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Michel Provost
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Flore vasculaire de Basse-Normandie. Lot tomes 1 et 2 : Reprint de l'édition de 1998, augmentée du Supplément de 2002
Michel Provost
- Pu De Caen
- 26 Juin 2018
- 9782841338948
Cet ouvrage doit permettre de déterminer toutes les espèces sauvages ou naturalisées de plantes vasculaires (fougères, résineux et plantes à fleurs) présentes en Basse-Normandie. On y trouve également en hors-texte 32 planches en couleurs présentant 192 espèces caractéristiques de différents milieux et représentatives des familles existant dans la région. Un supplément pour la Haute-Normandie est adjoint à cette étude. Le premier tome comprend les clés de détermination avec des dessins originaux au trait et 32 planches d'illustrations photographiques. Il pourra très facilement être emporté sur le terrain. Le second tome, plus épais, renferme tous les autres renseignements sur les espèces, un volumineux chapitre sur la systématique et les caractères généraux des familles indigènes, un glossaire et des index.
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Comment tout ça tient ? ; voyage au pays des structures
Michel Provost, Philippe de Kemmeter
- Alice Éditions
- 13 Octobre 2011
- 9782874261497
Pourquoi est-ce que les (bons) tabourets ont trois pieds ? Pourquoi est-ce que la canne de Charlot se plie lorsqu'il s'appuie dessus mais reste rigide quand il s'y pend ? Pourquoi conserve-t-on mieux son équilibre dans un bus en écartant les pieds ?
Des questions assez simples dont la réponse permet cependant de comprendre des procédés de construction en apparence très complexes, tels que les ponts suspendus ou la tour Eiffel.
Discussions à bâtons rompus de l'élève et du professeur, croquis illustratifs, encadrés historiques et techniques dédiés aux chefs-d'oeuvre en matière de conception, exemples humoristiques...
Le lecteur est invité à voyager de façon très didactique « au pays des structures ».
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Carte archéologique de la Gaule : 88/2. Grand. Vosges
Michel Provost
- Academie Inscriptions Et Belles Lettres
- 2 Mai 2022
- 9782877546874
L'agglomération de Grand (CAG 88/2), d'une surface d'environ 80 ha, a été créée par les Romains sur un site karstique du revers de la côte de Meuse. Sur cette commune, l'eau s'infiltre dans les calcaires jusqu'à une formation argileuse qui crée des obstacles et donc une concentration des eaux.Avant de construire cette ville, les premiers habitants (sans doute peu après la conquête romaine) ont dû creuser des kilomètres de « galeries drainantes » (appelés qânats) comprenant des centaines de « cheminées d'accès » pour aller récupérer cette eau. Ils y ont été aidés par l'existence d'une pente favorable en direction du village et par une résurgence d'eau sous l'église actuelle!Cette récupération des eaux a été non seulement suffisante pour desservir l'agglomération, mais elle a permis aussi la création de trois établissements thermaux à proximité à la fois d'une supposée « basilique » (pavée d'une mosaïque de 235 m 2) et d'un grand édifice dérivé de l'amphithéâtre. Autour de cette résurgence des eaux devait exister un centre monumental dont on n'a retrouvé que quelques murs et surtout près de 1500 fragments de sculptures, abandonnés là par des récupérateurs de matériaux: leur étude a montré que ces « bouts de sculptures » pouvaient s'accorder avec la construction de monuments lors deux périodes historiques principales: la fin Ier-début IIe et la fin du IIe-début IIIe siècle.À partir de cette source dite « sacrée » (et donc autour de son centre), une petite ville romaine a été construite selon des axes radio-concentriques qui déterminent ensuite sept ou huit quartiers trapézoïdaux.À l'intérieur, l'habitat romain est surtout connu par les nombreuses prospections électriques réalisées depuis plus de vingt ans, plus que par des fouilles de sauvetage (qui n'ont permis de retrouver que quelques domus/villae: par exemple celle de la Fontainotte avec deux glacières (dont l'impressionnant mobilier a été publié en 2018) et celle de la Violette, au sud du bourg.Surtout au moins 314 des « puits » (qui ont été vidés) ont fourni un mobilier important et divers. C'est par exemple du puits 77 qu'ont été retirés plus de 200 fragments de quatre plaquettes zodiacales à glissières et couvercles (formant deux diptyques) dont le répertoire astronomique renvoie à l'Égypte.Ensuite, sans doute à l'époque Sévérienne, une partie de ce centre monumental (excluant l'amphithéâtre etl'habitat périphérique) avec son prolongement encadrant deux talwegs a été enfermé dans une enceinte défensive polygonale (longue de 1760 m, soit moins de 20 ha), épaulée de 22 tours et percée de trois ou quatre portes.Les cinq ou six nécropoles (tant romaines que mérovingiennes) n'ont été qu'entrevues au bord de routes, à l'extérieur de l'agglomération.
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04/2. Les Alpes-de-Haute-Provence. Carte archéologique de la Gaule
Géraldine Bérard, Michel Provost
- Academie Inscriptions Et Belles Lettres
- 27 Juin 2020
- 9782877543903
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Carte achéologique de la Gaule : 86/1. La Vienne
Michel Provost, Isabelle Bertrand, Pierre Nouvel, Romain Storaï
- Maison Des Sciences De L'Homme
- 2 Mai 2022
- 9782877546751
La Vienne restait depuis 2018 le dernier département français à ne pas avoir été couvert par la Carte archéologique de la Gaule ni par aucune autre publication récente du même ordre qui en aurait présenté dans le détail l'étonnante richesse archéologique.
Les Pictons entrent dans l'histoire lorsqu'à la fin de la Guerre des Gaules l'andécave Dumnacus attaque leur capitale (un site défensif que la CAG n'hésite plus à localiser à Poitiers même, grâce aux cartes du mobilier reporté sur le SIG) pour les punir d'avoir collaboré à la conquête de l'Ouest Armoricain par César en lui fournissant la flotte pour abattre la puissance vénète ! Si l'on sait par Hirtius que ce projet a échoué, les Pictons ont largement été remerciés par César Auguste qui a agrandi leur territoire d'un tiers (en leur donnant les terres des petits peuples de la Basse Loire et du littoral, c'est-à-dire tout le sud de l'actuelle Loire-Atlantique et au moins toute la Vendée qui sont devenues des « colonies pictonnes ») -
Carte archéologique de la Gaule : Le Maine-et-Loire 49/1 - Angers
Michel Provost
- Academie Inscriptions Et Belles Lettres
- 7 Février 2025
- 9782877547192
Depuis 1974, la fouille la plus importante pour l'histoire d'Angers est celle de Jean Brodeur qui a découvert, en 1993, sur le site d'éperon du château, un cairn préhistorique, un marché (magus) gaulois qui constitue une "halte-routière" où s'échangeait le vin italique contre les produits agricoles (provenant de nombreuses fermes laténiennes repérées aux environs) avant la traversée de la Maine pour gagner l'Armorique !
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Carte archéologique de la Gaule : 86/2 La Vienne
Michel Provost
- Academie Inscriptions Et Belles Lettres
- 2 Mai 2022
- 9782877546768
La Vienne restait depuis 2018 le dernier département français à ne pas avoir été couvert par la Carte archéologique de la Gaule ni par aucune autre publication récente du même ordre qui en aurait présenté dans le détail l'étonnante richesse archéologique.
Avec la parution des CAG 86/1 et 2, il est enfin mis un terme à une « carence » qui remontait à presque 120 ans. C'est en effet en 1862 que parut, à la suite du congrès de Bordeaux réuni en septembre 1861 à la demande de l'empereur Napoléon III, la seule étude approfondie portant jusqu'à aujourd'hui sur la Vienne (Alphonse Le Touzé de Longuemar, Mémoire sur les voies anciennes, les limites territoriales et les monuments qui peuvent être rapportés à l'époque gauloise dans le haut Poitou » dans Mémoires de la Société des Antiquaires de l'Ouest, 1 re série, 27, pl. I, p. 45-185). On rappellera que, par la suite, de nombreuses « tentatives de Pré-inventaire » avaient été lancées à partir de la fin du XIX e siècle, y compris avec le père Camille de La Croix, mais qu'elles étaient toutes restées inabouties face à l'ampleur de la tâche à accomplir.Parmi les sites les plus remarquables que la CAG de la Vienne donne à découvrir à la faveur d'analyses de fond en renouvelant considérablement l'approche, on citera, pêle-mêle: Jaunay- Marigny, son sanctuaire végétal de 7 ha et son mausolée, l'oppidum de Béruges, le vicus duGué de Sceaux ou bien encore celui de Chauvigny, sans oublier les deux agglomérations-sanctuaires de Sanxay et des Tours-Mirandes. -
Au Pays des Collines (en Wallonie picarde), un splendide manoir du 19e siècle désormais métamorphosé en un prestigieux rendezvous gastronomique (n.b. deux étoiles au Guide Michelin), a retenu l'intérêt d'un Ellezellois d'adoption, l'artiste-peintre, auteur de BD et écrivain Michel Provost. Enquêtant sur les origines du Château, il reconstitue pour nous, dans un style ludique et avec l'appui d'Hercule Poirot - le célèbre détective est originaire d'Ellezelles - les pérégrinations de Frédéric Bebb Gubbins De Kilfrush, sauveur de la ville de Bénarès, lors de la révolte des cipayes en 1857, et de son épouse Belonie Creteur, née à Ellezelles, qui furent les premiers propriétaires du célèbre château. L'ouvrage est richement documenté de belles illustrations en couleur.
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Carte archéologique de la Gaule : 86/3 Poitiers
Michel Provost
- Academie Inscriptions Et Belles Lettres
- 2 Mai 2022
- 9782877546867
L'originalité de ce volume vient du fait que chaque site de la commune a reçu un numéro qui a été reporté sur un SIG de 11 pages (réalisé pour l'occasion par le professeur Pierre Nouvel de l'Université de Bourgogne-Franche-Comté qui a utilisé ce SIG pour une magistrale synthèse).L'« amitié » du peuple romain explique en partie le rapide développement de Limonum sur le plateau au bord de la voie de Bordeaux à Tours: après la mise en place d'un plan orthogonal (qui pourrait être augustéenavant d'être modifié plus tard), on construit alors le long d'une double rue nord-sud, longue de près de1200 m, une série de monuments publics. Si on a du mal à y identifier encore un sanctuaire impérial, un arc detriomphe, on connaît mieux les rues avec des portiques commerçants, on soupçonne le forum. Cette longue perspective monumentale se termine aux deux extrémités de la ville par deux édifices dominant le Clain: aunord, les grands thermes de Saint-Germain et au sud le plus grand amphithéâtre de l'Aquitaine construit sans doute à la fin du I er siècle. La ville est alors abondamment approvisionnée en eau par trois aqueducs qui arrivent par le sud. Cette « débauche architecturale » est due à l'évergétisme des grandes familles indigènes romanisées, à partir des richesses foncières accumulées sur le territoire picton. Dans les deux CAG Vienne (86-1/2) on a déjà souligné leur rôle « moteur » pour les grands sanctuaires ruraux.Dès lors, le plateau de Lemonum, au Haut Empire, apparaît partagé en deux: à l'ouest de la perspective monumentale (nord-sud), l'habitat et l'artisanat du I er siècle ont laissé, eux aussi, la place à des bâtimentspublics (thermes, sanctuaires...). À l'est de cet axe, tout « le coude » fait par le Clain est occupé par un ensemble d'habitations et d'ateliers d'artisans que les fouilles archéologiques des quarante dernières annéesont permis de découvrir.À partir du Bas-Empire, c'est cette moitié Est (celle de l'habitat) qui est entourée d'un rempart alors que l'autre (avec ses monuments) sera abandonnée. C'est dans cette moitié Est, protégée par les remparts, que se développera le christianisme, notamment avec le baptistère Saint-Jean.
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Flore vasculaire de basse-normandie - avec supplements pour la haute-normandie
Michel Provost
- Pu De Caen
- 6 Juin 2013
- 9782841334360
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Carte archéologique de la Gaule : La Vendée
Michel Provost
- Maison Des Sciences De L'Homme
- Carte Archeologique De La Gaule
- 14 Juin 2024
- 9782877547130
Trente ans après la première version de la CAG 85, déjà rédigée par M. Provost, cette refonte s'imposait à la fois par le fait que la version d'origine était épuisée et surtout par les découvertes liées aux très nombreux travaux routiers et d'urbanisme : la CAG 85 est ainsi passée de 246 p. à 520 p.Toutefois nous avons pu constater que le territoire des Ambilatri était resté un territoire profondément rural pendant toute l'Antiquité.Cela a été confirmé par les milliers d'enclos agro-pastoraux découverts non seulement lors des fouilles archéologiques, mais surtout par les nombreuses prospections aériennes de Patrick Péridy et par la quantité de sites découverts sur les clichés de l'IGN (notamment sur la mission 2022, par le professeur Pierre Nouvel).Le littoral Atlantique a connu un développement maximum à l'époque de La Tène III (du IIIe au Ier siècle av. J.-C.) avec la création de centaines d'ateliers de sauniers et la création de deux, voire trois petits bourgs (comme ceux des Chirons et des Filasses près du Langon).Mais pendant la Guerre des Gaules, ces Ambilatri ont choisi l'alliance avec les Vénètes contre César, ce qui explique (en partie) que leur territoire a été donné ensuite aux Pictons, " amis du peuple romain ". Rapidement ensuite, tous ces sites liés aux activités de briquetage ont été abandonnés.Certes la capitale Poitiers a été rapidement reliée (par une route) à la Loire (à Rezé au sud de Nantes) et à l'océan Atlantique (au Langon), mais la région est restée à l'écart des grandes voies romaines. La romanisation y a même été très faible : sur tout le département on n'a trouvé aucune ville romaine (seulement cinq petits hameaux et un gros bourg), pas de monuments édilitaires (par exemple aucun édifice de spectacles), aucun acte d'évergésie, peu de villae.Il faut attendre la fin du haut Moyen Âge pour que la région retrouve le dynamisme qu'elle avait eu à la fin de la Protohistoire.La refonte de cette CAG 85 a grandement été facilitée par Caroline Gaillard (de la Cellule Carte archéologique, au Service Régional de l'Archéologie à Nantes) qui nous a donné accès à la documentation archéologique de chaque commune. Nous avons aussi profité de la collaboration avec les archéologues locaux (à la fois ceux de l'Inrap, d'Archeodunum et d'Eveha).Cliché de couverture : Sallertaine, la Caillaudière, fouille de Marie-Claude Bakkal-Lagarde des bâtiments III, IV et VI : cliché M. Bakkal.
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Flore vasculaire de Basse-Normandie ( 2 volumes)
Michel Provost
- Pu De Caen
- 30 Juin 1999
- 9782841330461
Cet ouvrage doit permettre de déterminer toutes les espèces sauvages ou naturalisées de plantes vasculaires (fougères, résineux et plantes à fleurs) présentes en Basse-Normandie. On y trouve également en hors-texte 32 planches en couleurs présentant 192 espèces caractéristiques de différents milieux et représentatives des familles existant dans la région. Un supplément pour la Haute-Normandie est adjoint à cette étude.Le premier tome comprend les clés de détermination avec des dessins originaux au trait et 32 planches d'illustrations photographiques. Il pourra très facilement être emporté sur le terrain.Le second tome, plus épais, renferme tous les autres renseignements sur les espèces, un volumineux chapitre sur la systématique et les caractères généraux des familles indigènes, un glossaire et des index.Un cd-rom reprend les éléments de la Flore vasculaire de Basse-Normandie. Le commentaire et les renseignements relatifs à chaque espèce sont accompagnés de la carte de répartition régionale, tirée de l'Atlas de répartition des plantes vasculaires de Basse-Normandie paru en 1993, et réactualisée. Dans de nombreux cas s'y ajoute une image couleur de la plante.
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La Flore vasculaire de Basse-Normandie est un cédérom offrant un système de navigation interactive dans une véritable « Somme botanique » composée:
D'un système de clés dichotomiques illustrées permettant de déterminer toute plante «sauvage» rencontrée dans la région normande, sur la base de l'observation de ses caractères morphologiques, et d'établir une classification suivant la famille, le genre et enfin l'espèce.
D'une série de plus de 2 500 fiches de renseignements complémentaires sur les espèces: synonymes, noms français et normands, périodes de floraison, exigences écologiques, types de biotopes préférés, affinités phytosociologiques, etc.
D'un atlas régional de répartition des espèces riche de plus de 1 800 cartes.
D'un volumineux chapitre de systématique moderne.
D'un album de 200 « portraits photographiques » de plantes en haute résolution. Cet ensemble est complété par plusieurs articles de synthèse, des glossaires et des index. De nombreux liens hypertextes permettent de mobiliser à l'appui de l'identification de toute espèce les données relatives à son écologie et à sa répartition régionale.
Ce cédérom reprend sous une forme synthétique les contenus de deux ouvrages de Michel PROVOST publiés aux Presses Universitaires de Caen:
Flore vasculaire de Basse-Normandie, 1998.
Atlas de répartition des plantes vasculaires de Basse-Normandie, 1993, (complété en 1996).
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Splendeurs baroques du val d'Elorn
Michel Hamon, Georges Provost
- Skol Vreizh
- 14 Avril 2021
- 9782367581262
Dans ce cadre géographique limité, dans ce terroir du Val d'Élorn, s'est épanoui e du XVe au XVIIe siècle une société paysanne originale aux caractères particuliers fondés sur des valeurs presque immuables : la religion catholique (le poids de l'Église y était absolu,) et le travail. Travail de la terre surtout mais pas seulement.
L'esprit d'initiative des juloded est tout à fait remarquable. Ce sont des paysans-notables qui rivalisent parfois avec la noblesse terrienne. Ils ont acquis des fortunes souvent considérables dans l'élevage et le commerce des chevaux et surtout la culture, le tissage, la commercialisation du lin ainsi que dans la tannerie.
Cette prospérité éclatante est encore visible quatre siècles plus tard, elle interpelle lorsque l'on traverse ces bourgs aujourd'hui somnolents. Églises monumentales, calvaires, ossuaires, porches forment des enclos paroissiaux remarquables par leur harmonie et la qualité de leur architecture. Les décorations intérieures ne sont pas moins époustouflantes : retables, chaires, autels, fonts baptismaux, statuaire ne sont pas en reste. Gothique, renaissance, baroque inspirent les commanditaires et de remarquables artistes souvent anonymes. Leurs oeuvres témoignent de leur goût et de l'ouverture des campagnes léonardes sur l'Europe flamande, italienne, française et même américaine par les ports de Morlaix ou Landerneau.
Ces Splendeurs baroques du Val d'Élorn que Michel Hamon nous dévoile par ses photos et ses commentaires avisés et très didactiques sont une invitation à parcourir, son livre en main, ce terroir attachant et encore trop méconnu.
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Normes de présentation d'un travail de recherche
Marc a. Provost, Michel Alain, Yvan Leroux, Yvan Lussier
- SMG
- 6 Janvier 2017
- 9782890943476
Ce guide détaillé de normes de présentation d'un travail de recherche est un manuel s'adressant à tout étudiant ou professionnel devant produire un mémoire de maîtrise, un essai ou une thèse de doctorat, un travail de session, un rapport de stages, un article scientifique...
Cet ouvrage propose un nouveau corpus de normes pour des manuscrits souvent inédits qui sont un croisement entre les normes de l'American Psychological Association (6° édition) et celles en vigueur en français. Il renferme plusieurs nouvelles informations sur les présentations typographiques reliées à l'usage de l'informatique, sur les dispositions des listes de références, sur les différences essentielles dans l'utilisation du français et de l'anglais comme outils de communication et sur les distinctions entre des articles scientifiques et des rapports plus volumineux comme une thèse ou un mémoire.
Les lecteurs et lectrices y trouveront une source indispensable de renseignements pratiques pour rendre leurs manuscrits clairs et techniquement irréprochables au yeux des lecteurs avertis.
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Atlas de répartition des plantes vasculaires de Basse-Normandie
Wurs Provost Michel
- Pu De Caen
- 1 Février 1998
- 9782905461773
Cet ouvrage donne une idée précise de la répartition des 1600 plantes vasculaires qui peuplent les trois départements bas-normands.Les données considérées comme actuelles couvrent la période 1970-1991 ; un maximum d'indications plus anciennes sont reportées directement sur les cartes qui découpent la Basse-Normandie en 520 rectangles d'environ 30 km2 de surface chacun. Une synthèse montre nettement l'influence déterminante de facteurs tels que les caractéristiques physico-chimiques des sols ou les données climatiques.