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Matthieu Dorval
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J'irai là où tout a commencé
Matthieu Dorval
- Editions Dialogues
- La Petite Carree
- 7 Octobre 2021
- 9782369450825
Matthieu Dorval est un artiste qui vit sur les rives de la baie de Douarnenez à la pointe de la Bretagne, au bord des falaises, là où les vagues explosent et les tempêtes mugissent. Un beau matin de fin d'été, il a pris son sac de pérégrin et s'en est allé loin, bien loin. À pied par les sentiers. Il a pris ses pinceaux et pour la première fois la plume. Il s'agissait bien de recouvrance et de délivrance.
Dans ce journal d'une traversée de la France, de la presqu'île de Crozon à Sète, de l'Atlantique à la Méditerranée, il esquisse un paysage français contemporain. Ce qu'il voit et perçoit du pays, des villages, des campagnes, de la nature. Le temps qu'il fait et le temps qui passe.
La peinture et l'art s'immiscent dans le récit quand la route invite à côtoyer les lieux de vie ou de création d'artistes et d'écrivains. Ils se nomment William Turner, Claude Monet, George Sand, Paul Rebeyrolle, Philippe Cognée, Pierre Soulages... Des bords de Loire aux grands causses, des volcans d'Auvergne au soleil du midi, il ne cesse de peindre et de crayonner sur un papier ancien fabriqué au xixe siècle, fidèle compagnon de voyage.
Au terme du parcours, une joie immense, une liberté soudaine et une centaine de dessins et bien davantage de mots et de pensées qui dansent sur les pages, qui nous éblouissent et nous emportent. Loin, bien loin, par la Nature. Une approche inédite du paysage par les traits, les couleurs, les sensations.
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D'Armor en Argoat
Philippe Le Guillou, Matthieu Dorval
- Editions Dialogues
- La Petite Carree
- 10 Novembre 2016
- 9782369450559
Deux pôles quasi magnétiques condensent toute l'énergie de ce cadastre intérieur : Brocéliande et l'Arrée, la forêt aux assises de schiste rouge et les montagnes jaunies que prolongent d'infernales tourbières, le coeur intact de la vieille Armorique et ses terminaisons bru?lées par l'haleine de l'océan, le foyer de la quête et celui de l'errance.
Deux pôles quasi magnétiques condensent toute l'énergie de ce cadastre intérieur : Brocéliande et l'Arrée, la forêt aux assises de schiste rouge et les montagnes jaunies que prolongent d'infernales tourbières, le coeur intact de la vieille Armorique et ses terminaisons bru?lées par l'haleine de l'océan, le foyer de la quête et celui de l'errance. -
Embarquements intérieurs : lire, écrire, combattre, vivre
Gilles Baudry, Marie Détrée, Matthieu Dorval
- Locus Solus
- 1 Juillet 2022
- 9782368333846
Après s'être interrogés sur les valeurs et vertus dans la Marine dans le bel essai collectif oeuvres vives (Locus Solus, 2021), les participants à ce nouveau projet À l'affût de soi-même se penchent sur les richesses de nos vies intérieures. Ce livre enrichi d'oeuvres d'artistes de renom propose des variations sur le sens intime qu'on donne à nos actions, à nos décisions, qu'elles soient simples et quotidiennes ou, dans le cas extrême d'un conflit armé, lourdes de conséquences. Par des textes très personnels, parfois par le recours à la fiction ou à l'entretien au long cours, de jeunes élèves-officiers, futurs cadres militaires, livrent et partagent avec des auteurs et artistes leurs réflexions sur les forces qui nous animent et qui motivent l'engagement.
Le livre est divisé en 3 parties : La terre (l'ancrage, les racines, le passé, l'identité) - La mer (la traversée, le péril, l'ennui, le silence, le lien à l'autre...) - Le Ciel (l'infini, le reflet, l'idéal, le vide, la menace...). -
Ma presqu'île
Philippe Le Guillou, Matthieu Dorval
- Editions Dialogues
- La Petite Carree
- 15 Mai 2015
- 9782918135975
Un nouveau livre dans la collection La Petite Carrée.
Il suffit de passer le pont, chantait Brassens à la suite de Paul Fort. L'attaque de cette chanson a enchanté ma jeunesse. Oui, il suffit de passer le pont et la traversée de l'Aulne, sur le magnifique pont curviligne et aérien qui a remplacé l'antique monument au béton malade, enchante mon âge mûr comme il électrisait les après-midi d'été, dans l'enfance, quand il venait à mon père l'envie de prendre depuis Le Faou où nous résidions chez les grands-parents la route de la mer, en l'espèce celle qui, longeant la rivière du Faou, permettait d'apercevoir la masse ocre et intimidante de l'abbaye de Landévennec avant d'enjamber l'Aulne si semblable à un lough irlandais ou à un fjord du Grand Nord et d'aborder à l'autre côté, dans un territoire différent, presque un autre monde, celui de la presqu'île de Crozon, de la vaste et belle plage de Telgruc que nous adorions, la plage vierge, ouverte, livrée aux vagues vertes et claires qui, dans mon imagination déjà exaltée, ne pouvaient surgir que des ruines englouties de la ville d'Ys.