relations entre la présence de mycotoxines et les marqueurs biologiques annonciateurs d'effets délétères pour la santé sont discutées. Les niveaux de contamination habituellement rencontrés dans les aliments et les estimations des apports alimentaires en mycotoxines dans les pays industrialisés, dont la France, sont confrontés aux niveaux d'imprégnation de l'organisme considérés comme tolérables par diverses instances internationales et adoptés de manière consensuelle par les experts toxicologues.
Un chapitre est consacré à la description des réglementations mondiales actuellement en vigueur. Les techniques de décontamination de diverses denrées sont également décrites. En matière de santé publique, les auteurs recommandent pour chacune des mycotoxines étudiées (aflatoxines, ochratoxine, zéaralénone, patuline, fumonisines) des valeurs limites ou des valeurs guides, permettant de réduire le risque toxique associé à la consommation habituelle des aliments.
Evaluant l'ensemble des données disponibles (environ 2000 références), cet ouvrage est appelé à devenir une référence pour les professionnels de l'industrie agro-alimentaire ainsi que pour les étudiants et chercheurs en sécurité alimentaire et, en santé publique.
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Ce rapport, issu du travail de groupes d'experts mis en place par la Direction générale de la santé, présente un ensemble de recommandations destinées notamment à améliorer la précision et la compréhension des études d'impact jointes aux demandes d'autorisation de rejet et contenus dans les dossiers soumis à enquête publique. Ce rapport a fait l'objet d'un débat au sein de la section radioprotection du Conseil Supérieur d'hygiène Publique en France, qui a émit à ce sujet l'avis figurant dans ce volume.

Le présent rapport est destiné à l'ensemble des acteurs concernés par le risque sanitaire lié aux légionelles et notamment aux gestionnaires des établissements recevant du public et à ceux des bâtiments d'habitation.
En 1997 et en 1998, différentes actions de prévention de la légionellose ont été entreprises via la diffusion de circulaires ministérielles aux services déconcentrés, vis-à-vis des responsables d'établissements recevant du public comportant des installations à risque et en particulier des responsables d'établissement de santé. Puis, par arrêté du 19 juin 2000, des dispositions réglementaires spécifiques ont été édictées dans le domaine des établissements thermaux.
Afin de compléter les prescriptions existantes concernant les règles de prévention et de maintenance, le ministère chargé de la santé a demandé au Conseil supérieur d¹hygiène publique de France d'élaborer un rapport sur la gestion du risque lié aux légionelles. Après un rappel du contexte réglementaire et une synthèse des connaissances relatives à l'évaluation du risque, ce rapport propose des mesures de prévention du risque lié aux légionelles en fonction des installations concernées et en particulier en ce qui concerne les réseaux d'eau chaude.
Les recommandations portent sur la conception et la maintenance des installations afin de lutter contre la prolifération de la bactérie et sur les modalités de surveillance de l'état de contamination. Dans les réseaux de distribution d'eau chaude, le suivi de la température et l'analyse bactériologique de l'eau, en des points spécifiques, permettent de vérifier que les diverses mesures préventives mises en oeuvre limitent de manière significative le risque pour la population générale. Lire la suite Fermer