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Henri Millet
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Trois femmes, trois collègues assistantes d'un couturier. Pas d'homme, à l'exception du boss qui n'apparaît pas mais téléphone beaucoup. Les trois filles, dont une délicieuse anglaise à l'accent prononcé, gaffeuse de surcroît, montent un sale coup contre le boss qui leur a caché des objectifs farfelus et naïfs. Deux actes, quatre personnages pour une petite pièce amusante et gaie, sans prétention.
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Histoires, anecdotes, et souvenirs écrits ou racontés à Élise au cours du temps. Sans classement, ni par sujet ni par genre, c'aurait été affreux ! Histoires vraies le plus souvent, ou imaginées, drôles le plus souvent aussi, et d'autres, citées, plus simplement parce qu'elles m'ont plu. Les sketchs sont originaux. Ce petit livre nous procure détente et optimisme. C'est le merveilleux compagnon de voyage, celui qui devrait être dans toutes les salles d'attente ! On peut le lire, le reprendre à n'importe quel moment, à n'importe quelle page ! Les choses tristes et moches sont exclues, l'ironie l'emporte, l'humour aussi, car il est partout, il suffit d'observer, et, parfois de se raconter une histoire qu'il aura inspirée ! C'est un petit livre qui pourrait. ne pas avoir de fin !
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François, jeune et beau garçon, est arrêté par la police pour un meurtre commis alors qu'il était avec sa maîtresse, l'épouse du procureur ! Il s'enfuit du commissariat et se réfugie chez elle. Il ne se cache pas du procureur, certain que celui-ci n'osera le dénoncer et avouer qu'il héberge un meurtrier présumé, amant de sa femme de surcroît. François rencontre des amis du couple, Jean, avocat et son épouse pour le moins original. Il n'hésite pas à pratiquer quelque petit chantage pour faire en sorte d'être innocenté. Suivent des situations cocasses et inattendues qui font l'originalité de la pièce avec autant de bonheurs que François, dans l'aventure, profite de la sympathie et de la complicité des deux femmes - la belle-mère du procureur et sa fille ! Tout finira bien grâce à Jean, l'optimiste, le bon copain. Une pièce animée, un peu « boulevard », qui nous offre de très bons moments de rire et de bonne humeur !
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Jipo et Jacqueline, son épouse, partent en vacances à Marrakech. Sitôt débarqués, Jipo est avisé par un appel de Janteau, Commissaire de police à Paris et anciens collègue, du fait qu'un ressortissant français a disparu alors qu'il était encore à l'aéroport de Marrakech. Janteau lui demande de l'aider dans son enquête. Les vacances seront donc partagées entre loisirs et boulot ! Ils rencontreront des gens charmants, futurs amis, et l'enquête sera finalement résolue, avec un succès qui fera de Jipo la vedette des journaux, tant en France qu'au Maroc !
Dans Les caprices de Jipo, ce dernier retrouvera ses nouveaux amis marocains et nous découvrirons la sympathique et toujours agréable Fliquette, la fille du Commissaire de Marrakech, Mr.Labri. Celle-ci participera à une nouvelle enquête, conduite cette fois à Paris. Dans cette affaire, le vol d'un bijou de valeur entraînera trois meurtres. Jipo y trouvera une notoriété grandissante, grâce, pour une part, à l'ambitieuse Fliquette.
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Jean-Paul Bertier, dit «JiPo», sympathique, brillant, raisonneur, ancien policier, ancien de Sciences Po est conseiller financier. Par on ne sait quelle magouille il se retrouve mêlé à une affaire de trafic de faux billets et de drogue. Avec l'aide de son épouse et de ses anciens collègues commissaires, il va opposer à la pègre son entêtement et son calme implacables.
