« Nous étions les filles de gens parfaitement sûrs d'eux qui avaient de l'argent en guise d'imagination ».
Ah, la bonne société américaine, ses conventions, ses habitudes et ses aspirations à plus. Mais peut-on s'ouvrir de nouveaux horizons sans abandonner ses privilèges ? À travers onze nouvelles savamment ciselées, Laurie Colwin scrute des individus lisses dont le vernis craquelle lorsque les certitudes vacillent... puis reprennent leur place. Car le bonheur est une chimère devant laquelle les apparences refusent de plier.
Qand Frank rencontre Josephine, dite Billy, ils ont tout pour se détester. Mais les contraires s'attirent et les voici embarqués dans une relation dévorante, faite de malice et de réparties. Seul problème : ils sont tous les deux mariés.Frank et Billy est un roman culte, l'histoire inoubliable d'un amour doux-amer.
Aucune faille en vue dans la vie de Polly Solo-Miller Demarest. Un mari aimant (et riche), d'adorables enfants et un job à son goût : une vie d'épouse presque parfaite, surtout quand on descend d'une famille conventionnelle, pour ne pas dire ultra-conservatrice. Mais l'arrivée d'un amant dans ce décor de carte postale trouble la routine dans laquelle elle s'était embourbée et fragilise ses certitudes. À quels horizons peut-on aspirer quand la vie semble déjà toute tracée ?
Si Elizabeth perd brutalement son mari à l'âge de vingt-sept ans, ce n'est pas à cause de la guerre du Viêt-nam, mais d'un bateau fragile et d'une tempête. Entourée de ses proches, elle s'engage sur le chemin de la résilience, résolue à survivre à cet accident.Laurie Colwin entrelace les fils des souvenirs que le deuil fait remonter pour raconter une histoire de blessure et de guérison. Elle réussit, avec justesse, à dire l'amour quand il disparaît et ce qui nous pousse à y aspirer, encore et encore.
Guido et Vincent, charmants jeunes hommes de la bonne société new-yorkaise, cherchent désespérément la femme de leurs rêves. Ils la rencontrent au même moment : Holly, distinguée et mystérieuse, et Misty, effrontée et spirituelle.
Pour ces quatre trentenaires débute alors la valse douce et maladroite de 1'amour, dans une comédie enlevée où Laurie Colwin prend un malin plaisir à renverser les codes.
À vingt ans, Geraldine Coleshares plaque sa thèse sur Jane Austen pour partir sur les routes et devenir choriste du groupe Ruby Tremblay et les Tremblettes. Mais les folies ne durent qu'un temps et Geraldine doit se résoudre, quelques années plus tard, à se ranger.
Mariage, enfant, premier boulot sérieux... Mais comme d'une chanson obsédante, Geraldine ne peut se défaire de son passé.
Comment rassasier une horde d'invités affamés ?
Déguiser les légumes pour duper les enfants ?
Concilier une infinité de régimes alimentaires autour d'un bon repas, dans la joie et la bonne humeur ?
Laurie Colwin, écrivaine à succès mais aussi épouse, mère et bonne copine, était passionnée de cuisine. Celle de tous les jours, conciliable avec les activités multiples d'une femme moderne et émancipée. Dans son style inimitable, entre humour et bienveillance, elle nous livre au fil de ses délicieuses recettes quelques confidences sur sa drôle de vie : rendez-vous galants (calamiteux), soirées (endiablées), dîners (inoubliables) et échecs (à ne pas reproduire)...
Dans ses mémoires culinaires qui se lisent comme un bon roman, la plus attachante des auteures nous prouve que cuisiner c'est aimer, et célèbre le pouvoir salvateur des bons petits plats.
Un ouvrage culte enfin traduit, pour rire et saliver.
Une rencontre douce -amère avec les New-Yorkais fragiles de l'ironique Laurie Colwin, toujours au
bord du dérapage, toujours un peu bizarres.
Un père de famille obsédé par les ragondins peuplant le détroit où se baignent ses enfants, un mari
esseulé découvrant en l'absence de sa femme la magie de la télévision, des gâteaux surgelés et
des petites secrétaires, ou un petit ami anxieux donnant à tous les objets le nom de celui qu'il
prend pour l'amant de celle qu'il aime : les personnages de Laurie Colwin ne sont jamais plus
émouvants, sous sa plume ironique, qu'à travers leurs défauts et leurs contradictions, leurs petites
faiblesses qui viennent enrayer doucement la petite musique de leur vie. A travers eux, Colwin
jette un regard tendre et subtile sur la nature des relations humaines.
A ''jewel of romantic comedy'' ( New York Times ) from the late great author, adored by Nigella Lawson, Dolly Alderton, Katherine Heiny and Caroline O''Donoghue. It was just as she suspected: love turned you into perfect mush. GUIDO is not in the habit of falling in love with women he sees in museums. Until he meets HOLLY. Precise about everything, she knows what she likes: pressed sheets, oranges (but nothing orange-flavoured), tea on a tray - and now, Guido. Meanwhile VINCENT, Guido''s eternally cheerful best friend and cousin, falls for his misanthropic new colleague, MISTY. She seems as uninterested in love as she is in Vincent (at first). Through courtship, arguments, wedding plans and other perils, the couples find a way to be happy (almost) all the time. ''Seriously wise, seriously wonderful, seriously comic - your life will be richer for it'' Katherine Heiny ''Uplifting, funny, generous. One of the most comforting, clever novels I know'' Samantha Ellis ''Human and humorous, full of wisdom and love'' Emma Straub
" mon mari est mort en bateau au large des côtes du main, et da laissée veuve à l'âge de vingt-sept ans.
A l'époque, de nombreuses filles perdaient leur mari à cause de la guerre aérienne ou de la guerre terrestre ; moi, j'ai perdu le mien à cause de sa témérité, d'une terrible tempête et d'un bateau fragile. je n'ai eu aucun cruel télégramme d'excuses pour m'en informer ; aucun soldat en deuil à ma porte avec la lettre jamais envoyée, la montre, les effets personnels ; aucun enfant à consoler. mon mari s'appelait sam bax, et personne ne l'a jamais empêché de faire ce qu'il voulait.
Son frère patrick et moi l'avons regardé quitter le port de little crab alors qu'il connaissait les avis de tempête. nous nous sommes repassés plusieurs fois les jumelles, mais patrick fut le dernier à bien le voir. " elizabeth, une toute jeune femme, se trouve brusquement anéantie par la mort accidentelle de son mari. d'une écriture presque chuchotée, laurie colwin trouve les mots qui font remonter un à un les souvenirs.
Elle réussit, du plus profond du deuil, à trouver la voix juste, qui parle, avec une infinie délicatesse, de l'amour quand il est à tout jamais enfui.
Jane Louise, 40 ans, jeune mariée, illustratrice dans une maison d'édition, jeune femme issue d'une famille juive quelque peu bohème, se demande pourquoi son mari Teddy, chimiste et fils d'une grande famille de Nouvelle-Angleterre n'a pas choisi une femme de son milieu. De doutes existentiels en questions périlleuses, Jane Louise chemine jusqu'à comprendre que sa vie ressemble au bonheur. Le plus savoureux des Colwin, un couple attachant et une galerie de portraits délicieusement simples, tendres, moqueurs et justes !
« Elle fait indiscutablement partie de ma vie. Quand je ne travaille pas et que je ne suis pas avec elle, mes pensées vont vers elle aussi naturellement qu'une main se pose sur la tête d'un enfant... » Frank, consultant dans le secteur financier, forme avec sa femme Véra un couple brillant et envié. Ils croisent Billy, une jeune historienne de l'économie, et son mari Grey. Ce petit monde a tout pour être heureux. La belle harmonie s'évanouit lorsque Billy devient la maîtresse de Frank. Peu importe : ils s'aiment. Comme Vincent et Misty (Une vie merveilleuse), Lincoln et Polly (Une épouse presque parfaite !), Sven et Jane Louise (Famille, tracas & Cie), Frank et Billy se laissent pousser l'un vers l'autre par « cet étrange virus nommé passion ».
B>A romantic comedy of the very highest order: the story of an affair between two improbable lovers, from the acclaimed author of Home Cooking./b>br>br>"Billy" Delielle and Francis Clemens are both happily married, just not to each other. Another Marvelous Thing is the story of their affair--told from their alternating perspectives across eight short stories--from beginning to end. Economists with little else--age, interests, aspirations--in common, Billy and Francis prove that opposites really do attract, embarking on a whirlwind romance that will shape both of their lives in this frank, funny, and razor-sharp examination of the curious desires of the heart.
Everything food writing should be: funny, profound, inspiring and unaffected'' Nigella Lawsonbr>br>Weaving together memories, recipes, and wild tales of years spent in the kitchen, Home Cooking is Laurie Colwin''s manifesto on the joys of sharing food and entertaining. From the humble hot-plate of her one-room apartment to the crowded kitchens of bustling parties, Colwin regales us with tales of meals gone both magnificently well and disastrously wrong.br>br>Never before published in the UK, this is hilarious, personal and full of Colwin''s hard-won expertise. Home Cooking will speak to the heart (and stomach) of any amateur cook, professional chef, or food lover.br>br>''A feast . . . witty, no-nonsense. Home Cooking is a culinary companion as comfortable beside your bed as your cooker. It has an essay for everyone who loves to eat and demonstrates that home is where the heart is - and the stomach happiest'' Observerbr>br>''Laurie Colwin''s food thoughts are like phone calls from a dear friend'' New Yorkerbr>br>''Shrewd, witty and consistently enjoyable'' Mail on Sunday>
D'un côté, des entomologistes mâles fascinés par le règne animal, des sociologues et des poètes célèbres persuadés que rien de ce qui est humain ne leur est étranger, des mathématiciens romantiques incapables de compter jusqu'à deux.
De l'autre, des filles sagaces, de condition et d'intérêts divers, qui ont au moins une chose en commun - la petite flamme fitzgeraidienne. avec une belle vitalité, elles prennent les hommes comme sujet d'étude. tous ces jeunes gens séduisants et doués se brûlent les ailes en jouant à la guerre des sexes comme on joue aux cow-boys et aux indiens, en inversant parfois étrangement les rôles. ils se font peur - comme on il imagine, elles surtout leur font peur.
Laurie colwin, avec ces histoires pleines d'un charme parfois bizarre, sinon glauque, se livre ici, avec sa tendre ironie, à un pastiche brillant d'un certain comportementalisme anglo-saxon.