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Le Manuscrit
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Kay ne trouva pas le sommeil tout de suite. Etait-il en effet raisonnable de s'aventurer si loin dans une brousse hostile pour y découvrir une tribu aux moeurs particulières ? Pao était quelqu'un d'honnête, cela se voyait dans son regard, mais que penser des autres Indiens vivant aux confins de l'Amazonie ? Kay avait entendu parler des réducteurs de têtes qui avaient longtemps pratiqué le cannibalisme, il savait aussi que John était toujours armé de son revolver lorsqu'il partait en expédition. Il repensa beaucoup à cette histoire d'entité chez les Marawas. Les Indiens semblaient vraiment y croire et il suffisait de voir Pao raconter ce qu'il avait entendu pour être impressionné. Le jeune homme finit par s'endormir les questions sans réponses, la chaleur et les créatures nocturnes.
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La couleur noire, une obscure clarté
Eric Agbessi, Renaud Dumont
- Le Manuscrit
- 27 Février 2013
- 9782304041620
Ouvrage qui s'inscrit dans le prolongement des deux premiers volumes de l'ouvrage collectif sur la couleur noire, Le Noir couleur dangereuse ou transgressive ? regroupe une quarantaine d'interviews portant sur la perception de la couleur noire vécue par des acteurs issus de milieux très différents, artistiques (théâtre, photographie, peinture, sculpture, musique, danse et bien d'autres encore), littéraires ou universitaires, certains contributeurs aux ouvrages précédents, d'autres non. L'analyse de ces entretiens tente de mettre en lumière la façon dont chacun vit la différence entre ce qui se conçoit collectivement et la réalité pratique d'un quotidien qui en est parfois éloigné. Tous ces témoignages s'inscrivent dans la problématique d'un « vivre ensemble », au carrefour de l'artistique, du civilisationnel et du communicationnel.
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Certains diront que cette histoire est vachement folle ! Vrai qu'elle débute au milieu du vingtième siècle, non pas chez les réducteurs de têtes d'Amazonie, mais chez les mangeurs de morts de Nouvelle-Guinée... Vrai que le « Cinquième quartier » n'a rien à voir avec une orange, la lune ou une métropole, mais avec ce que l'on pourrait nommer une usine de traitement de viande surprenante. Qu'importe à Renaud Adnet que son histoire soit ou ne soit pas vachement folle ! Sa plume prend le taureau par les cornes et le lecteur par la main. Etrange voyage où une affaire grave de contamination collective prend la dimension d'un conte burlesque...
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Proserpine, reine des enfers, adorée et crainte, comme la vérité. Et la Providence, ce qu'il advient ou ce qui provient, ce que Dieu décide. Lecteur, lis donc ce roman comme il se doit, avec crainte et adoration, car la Vérité est plus inaccessible que le plus haut sommet. Elle revêt bien des apparences, et en empruntant le chemin qui y mène, tu trouveras des embûches, des obstacles, des énigmes qu'il te faudra résoudre, et des faux semblants pareils à des mirages qu'il te faudra démasquer.
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Un navire de recherches archéologiques français découvre les restes d'une épave viking, au large de Terre-Neuve. Durant toute la durée des fouilles, un vaisseau américain, le Black Shark, surveille inexplicablement les français. Cette présence fait courir des bruits au sujet d'une précédente mission archéologique disparue corps et âmes... OTAN, missiles, ratage technique... Une fois l'épave remontée a la surface, des analyses minutieuses dévoilent aux archéologues des indices troublants. Bertrand et Franck, les deux compères embarqués depuis le sud du Portugal dans cette aventure, vont-ils parvenir a déjouer la malédiction qui pèse sur l'or des Vikings ? Et quel est donc le véritable lien entre l'épée de Rollon, chef viking, premier duc de Normandie et le naufrage du Titanic ?
