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Mireille Gayet
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Grand traité des fleurs comestibles ; histoire et cuisine
Mireille Gayet
- Le Sureau
- Les Grands Traites
- 20 Avril 2018
- 9782364021471
L'idée de manger des fleurs est loin d'être nouvelle mais elle prend incontestablement de l'ampleur et surprend encore bon nombre d'entre nous. Qu'ils soient étoilés ou non, tous les chefs succombent, avec raison, au charme floral culinaire. En gastronomie, la vue importe autant que le goût et les fleurs multicolores rehaussent l'éclat des préparations, réjouissent notre vue et émoustillent nos papilles.
Qui n'a pas appris, enfant, que les fleurs de trèfle au goût sucré pouvaient agréablement être sucées comme des bonbons ? Quel enfant n'a pas eu envie de croquer ces si jolies fleurs de toutes les couleurs ? Las, tout ce qui est beau n'est pas forcément bon et nos ancêtres ont dû l'apprendre à leurs dépens. Comme pour les champignons, il y a des fleurs toxiques, prudemment listées dans cet ouvrage.
Parmi les deux-cent-cinquante fleurs comestibles, ce Grand traité s'attarde principalement sur les fleurs que chacun peut avoir dans son jardin ou sur son balcon, et sur celles qu'on peut très facilement reconnaître et cueillir dans la nature. De plus en plus de fleurs sont vendues dans des commerces spécialisés, voire sur les marchés, sèches et même, maintenant, fraîches.
Beurre parfumé, glaçons fleuris, confits, salades hautes en couleurs, condiments, beignets ou crèmes délicieusement parfumés, farcis, sauce ou soupe au goût prononcé, buffets insolites et goûteux, tout est permis, ainsi que le montrent les nombreuses recettes présentées ici. Succès garanti auprès des convives ! Et comme la conversation
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Thé, mot à la signification multiple qui fait rêver le monde !
L'épopée de ces petites feuilles, dont la première utilisation en infusion se perd entre histoire et légende, est présentée ici suivant leur voyage allant de la Chine originelle et des pays voisins jusqu'en Occident et au-delà, avec l'arrivée des colonisateurs, des religieux et des marchands, qui transformèrent à jamais leur avenir, parfois dans le sang et les larmes, faisant du thé la boisson la plus consommée au monde après l'eau.
Apprécié ou dénigré selon les époques, pur ou en mélange, parfumé ou aromatisé, le thé peut être blanc, jaune, noir, rouge, fermenté ou non, et son infusion peut être alors sucrée ou salée, lactée, citronnée, épicée, glacée, source parfois d'autant de différences d'appréciation entre consommateurs.
Lié dès son origine au taoïsme, au confucianisme et surtout au bouddhisme, le thé reste associé à la nature, au calme, à la sérénité, devenant l'objet de véritables cérémonies, dont la plus célèbre est le cha no yu japonais, ou de rituels, journaliers, comme le tea time anglais. Plus simplement, il s'est installé aussi sur toutes les tables du monde, des plus riches aux plus modestes.
Le thé est accompagné de tout un cortège d'ustensiles simples ou sophistiqués qui deviendront parfois des identités nationales, tels le samovar russe et la berrad marocaine.
Vaste programme et sujet inépuisable que le thé !
Plus de 100 recettes !
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La tomate est un univers riche de plus de 12 000 variétés, d'un nombre incalculable de recettes et d'une histoire beaucoup plus complexe qu'on ne le pense généralement : originaire d'Amérique du Sud, la tomate s'est fait désirer avant de venir conquérir nos assiettes. Aujourd'hui incontournable, la tomate se déguste seule ou en accompagnement, un de ses attraits majeurs étant de s'allier avec bonheur à toutes sortes de viandes, de poissons, de fruits de mer, de légumes et de fruits : difficile de s'en passer ! Et quasi impossible de faire une erreur d'association - sauf une : manger des tomates « fraîches » en hiver, c'est-à-dire méconnaître totalement le vrai goût de la tomate. L'auteure retrace ici, entre autres, comment la tomate s'est introduite dans des recettes anciennes bien connues et appréciées avant son arrivée au xvie siècle, comme le gaspacho, la pizza, le tian et bien d'autres plats qui se sont ainsi colorés pour le plus grand plaisir des yeux et des papilles, mais aussi, par exemple, comment la tomate a réussi ce tour de force de transformer une sorte de saumure asiatique au poisson en ketchup « américain » trônant sur toutes les tables ! Une histoire pour le moins singulière et... juteuse - la tomate est le deuxième légume le plus consommé au monde après la pomme de terre ! - agrémentée de 112 recettes classiques ou originales.
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La première édition de ce Petit traité étant épuisée, une nouvelle édition s'imposait. Non pas une simple réédition mais une nouvelle publication, revue et augmentée.
Ce Petit traité se fonde donc cette fois sur la définition large et ancienne du mot confiture et aborde ainsi, notamment, les pâtes de fruits dont les préparations sont similaires.
Une approche qui vous fera tout connaître de l'histoire des confitures, de leur rôle de médicament à celui, plus récent, de plaisir gourmand sucré. Elle vous emmènera des temps anciens à la bassine à confiture de nos grands-mères et à son odeur merveilleuse si caractéristique.
L'autre apport de cette nouvelle édition tient à l'utilisation de toutes ces confitures. L'ouvrage ne se limite pas à donner des recettes, il s'intéresse de plus à leur utilisation dans divers desserts, des entrées ou des plats principaux à base de viandes ou de poissons.
Et vous ne résisterez plus à l'envie de tout essayer ! Confitures ou gelées de fruits ou de légumes, confits de fleurs, de feuilles ou d'algues, avec ou sans cuisson, avec ou sans sucre - tous les essais sont possibles pour un renouveau de la confiture !
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L'histoire du café n'est pas seulement celle d'un petit grain venu du Moyen-Orient et simplement utilisé en cuisine à l'instar de certaines épices. Devenu boisson, le café se conjugue à l'infini selon les rites et les coutumes de la vie sociale, médicale, culturelle, économique et politique. Cet ouvrage est l'occasion d'un grand voyage dans le temps et l'espace entre l'Éthiopie et l'Amérique en passant par l'Europe et l'Asie, d'une initiation aux différents modes de consommation selon les pays et les époques, d'une découverte des nombreuses variétés botaniques, des différentes méthodes de préparation mais aussi d'une évocation des écrivains et des peintres célèbres dans des cafés qui ne le sont pas moins. Derrière le café se cache en réalité tout un monde dont ce traité fait découvrir les innombrables facettes et les multiples manières d'en goûter la saveur. Un ouvrage qui a sa place partout : en cuisine près des livres de recettes, dans la bibliothèque près des dictionnaires, à côté de la machine (à café) et, surtout, au chevet des amateurs, occasionnels ou inconditionnels, experts en arômes, passionnés convaincus. ou en passe de l'être !
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Épices. Mot quasi magique qui nous entraîne vers des contrées lointaines, tropicales, exotiques. Mot qui s'associe immédiatement à l'image d'une échoppe située en Asie, au Moyen-Orient ou au Maghreb, qu'importe le lieu, pourvu qu'elle soit remplie de sacs, posés à même le sol, débordant de poudres diverses aux couleurs chaudes et à l'odeur enivrante.
Mais qu'est-ce qu'une épice ? C'est à partir des différentes définitions du mot épice données par les dictionnaires ou les encyclopédies, à partir de l'histoire médicale et culinaire révisée depuis les temps les plus anciens jusqu'à nos jours, de l'approche chimique plus récente des scientifiques, mais aussi à partir du bon sens populaire, qu'ont été choisies les épices qui parfument ce livre.
Ce Grand Traité des épices laisse donc de côté aromates et condiments et présente de manière exhaustive plus de soixante-dix épices, avec un historique de leur découverte, une description botanique, leur utilisation en cuisine, leurs vertus médicinales et leurs dangers, les découvertes empiriques des Anciens, les croyances qui leur sont attachées et, pour certaines d'entre elles, leur entrée, parfois ancienne, en parfumerie et en cosmétique.
La richesse de l'illustration originale, où s'équilibrent les dessins en noir et blanc et les planches couleurs (aquarelles et photos), montre l'ensemble de chacune des épices et permettra au lecteur de ne pas confondre le fenouil avec l'aneth, la carotte avec la ciguë...
Une invitation à découvrir le monde extraordinaire des épices.
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On trouve le yaourt sur tous nos étals, nature, sucré, fruité, allégé, de vache, de brebis, de chèvre. On le rencontre dans tous les pays du monde et, cette fois, il peut être de yack, de chamelle, de rennes. ou, du moins, croit-on le rencontrer car bien souvent il ne s'agit que d'un lait fermenté ou caillé. Qu'importe puisque tous sont très bons tant pour la santé que d'un point de vue gustatif. D'autres, au contraire, voudront être au courant de ce qu'ils mangent. Tous ont raison mais peut-être est-il intéressant de savoir que tel « yaourt » contient de la crème, que tel autre, allégé, comporte plus de calories qu'un yaourt nature ou qu'il est préparé à partir de présure animale ou non. Cela explique ce "Petit traité" qui ne se limite pas au yaourt dont nous consommons, nous Français, en moyenne, chacun, 21 kilos par an, mais qui parle de sa famille, celle des laits fermentés, et de quelques fromages frais bien connus (mais non des fromages secs ou fermentés). Son histoire est presque aussi vieille que celle de l'Homme. Dès que ce dernier a su domestiquer les ruminants, il a trait les femelles. Mais le lait ne se contente pas d'être lait, il « tourne » et ce nouveau produit, délicieux, sera conservé, transporté, consommé et enfin cuisiné à et dans toutes les sauces. La majeure partie des recettes données se réalisent à partir de produits qu'il est possible de trouver facilement. Certains d'entre eux cependant, parce qu'étrangers, sont moins courants mais il sera facile de les remplacer par un petit-lait, un caillé ou un yaourt de chez nous, même si le goût en est légèrement différent.
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Qui ne connaît pas les herbes aromatiques ? Chacun d'entre nous est capable d'en citer un plus ou moins grand nombre... Mais, en réalité, savons-nous combien d'entre elles sont de « vraies » herbes aromatiques ? Voici le complément indispensable du 'Grand traité des épices'. S'il traite des « fines herbes » largement répandues dans nos jardins comme la ciboulette, le basilic, la menthe ou le thym, il s'intéresse également à certaines plantes comme la coriandre, le fenouil ou la livèche, présentées dans le premier volume pour leurs parties « épices » (graines, écorce ou racines) mais dont l'utilisation d'autres éléments, en particulier les feuilles, n'avait pas été retenue. Ce volume traite aussi de nombreuses plantes de nos forêts et de nos chemins pour peu qu'elles soient aromatiques et utilisées en cuisine. Ainsi, plus de 90 herbes aromatiques sont présentées dans ce livre, dont quelques-unes pour leur seule utilisation en tisanes ou en liqueurs. Toutes se trouvent facilement sur les étals des marchés ou dans la nature. Cet ouvrage, comme le précédent, est donc à la fois un livre de botanique et d'histoire, celle de la découverte de la plante et de son utilisation ancienne et actuelle en médecine, mais surtout en cuisine, plus de cent recettes permettant de les utiliser pour en découvrir tous les bienfaits ! L'illustration originale, composée uniquement d'aquarelles et de dessins à l'encre, aidera le lecteur à reconnaître les grands classiques mais aussi des herbes aromatiques plus discrètes dans nos cuisines et pourtant à portée de nos mains, comme l'ail des ours, la bourrache, les immortelles et bien d'autres.
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Petits-farcis. N'oubliez pas le trait d'union! Il ne s'agit pas des farcis niçois. Pourquoi ce néologisme? Que recouvre-t-il?
Les Anglo-Saxons parlent de turnover (dans le sens d'une pâte repliée autour d'une farce) ou de hot-pocket (« poche chaude ») mais les Français ne possèdent pas de mot particulier pour regrouper et définir ces nombreuses pâtisseries charcutières connues de par le monde sous des noms spécifiques (empanadas, bastelles, fatayers, tourtons, pirojkis, samoussas, etc.) - une lacune comblée avec petits-farcis, désignant tous les membres de cette famille nombreuse répartis sur les cinq continents.
Ces petits-farcis ont en commun d'être à base de pâte, de la plus simple aux plus complexes, modelable à la main, fine ou très fine, entourant une farce extrêmement variée, à base de viandes, de légumes, de fruits ou de fromages, salée ou sucrée.
Ils sont en demi-lune à bord festonné, triangulaires, ronds, carrés ou rectangulaires, parfois en forme de rouleaux ou de cigares, en aumônières ou même de formes extravagantes, parfaitement fermés ou légèrement entrouverts. Certains sont toujours liés à une sauce d'accompagnement, d'autres se dégustent nature, et tous peuvent être mangés à la main, chauds ou froids, en apéritif, en entrée ou en plat principal, en dessert, à la maison ou en pique-nique.
Avec ses 90 recettes de petits-farcis, leur histoire et leur préparation, ce Petit traité parcourt un nouveau monde culinaire à découvrir avec gourmandise!
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Poissons bleus je vous aime... maquereaux, sardines, harengs et anchois
Mireille Gayet
- Le Sureau
- 15 Mars 2011
- 9782911328695
Pourquoi un ouvrage de recettes consacré aux seuls poissons bleus ?
Parce qu'ils sont faciles à trouver sur les étals, de la mer du Nord à la Méditerranée, que ceux retenus ici sont d'un prix très abordable et, bien sûr, parce qu'ils sont bons, doublement même, pour leur goût et pour leur apport en oméga-3.
Les quatre poissons bleus retenus ici, dits aussi « poissons gras » - le maquereau, la sardine, le hareng et l'anchois - se prêtent à toutes les approches culinaires, froides ou chaudes.
Cet ouvrage vous permettra de reconnaître tous ces poissons, quel que soit leur nom vernaculaire, de les préparer et de les utiliser en cuisine, qu'ils soient frais, salés ou fumés, vendus en vrac ou en boîtes, pour le simple bonheur des membres de la famille ou des amis.
Un ouvrage indispensable pour découvrir les saveurs insoupçonnées des poissons bleus.
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Que de chemins parcourus par la tomate depuis sa naissance en Amérique du Sud, probablement au Pérou, et notre table ! Rouge, orange, jaune et même blanche, lisse ou côtelée, ronde ou allongée, les Incas avaient déjà sélectionné de nombreuses variétés. De la grosse tomate coeur-de-boeuf à la tomate cerise, en passant par l'olivette et bien d'autres, nous avons maintenant l'embarras du choix pour les cuisiner. Crues en salade, arrosées d'un simple filet d'huile d'olive, en potages chauds ou froids, cuites au four, farcies ou gratinées, les tomates se prêtent aussi aux conserves, séchées ou non, bref elles s'accommodent... à toutes les sauces.
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Vous habitez au bord de la mer ou dans une grande ville où les poissons frais arrivent dans les douze heures qui suivent leur pêche ? Alors vous pouvez manger de délicieuses sardines fraîches mais tout le monde n'a pas cette chance. Et, de toutes façons, la sardine, petite grande dame capricieuse, a ses saisons pour apparaître : elle sait se faire désirer. Heureusement, il existe d'excellentes sardines confites, en boîtes, appelées tout simplement « sardines à l'huile », quand bien même elles sont à la tomate, épicées ou au naturel. D'où un choix extraordinaire pour apprécier tout au long de l'année ce merveilleux poisson bleu aux bienfaits reconnus pour la santé. Qu'elles soient fraîches ou confites, ce sont toutes ces sardines que cet ouvrage vous propose d'accommoder, avec plus de 60 recettes et de nombreuses idées pour en réaliser de nouvelles. Mais ce petit traité raconte aussi toute l'histoire de la sardine, une histoire double : celle de la sardine, du temps où elle était salée et pressée à celui où elle s'est retrouvée marinée ou en boîte ; et celle des pêcheurs, confiseurs, ouvrières, inventeurs qui ont inscrit la sardine au patrimoine gastronomique. Une histoire passionnante et insoupçonnée, pleine de péripéties, avec ses mystères, ses échecs et ses succès commerciaux. De sa naissance à sa fin dans une boîte en fer blanc ou au barbecue, la sardine est un monde. Autrefois produit de luxe réservé aux riches, aujourd'hui mets de choix accessible à tous, toute l'année, avec mille manières de le déguster. Pour preuve, cet ouvrage.
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Saumon, je vous aime... fumé, frais, cru, cuit, mi-cuit !
Mireille Gayet
- Le Sureau
- 12 Septembre 2012
- 9782364020351
Il est présent sous toutes les formes, sauvage ou d'élevage, frais ou fumé, entier ou tranché, en darnes, en filets, en pavés, en lardons ou en dés... sans parler des conserves ! Et en fins d'année, on ne voit que lui ! Mais soyons honnêtes : comment préparons-nous le saumon ? Fumé, il n'a souvent droit qu'au banal filet de citron ! Frais, il se transforme en pavés simplement grillés, au mieux avec une petite sauce... Pourtant, que de possibilités offertes par ce poisson ! La preuve : cet ouvrage vous propose plus de quatre-vingts manières de le préparer, qu'il soit fumé ou frais, avec ou sans cuisson, cru, mi-cuit ou cuit. De quoi renouveler vos entrées (froides ou chaudes), découvrir de nouvelles associations, oser des recettes inhabituelles, varier les meilleurs accompagnements - et profiter pleinement de toutes les valeurs nutritives et gustatives de ce « roi des mers ». N'hésitez plus : achetez du saumon, la suite est dans ce livre !
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Vaste sujet que les céréales ! Mais d'abord, difficile à définir. Ce Grand traité aborde de manière exhaustive les graminées comestibles et autres graines de diverses espèces, céréales et pseudocéréales. À l'instar du "Grand traité des épices" et du "Grand traité des herbes aromatiques", l'auteure aborde le sujet sous tous ses aspects, historique, religieux et politique, botanique, agronomique et gastronomique. Les céréales, d'abord sauvages puis cultivées, ont en effet une longue histoire avec l'homme et peuvent se targuer d'être liées à l'essor de grandes civilisations dans toutes les régions du monde, d'être à l'origine de désastres humanitaires et de révolutions, de fournir de nos jours 45% des calories alimentaires de toute l'humanité, ainsi qu'une grande partie de celles des animaux d'élevage, sans parler des utilisations annexes comme l'amidon, le fourrage et maintenant le biocarburant. Et pour ne rien négliger, l'auteure s'intéresse aussi, à côté des grandes cultures connues de tous, aux céréales secondaires, importantes dans leur pays d'origine et qui arrivent doucement chez nous. Un ouvrage très complet, à la fois pratique et esthétique, aux illustrations remarquables.
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« Courre, courre aussi vite que tu peux?! Tu ne pourras pas m'attraper?! » Tout le monde connaît l'histoire du petit bonhomme de pain d'épice, mais de quel pays vient-il?? De France, d'Angleterre, d'Allemagne, d'Europe centrale, de Russie?? Non, il nous arrive tout droit des États-Unis.
Alors, le pain d'épice est originaire d'Amérique??
Absolument pas?! On dit qu'il vient d'Égypte, de Rome ou de Chine, à moins que ce ne soit de Russie ou... de Pithiviers (via l'Arménie?!). En réalité, il vient de nulle part et de partout, en forme de coeur, de cochon ou de saint Nicolas. Il est unique et multiple. Moelleux à souhait ou sec comme un cookie mais toujours d'une odeur délicieuse et bon pour la santé.
Permet-il d'apprendre à lire?? A-t-il servi d'arme fatale?? Que de légendes ou de rumeurs à son sujet attestant de sa notoriété?! Que de questions?! Est-il un pain??
En aucun cas. Est-il un gâteau?? Pas plus. Alors... qu'est-ce que le pain d'épice??
Une chose est certaine, qui ne trompe pas sur l'intérêt et le renouveau du pain d'épice : son retour en force sur les marchés de Noël et chez les grands cuisiniers où il participe maintenant à des recettes aussi bien salées que sucrées.
Mireille Gayet explore dans ce petit traité toutes les régions du globe où le pain d'épice est à l'honneur et propose près de cent recettes, des plus classiques ou traditionnelles aux plus originales ou surprenantes : de quoi combler les palais les plus divers - et d'aller de surprise en surprise gastronomique?!
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jolies, mais pas seulement, les fleurs gagnent à être connues ailleurs que dans les massifs et en bouquets d'ornement.
ce livre, très simple pour débutant(e), propose des recettes exclusivement de fleurs, et non de feuilles, de graines ou de tubercules, les plus courantes et les plus faciles à trouver.
les fleurs peuvent se préparer de différentes façons : cuites ou crus, en salade ou pour accompagner un plat, comme dessert, en gelée ou en confiture. leurs couleurs et leurs formes varient à l'infini transformant un simple plat en un véritable tableau que les enfants adorent.
leurs goûts varient considérablement et même si nous les rapprochons de plantes qui nous sont plus familières certaines surprennent.
riches en vitamines et en sels minéraux, elles sont peu caloriques. nous ne parlerons pas de leurs vertus médicinales qui appartiennent à un tout autre registre.
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Il y a deux façons de manger des moules, l'ambiance « bistrot », où l'on se lèche les doigts, et les recettes plus raffinées pour lesquelles les coquilles ont été retirées. Les deux ont leur charme et c'est ce que veut modestement présenter ce livre. Les moules ne laissent personne indifférent. Elles offrent de très nombreuses possibilités de préparations qui ne demandent jamais beaucoup de temps en cuisine. Finie l'idée de ne pas les consommer pendant les mois en « r ». Petites ou grandes, à la cassolette ou farcies, en entrée, en soupe ou en plat principal, les moules sont toujours bien accueillies sur la table par les petits et les grands. Merci à Patrick Walton, l'Irlandais qui, en 1235, ayant fait naufrage sur les côtes charentaises, inventa à son insu les premiers bouchots.
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Alexandre de Humboldt, le dernier savant universel
Mireille Gayet
- Vuibert
- Inflexions
- 21 Août 2006
- 9782711771998
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Grand traité des cucurbitacées : Melon, concombre, gourde, courge et Cie, du petit cucamelon au gros potiron
Mireille Gayet
- Le Sureau
- Petits Et Grand
- 24 Septembre 2024
- 9782364022102
"Cu-cur-bi-ta-cées", mot complexe qui fait rire les enfants, bien souvent assimilé trop simplement à... "courges", "potirons", "citrouille", quand il n'est pas limité aux seuls premiers éléments de cette trilogie. Pourtant, la famille des cucurbitacées est bien plus riche que cela : certes, les anciens fruits consommés chez nous depuis des siècles - concombres, melons, pastèques, courgettes, gourdes, calebasses et coloquintes - sont bien connus, ceux arrivés plus récemment sur nos étals le sont beaucoup moins - christophine, courge cireuse, pâtisson, kiwano, etc. - la liste des noms vernaculaires est longue ! Devant l'impossibilité de présenter toutes les cucurbitacées (plus de 10 000 variétés !), ce Grand traité aborde essentiellement celles qui sont utilisées à des fins culinaires ou artistiques. Il retrace leur incroyable diversité, leur histoire, parfois très ancienne, depuis leur pays d'origine (souvent oublié) jusqu'à nos assiettes où goût et santé ne se font aucune concurrence, au contraire. Ainsi familiarisé avec les cucurbitacées, le lecteur ne confondra plus concombres et cornichons, gourdes et courges, citrouilles et potirons... et découvrira sans doute les deux seules cucurbitacées anciennes de chez nous, le « navet du diable » et le « concombre d'âne », toxiques mais communes dans nos sous-bois. Certaines cucurbitacées - les gourdes à coque dure - sont souvent devenues des récipients culinaires, des éléments de décoration ou des instruments de musique, des plus simples aux plus sophistiqués. D'autres sont l'objet de véritables chefs-d'oeuvre éphémères, où le sculpteur joue avec l'étonnante palette de formes et de couleurs de leur peau et de leur chair, une utilisation moins connue qui enrichit elle aussi l'univers inattendu des cucurbitacées. Un univers haut en couleurs que les aquarelles de Mireille Gayet reflètent à merveille, avec beaucoup de subtilité. L'auteure, dont plusieurs ouvrages ont été primés, met ici, au service des cucurbitacées, ses compétences en recherche scientifique et dans le domaine culinaire.
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Poissons, je vous aime... de l'étal à la casserole
Mireille Gayet, Aude Mairey, Oivier Gaudant
- Le Sureau
- 20 Février 2004
- 9782911328107
Poissons de mer, poissons d'eau douce, sauvages ou d'élevage, le choix qui s'offre à nous sur l'étal du poissonnier nous laisse parfois perplexe. Que choisir ? Les 65 recettes présentées ici jouent sur la variété des poissons puisqu'elles concernent 65 poissons différents, avec autant d'accompagnements. Laissez aller votre imagination et régalez vos invités !
Grand format 10.00 €Indisponible
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Histoire pittoresque de la paléontologie
Claude Babin, Mireille Gayet
- Ellipses
- 8 Février 2022
- 9782340065161
Une histoire tout public de la paléontologie présentant ses grandes disciplines avec une approche thématique et anecdotique.
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Poissons, je vous aime... froidement
Mireille Gayet, Valérie Gaudant, Nathalie Gaudant
- Le Sureau
- 27 Mai 2004
- 9782911328114
Après les recettes « chaudes » de Poissons, je vous aime, 65 poissons, 65 recettes ..., voici les recettes « froides ». La plupart d'entre elles peuvent être réalisées la veille et ne demandent que quelques minutes de préparation avant le service. Froides, elles se servent plus en entrée, du moins en hiver, mais peuvent facile-ment faire office de plat principal (ou de plat unique) en été et agrémentent heureusement tous les buffets.
Enfin, ces préparations ont un autre avantage qui n'est pas négligeable, celui d'être aimées sinon préférées des enfants parce que, généralement, totalement désarêtées et souvent très colorées.
Laissez aller votre imagination, combinez-la avec votre goût et le plaisir des couleurs, très important, particulièrement pour les terrines.
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Tomates, je vous aime... dans tous vos états
Mireille Gayet, Valérie Gaudant, Nathalie Gaudant
- Le Sureau
- 27 Mai 2004
- 9782911328138
Que de chemins parcourus par la tomate depuis sa naissance en Amérique du Sud, probablement au Pérou, et notre table !
Rouge, orange, jaune et même blanche, lisse ou côtelée, ronde ou allongée, les Incas avaient déjà sélectionné de nombreuses variétés.
De la grosse tomate coeur-de-boeuf à la tomate cerise, en passant par l'olivette et bien d'autres, nous avons maintenant l'embarras du choix pour les cuisiner.
Crues en salade, arrosées d'un simple filet d'huile d'olive, en potages chauds ou froids, cuites au four, farcies ou gratinées, les tomates se prêtent aussi aux conserves, séchées ou non, bref elles s'accommodent... à toutes les sauces.
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Les fossiles du Liban ; mémoire du temps
Mireille Gayet, Pierre Abi saad, Oivier Gaudant
- Desiris
- 16 Février 2012
- 9782915418491
Les « poissons de pierre » du Liban sont parmi les plus beaux fossiles du monde, témoins d'une période vieille d'environ cent millions d'années.
Bien avant son indépendance, le Liban avait été célébré par bien des voyageurs pour ses pierres à empreintes de poissons ou de crustacés, aujourd'hui exposées dans de nombreux musées ou précieusement conservées dans des collections privées. Et pendant longtemps, les questions sur la fossilisation de ces animaux marins ou sur leur présence en haut de certaines montagnes, loin des rivages actuels, sont restées sans réponse.
Cet ouvrage est issu de la rencontre entre Mireille Gayet, paléoichtyologue, directrice de recherche honoraire au CNRS, qui a étudié de nombreux groupes de poissons fossiles en cherchant à analyser et à reconstituer leur histoire, et un Libanais, Pierre Abi Saad, archéologue, collecteur passionné et amoureux des poissons fossiles de son pays, dont il possède une extraordinaire collection à laquelle il a rendu vie par l'image avec Olivier Gaudant, photographe et infographiste.
La richesse des reproductions, la clarté des commentaires et la rigueur des informations font de cet ouvrage un merveilleux recueil d'illustrations, une étude scientifique précieuse et une étonnante balade au « Pays des cèdres » - témoignage d'un patrimoine auquel sera sensible tout amateur, scientifique ou simple curieux des fossiles.