Peut-on ressusciter une enfance? Devenu père, Karl Ove Knausgaard se penche sur ce continent englouti. Il se retrouve face à cet autre lui-même, gamin trop sensible grandi à l'ombre d'un frère solaire, d'une mère souvent absente et d'un père aux colères imprévisibles. La lente maturation des sentiments, les flirts inquiets, la passion du rock et ce défaut de prononciation des r, qui lui gâche l'existence... Knausgaard dessine une carte ultrasensible de ses premières années. Un voyage affectif d'une fidélité absolue qui réserve des instants de pure lumière.
Immense succès en Norvège, traduit dans le monde entier, La mort d'un père est un livre à la fois intime et universel. Il pose la question de la possibilité pour la littérature de dire la vie, rien que la vie mais toute la vie.
Dialogue à travers les siècles entre les deux plus grands artistes norvégiens.Tant de désir pour si peu d'espace conjugue histoire de l'art, récit biographique et réflexions personnelles. En s'intéressant à Munch, Karl Ove Knausgaard donne à voir la vie d'un homme tourmenté et complexe qui fait écho à sa propre existence. Ainsi les thèmes fondamentaux comme l'angoisse, la mort et la mélancolie sont-ils au centre de l'oeuvre des deux hommes.L'ouvrage, illustré des quatorze tableaux de Munch les plus remarquables selon Knausgaard, est une réflexion passionnante sur le rapport de l'homme à l'art.Un récit brillant et personnel consacré à Edvard Munch, figure tragique de la peinture expressionniste.
À quarante ans, Karl Ove Knausgaard est sur le point de devenir un auteur reconnu à travers le monde entier. Il partage son quotidien entre l'écriture de ce qui sera son grand oeuvre et l'éducation de ses trois enfants en bas âge. Sa vie à Malmö est réglée comme du papier à musique. Jusqu'à ce que son oncle s'oppose à la publication de cette autobiographie. L'interdit remet en cause la seule certitude de Knausgaard : celle de son destin d'écrivain. Pour s'accomplir en tant qu'homme et père, il doit raconter son histoire, sans rien taire.
Un homme amoureux n'est pas un livre comme les autres. C'est le coup de foudre, la fusion et la séparation, toutes les étapes du sentiment amoureux qui sont décrites avec la même énergie brute et la même justesse que dans La mort d'un père. Car Knausgaard est devenu père et cette expérience bouscule tout sur son passage. Il évoque les luttes quotidiennes d'une vie de famille, l'humiliation des cours de rythmique postnatale, les disputes avec les voisins. et comment pousser un landau dans Stockholm quand tout ce que l'on veut faire, c'est écrire. Le lecteur voit, sidéré, la vie de l'auteur se dérouler sous ses yeux, dans toute sa rage et sa profonde sincérité : un homme à l'irrépressible envie d'écrire, qui oscille en permanence entre pensées morbides et énergie vitale.
Par une belle journée d'août 1969, une famille emménage à Tromøya, dans le sud de la Norvège. Le fils cadet, Karl Ove, va y passer son enfance, rythmée par les expéditions à vélo, les filles, les matchs de football, les canulars pyrotechniques et la musique. Pourtant, le jeune Karl grandit dans la peur de son père, un homme autoritaire, raconté dans La mort d'un père.
Ce troisième opus est le portrait d'un enfant sensible, à la personnalité complexe. Knausgaard y dépeint cette période de la vie où chaque victoire et chaque défaite est ressentie avec violence, et toute tentative de se construire vouée à la frustration.
Un roman intime sur l'éveil d'une conscience, le poids du passé et le besoin viscéral de découvrir d'autres mondes.
À vingt ans, Karl Ove s'installe à Bergen, ville portuaire du sud de la Norvège. Il est le plus jeune élève jamais accepté à la prestigieuse Académie d'écriture et arrive débordant d'enthousiasme et d'ambition littéraire. Mais rapidement ses illusions de jeunesse volent en éclats.
Son écriture se révèle puérile et pleine de clichés, et ses efforts de socialisation se soldent par des échecs cuisants. Étant un cas désespéré avec les femmes et très timide en société, il noie son humiliation dans l'alcool et le rock. Puis, petit à petit, l'horizon commence à s'éclaircir. Il tombe amoureux, renonce à l'écriture pour se consacrer à la critique littéraire, plus immédiatement gratifiante, et les premières pierres de sa vie d'adulte sont posées... Jusqu'à ce que ses pulsions autodestructrices et l'attrait irrésistible de l'image de l'écrivain torturé le reprennent et le fassent sombrer à nouveau. Un cinquième tome qui retrace les quatorze années de la vie d'un jeune homme qui se rêve écrivain, de ses 19 jusqu'à ses 33 ans.
À dix-huit ans, fraîchement sorti du lycée, Karl Ove Knausgaard part vivre dans un petit village de pêcheurs au nord du cercle arctique, où il sera enseignant. Il n'a aucune passion pour ce métier, ni d'ailleurs pour aucun autre : ce qu'il veut, c'est mettre de côté assez d'argent pour voyager et se consacrer à l'écriture. Tout se passe bien dans un premier temps : il s'intègre à la communauté locale, rédige quelques nouvelles et de jolies filles semblent s'intéresser à lui. Mais s'installe peu à peu la nuit polaire, plongeant dans l'obscurité les somptueux paysages de la région et jetant un voile noir sur la vie de Karl Ove. L'inspiration lui manque, sa consommation d'alcool devient excessive, ses nombreuses tentatives pour perdre sa virginité se soldent par des échecs humiliants, et pour son plus grand malheur, il éprouve des sentiments pour l'une de ses élèves.
Entrecoupé de flash-back où l'on découvre l'adolescence de Karl Ove, et grâce auxquels on distingue l'ombre omniprésente de son père, Aux confins du monde capture d'une main de maître le mélange enivrant d'euphorie et de confusion que chacun traverse à la fin de l'adolescence.
C'est l'été, et la fille de Knausgaard a grandi, elle a maintenant des goûts, un caractère défini et un regard qui contemple un monde nouveau, où tout est sujet à l'émerveillement.Son père, en s'interrogeant sur un éventail éclectique de sujets - comme les moustiques, les barbecues, le cynisme ou encore la peau - lui donne à voir toute la beauté et la profondeur du monde de son écriture si singulière.En été est aussi l'occasion pour l'auteur d'analyser avec une profondeur nouvelle les souvenirs difficiles de son enfance et de mettre en scène son travail d'écrivain.
C'est le printemps. Le moment de l'année où «le paysage donne l'impression de s'ouvrir de toutes parts», avant que le vert explose pour de bon. Dans une voiture, un père et son bébé de trois mois parcourent la campagne suédoise, traversent des champs plantés d'éoliennes. Ils semblent heureux. Mais, au fil des heures, une réalité moins douce se dessine.Épicentre du «Quatuor des saisons», cycle autobiographique conçu autour du nouveau-né de l'auteur, Au printemps est le récit bouleversant d'un jour dans la vie d'un père confronté à un drame familial.
«Quand tu liras ceci, ma chérie, si tout se passe comme prévu, si la grossesse se déroule normalement, ce que j'espère et crois mais qui n'est en rien garanti, tu sauras que ce n'est pas à cela que ressemble la vie, que les journées ensoleillées et pleines de rires ne sont pas la règle, même si elles existent, elles aussi.»Deuxième volume du «Quatuor des saisons», cycle autobiographique écrit pour son nouveau-né, En hiver est une déambulation poétique à travers les mots et le monde.La fille de Karl Ove naît au coeur de l'hiver. L'auteur contemple le monde, le voit sous un jour nouveau, celui du jeune père. Dans son style inimitable, il écrit sur tout:la lune, les animaux en peluche, les habitudes, les brosses à dents ou encore le sentiment de vivre.Nous retrouvons dans En hiver tous les ingrédients qui font la force narrative si particulière de Knausgaard:une écriture d'apparence simple qui laisse surgir des envolées d'une rare puissance.
« Les parents donnent la vie à l'enfant, l'enfant donne de l'espoir aux parents. Cela te paraît lourd à porter? Ça ne l'est pas. L'espoir est inconditionnel.»La fille de Karl Ove Knausgaard est sur le point de voir le jour. En attendant sa naissance, son père entreprend de lui raconter le monde. Les grenouilles, le crépuscule, les chewing-gums, la solitude, la guerre, les étoiles... Rien n'est trop petit ni trop vaste pour susciter l'attention du romancier qui évoque aussi sa vie quotidienne avec sa femme et ses enfants dans la campagne suédoise.Premier volume du «Quatuor de saisons», En automne donne à voir les émerveillements d'une paternité naissante dans une nature qui jette ses derniers feux.Né en Norvège en 1968, Karl Ove Knausgaard a accédé à une reconnaissance internationale avec son cycle autobiographique Mon combat, dont les sept volumes ont paru aux Éditions Denoël. L'ouvrage est enrichi des illustrations de Vanessa Baird, artiste norvégienne née en 1963. Ses peintures ont été exposées dans de nombreux musées du monde.
À vingt ans, Karl Ove s'installe à Bergen. Il est le plus jeune étudiant jamais accepté à la prestigieuse Académie d'écriture et arrive débordant d'enthousiasme et d'ambition littéraire. Mais rapidement ses illusions volent en éclats. Son écriture se révèle puérile et pleine de clichés, et ses efforts de socialisation se soldent par des échecs cuisants. Maladroit avec les femmes et très timide en société, il noie son humiliation dans l'alcool et le rock. Puis, petit à petit, l'horizon commence à s'éclaircir. Il tombe amoureux, renonce à l'écriture pour se consacrer à la critique littéraire, plus immédiatement gratifiante, et les premières pierres de sa vie d'adulte sont posées.
Après le deuil dans La Mort d'un père, Karl Ove Knausgaard continue son récit magistral avec le coup de foudre, la fusion et la séparation, toutes les étapes du sentiment amoureux.
Knausgaard est aussi devenu père et cette expérience bouscule tout sur son passage.
Il évoque les luttes quotidiennes d'une vie de famille, les vacances qui tournent mal, l'humiliation des cours de musique prénatale, les disputes avec les voisins, les tensions psychologiques pendant l'anniversaire des enfants ... et comment pousser un landau dans Stockholm quand tout ce que l'on veut faire, c'est écrire.
Le deuxième volume de cette autobiographie en six tomes se déploie avec la même énergie brute et la même justesse que le premier. Succès critique et public en Scandinavie, et au coeur d'une virulente polémique, il remporte une avalanche de prix littéraires. Dans sa quête de lui-même, Karl Ove préférera la capitale suédoise Stockholm à la ville norvégienne Bergen. En Suède, il se lie d'une profonde amitié avec Geir, un autre Norvégien exilé, intellectuel et grand fan de boxe. Il reprend aussi contact avec Linda, une vibrante poétesse qui l'avait envoûté à un atelier d'écriture l'année précédente. À leur contact, son monde change, se transforme. Le lecteur voit la vie de l'auteur-narrateur se dérouler sous ses yeux, dans toute sa rage, sa beauté et sa profonde sincérité: un homme à l'irrépressible envie d'écrire, pour qui l'art et la nature sont un besoin physique, qui oscille en permanence entre énergie vitale et pensées morbides. Il finira par choisir l'amour face à la solitude dont il est pourtant si souvent avide.
Dans cette autobiographie littéraire, l'auteur revient sur ses années de jeunesse marquées par la figure paternelle. Enfant trop sensible, le petit Karl Ove grandit à l'ombre d'un frère solaire, d'une mère souvent absente et d'un père aux colères et à la dureté imprévisibles. Tissé d'anecdotes, le récit évoque les premiers émois, la passion du rock et les inhibitions.