Gabrielle Cornuault
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Paris, un musée, un bistrot !
Gabrielle Cornuault
- Akinome
- Petits Carnets
- 15 Septembre 2023
- 9791096405862
Voici un livre en forme d'oeuvre d'art, dessiné et peint par une artiste de talent. En prenant comme sujet les musées (leurs oeuvres) et les bistrots parisiens, la carnettiste s'emploie à faire exploser sa palette.
Mêlant le croquis au trait noir, rapidement exécuté, et des peintures denses, expressives et figuratives, Gabrielle nous transporte en voyage et le lecteur devient touriste à Paris.
Découvrir les plus grands musées (Orsay, le Louvre, Arts déco...) ; se balader nez au vent sur les quais de Seine ; flâner et s'assoir à la terrasse d'un bistrot typique... Un carrnet de voyage qui dévoile la capitale pour tous ceux qui apprécient l'ambiance si particulière du Marais, des nouveaux quais de Seine, du 16e arrondissement verdoyant, du canal Saint-Martin... De balades en visites, les musées permettent à l'artiste de nous faire découvrir tous leurs trésors. -
Contes des volcans auvergnats
Fanny Sorbadère, Gabrielle Cornuault
- Editions de la Flandonnière
- 26 Mai 2023
- 9782491206253
Fanny est géologue, éprise de paysages et adore écrire des contes qui lui permettent de faire comprendre l'histoire de la Terre. Gabrielle évolue dans un monde imaginaire où ses talents d'illustratrice font merveille pour faciliter la visualisation des récits de Fanny, y compris dans les détails. Ces deux créatrices se sont bien rencontrées et procurent à un large public une approche originale et plaisir de l'histoire des volcans d'Auvergne. Cet album puise son inspiration dans l'esprit prolifique de Fanny qui a inventé ces récits de façon à raconter les événements géologiques à l'origine des volcans d'Auvergne sous le prisme d'un univers onirique qui permet aux lecteurs et lectrices de mieux s'approprier leur genèse et également de la transmettre aux plus jeunes.
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Voici les Villages d'un pays de Cocagne à l'envers, à tous égards villages envoûtés, d'inspiration fantastique. Et voici les Fleurs, où Mercè Rodoreda se fait la botaniste d'une flore de fantaisie noire. Ces contes sont des " résumés absolus de l'oeuvre tout entière ", comme le dit Bernard Lesfargues dans sa postface. Son imaginaire semble osciller, pour la cruauté entre celui de Swift, d'Ambrose Bierce et d'Edgar Poe et, pour le macabre, celui de Goya. Il est servi par un sens personnel des mots qui explique le pouvoir émerveillant de ces contes de sorcière plutôt que de fée.