Des origines orientales du Temple à la création de l'Ordre, des actes d'accusation à sa chute, cet ouvrage d'investigation, érudit et passionnant, nous présente un autre visage de l'Ordre des Templiers._Avec un éclairage très intéressant sur la postérité de l'Ordre, le poids réel du Temple et son organisation...
« Manière de montrer Versailles » fut une épître composée par Louis XIV lui-même à l'usage de milliers de courtisans et de nombreux visiteurs étrangers. Loin de vouloir réaliser un guide touristique, il soulignait que la visite du château revêtait un caractère rituel. Versailles obéit à une volonté secrète du Roi : oublier les épisodes des guerres de Religion et de la Fronde pour réunir enfin les meilleurs dans toutes les corporations de métiers du royaume. Ainsi s'y retrouvèrent Le Nôtre, Mansart, Louvois aussi bien que Lully, Molière et Perrault. Ce sont eux « les grands architectes » de Versailles : de midi à minuit et de minuit à midi, des dizaines de milliers de personnes peuvent suivre la course du soleil, une bien étrange alchimie, du noir le matin au blanc le midi, pour s'achever dans le rouge du soleil couchant. Les quatre éléments sont représentés, à savoir l'air, par les 9000 ha du parc, la terre plantée de milliers d'arbres, l'eau par les innombrables bassins sans oublier la galerie des Glaces, et le feu par l'appellation même du Roi-Soleil. Voltaire pourra ainsi écrire que cette période de l'histoire fut réellement le Siècle de Louis XIV. À votre tour, grâce à ce véritable « guide initiatique », partez à la découverte de ce trésor de notre patrimoine et décryptez toutes les clés ésotériques qu'il recèle.
La symbolique maçonnique puise un grand nombre de ses sources dans l'Égypte ancienne. Rê ne symbolise-t-il pas le Grand Architecte de l'Univers, diffusant sa lumière ? L'oeil d'Horus a-t-il inspiré le troisième oeil maçonnique ? Quelle est la réelle fonction du Sphinx, dont le regard se porte vers l'Est ? Préexistait-il à ceux qui l'ont sculpté ? Quel parallèle entre l'apprenti qui doit tailler sa pierre brute et l'érection des pyramides ? De l'angle à l'équerre, de la croix au compas, d'Imhotep aux bâtisseurs des cathédrales, combien de ponts peuvent ainsi nous relier à cette civilisation égyptienne qui marqua de manière si prégnante tout le bassin méditerranéen et l'Europe entière ! Jacques Rolland nous fait pénétrer au coeur des plus grands mystères de l'Égypte car si nous savons comment les pyramides n'ont pas été construites, nous ne savons toujours pas comment elles l'ont été. Il nous propose un véritable voyage initiatique, décryptant l'énigmatique "Livre des Morts", nous conduisant au pied des pyramides de Saqqarah, à l'ombre du Sphinx, dans les chambres secrètes de la Grande Pyramide, nous faisant revivre les plus grands mythes de l'humanité, aux côtés d'Isis versant ses larmes sur Osiris afin de redonner vie à son corps. Tous ces symboles, si familiers au Maçon, trouvent ainsi leur écho le long des berges du Nil, dans cette civilisation dont l'héritage n'a pas encore fini de nous éclairer.
Peut-on établir une filiation directe ou indirecte entre l'Ordre du Temple et la Francs-maçonnerie ? Pourquoi la littérature maçonnique fait-elle l'impasse sur cette transmission ? Jacques Rolland nous propose, dans ce remarquable essai, fruit d'innombrables recherches, une étude sur la lente émergence de la maçonnerie à partir du phénomène templier. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, alors que l'on croyait l'Ordre du Temple disparu dans les flammes des bûchers, il allait essaimer plus largement encore qu'il ne l'avait fait de son vivant. Il léguait en héritage pour les siècles à venir ses idéaux et ses valeurs. Si la cathédrale des tailleurs de pierres est gothique, elle est plus encore Templière, pour avoir mis les hommes debout et en état de marche, car la véritable mission que s'étaient donnés les Templiers n'était-elle pas justement de provoquer une révolution sociale et économique ? L'héritage, telle une pierre précieuse, se retrouve entre les mains des Francs-Maçons. Et c'est pourquoi « Son nom fut autre et le même pourtant ».
À quoi reconnaît-on un franc-maçon d'un non franc-maçon ? Le sait-il lui-même ? Et pourquoi reste-il sans tablier ? Surtout quand il voit les membres d'une obédience défiler dans les rues pour demander la démission de leur grand maître. Pour le radical-socialisme d'Herriot dans sa bonne ville de Lyon, la maçonnerie était avant tout une société secrète et discrète. Tout cela a bien changé et les profanes ne s'y retrouvent pas. Ce livre a donc été écrit pour les maçons sans tablier, aux qualités humaines et de coeur incontestables, un peu paradoxalement pour qu'ils le restent, et tout aussi paradoxalement pour qu'ils nous rejoignent. Pourquoi ? Mais parce qu'ils peuvent nous apporter à leur tour des idées nouvelles sur la lumière de la Tradition. Jacques Rolland est reconnu comme l'un des meilleurs spécialistes français de la franc-maçonnerie et de l'ordre du Temple. Il est l'auteur d'ouvrages de référence sur ces sujets.
En 1730, la franc-maçonnerie comptait en France 60 loges, avec quelque 3 000 frères. En 1789, à la veille de la Révolution française, il y avait 620 loges, dont les loges d'adoption féminines, avec près de 20 000 «frères et soeurs». Ce siècle, dit «siècle des Lumières», est ainsi passé d'une société discrète et secrète, avec alchimie, occultisme et magie, à un courant philosophique, puis à un parti politique, et enfin à un parti révolutionnaire représentant une véritable force sociale. Huit affaires, plus ou moins connues du grand public, font ressortir la pénétration et l'action déterminante de la franc-maçonnerie dans le déclenchement de la Révolution française et de ses conséquences. Jacques Rolland est reconnu comme l'un des meilleurs spécialistes français de l'Ordre du Temple. Il est l'auteur d'ouvrages de référence sur ce sujet.
Oeil existe un Trésor des Templiers ; même les historiens ne songent à le contester.
Par contre, nul n'en administre la preuve. Dans cet ouvrage, un examen minutieux de ce courant révolutionnaire que fut l'Ordre du Temple a permis à Jacques Rolland d'échafauder de très sérieuses hypothèses. Il prend en considération le contexte politico-religieux du Xème et XIème siècles pour y découvrir l'existence virtuelle, encore subliminale en quelque sorte, des éléments constitutifs de ce Trésor.
Nulle part en cette Europe des Lumières de la fin du XVIIIème siècle, la participation des femmes n'aura été aussi déterminante qu'au cours de la Révolution française. Le sacrifice - car cela en est un - de la princesse de Lamballe et d'Olympe de Gouges rejoindra celui de l'architecte Hiram et de Jacques de Molay, victimes eux aussi de l'ignorance, du fanatisme et de l'ambition. Ces femmes franc-maçonnes, ces soeurs féministes dans l'âme, polémistes, auteures à succès, journalistes de talent, salonnières ou Vendéennes, libérèrent leur conscience les armes à la main. Que l'on songe à l'extraordinaire aventurière que fut Marie-Thérèse de Lamballe, contrant la révolution tout en s'efforçant de l'infiltrer pour la modérer. Elles se dressèrent contre toutes les formes d'oppressions, politiques comme religieuses, et furent à leur tour calomniées par l'intelligentsia catholique de l'époque pour leurs comportements et prises de position. Ces « maçonnes », femmes de tête, de coeur et de courage, ont droit à notre reconnaissance pour avoir défendu, au péril de leur vie, le droit des femmes à disposer d'elles-mêmes. Ce livre leur est dédié.
L'ordre du Temple, créé en 1129, disparut moins de deux siècles plus tard, dissous lors du concile de Vienne. Il se conclut par l'exécution de son Grand Maître Jacques de Molay en 1314. Comment expliquer l'engouement, sept siècles plus tard, pour cette page de l'histoire ? Cet ordre n'a cessé d'être auréolé de mystères, faisant naître maintes légendes : quête du Saint-Graal, trésors fabuleux, découverte de l'Amérique, survivance après sa dissolution. de nombreuses interrogations subsistent. Jacques Rolland, spécialiste renommé des Templiers, met à jour dans cet ouvrage un autre secret jamais évoqué, car certainement l'un des mieux gardés. À travers six tentatives de coup d'État en Orient comme en Occident, l'ordre du Temple poursuivait en réalité un but ultime : la création d'États templiers où le roi règnerait, mais ne gouvernerait pas. En Occident, les royaumes du Portugal, d'Aragon et de France ; en Orient, le comté d'Édesse, Ascalon et la cité-forteresse de Kérak. Ces tentatives de coup d'État ne relevaient pas des missions officielles de l'ordre. Les Templiers protégèrent, jusqu'à leur dernier souffle, trois importants secrets : l'un d'ordre dynastique, un deuxième d'ordre matériel et, enfin, un secret d'essence spirituelle. Mais est-il bien sûr que ces six coups d'État aient échoué ?