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Philippe Rossignol
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Cartes de géographie, tableaux d'histoire, de sciences naturelles... Une sélection de cartes de notre école pour retracer des années d'apprentissage.
Bien rares sont les plus de 50 ans d'aujourd'hui qui, au cours de leurs années d'école primaire, n'ont pas connu les « images Rossignol » ; ces grandes planches illustrées en couleurs qui servaient alors de support dans les classes pour les leçons d'histoire, de géographie, de sciences et d'élocution. Tout un patrimoine culturel qui vit dans la tête de bon nombre d'entre nous sous la forme de représentations mentales communes, et que l'on doit à Madeleine et André Rossignol, instituteurs du département de la Vienne, pédagogues à l'imagination fertile, qui dans les années cinquante ont fait entrer dans les classes de France la pédagogie en images et en couleur, fruit de leurs réflexions et de leur imagination. -
Au coeur du désert du Wadi Rum, durant une compétition d'ultramarathon, Paul Dubois se voit proposer par une mystérieuse inconnue un marché d'apparence anodine. D'apparence seulement, puisque dès son retour à Paris, son quotidien bascule dans l'irrationnel. Il se laisse alors volontiers aspirer par sa nouvelle vie et les improbables facilités qui lui sont offertes. D'abord avec délectation, puis rapidement saisi d'impuissance face à son univers qui se délite. Car toute chose a un prix. Surtout le fugace et impermanent sentiment de bonheur.
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à l'école de Rossignol ; l'intégrale des cartes de notre enfance
Laurence Bulle
- Metive
- 8 Septembre 2017
- 9782371090545
Entre 1946 et 1963, quel instituteur, quelle institutrice n'a pas utilisé les carnets d'orthographe Rossignol ? Voici le beau livre pour (re)découvrir les célèbres planches pédagogiques créées par André et Madeleine Rossignol. Tableaux d'histoire, de sciences, d'instruction civique, de vie quotidienne... Ces remarquables pédagogues deviendront célèbres grâce aux nombreux outils, dont une merveilleuse collection d'images, qu'ils réalisent à destination des écoles.
Ce beau livre réunit plus de 500 planches commentées par Laurence Bulle et Philippe Rossignol pour se remémorer les souvenirs des cours de récréation et des enseignements d'antan.
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Qui n'a pas dans un coin de sa mémoire d'élève une des célèbres planches Rossignol ? En eff et, les éditions Rossignol ont marqué d'une forte empreinte la vie des écoles primaires de l'après-guerre et l'on pouvait encore trouver certaines de ces gravures accrochées aux tableaux dans les années 1970. Les époux Rossignol, parfaits archétypes de l'école républicaine du xxe siècle dont ils symbolisent les valeurs et la réussite, sont à l'origine d'une véritable révolution pédagogique. Les tableaux muraux, de grande dimension, ne sont pas de simples accessoires de la leçon. Ils sont à l'origine d'une méthode d'apprentissage d'avant-garde, fondée sur l'observation, la participation puis parfois l'expérimentation de chaque élève. La qualité exceptionnelle des gravures, véritables oeuvres d'art, réalisées par de véritables artistes explique le succès de ces tableaux, encore très vivace aujourd'hui. Les éditions De Borée ont décidé de mettre en valeur ce patrimoine sous la forme d'un véritable livre d'Art, dont l'intérêt est autant esthétique que documentaire.
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? Chères à nos coeurs d'écoliers, de grandes planches colorées qui ont égayé les murs de nos classes.
? Beaux et simples, des dessins didactiques qui traduisent la volonté d'instruire. ? Près de 600 planches pour toutes les matières scolaires : histoire, géographie, leçons de choses, élocution... ? Un réel témoignage de la pédagogie des cours élémentaires et moyens des années 1950-1970, et au-delà...
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Les Rossignol étaient des instituteurs visionnaires. Lassés des vieilles méthodes qui n'offraient qu'une pâle vision du monde à leurs élèves, ils ont inventé dans les années 50 les cartes et les affiches en couleurs. Que ce soit pour la géographie, l'histoire, l'alphabet, l'élocution, les sciences naturelles ou simplement la vie quotidienne, ils ont tout redessiné. Ces planches eurent un tel succès que les écoles de la France entière furent équipées en quelques années de ces belles images, qui ont marqué les souvenirs d'enfance de plusieurs générations.
Au-delà de la valeur pédagogique de ces planches, il y a surtout leurs superbes dessins avec les couleurs chatoyantes, et l'évocation d'un monde idéal et tranquille, notamment dans les scènes de la vie quotidienne. Cet album propose en plus de 120 planches ces images de la France d'autrefois divisées en deux parties :"la vie quotidienne à la ville" et "la vie quotidienne à la campagne". On visite, tour à tour, les fermes et leurs basses cours, les foires paysannes, les étables, les champs de blé, les vignes du bordelais au moment des vendanges, la pharmacie ou l'épicerie d'une petite ville de province, un magasin de meubles, une gare un jour d'affluence, un marché, le salon de l'automobile...
Autant de tableaux variés qui nous paraissent bien irréels aujourd'hui. La France de Monsieur Rossignol apporte un vrai rayon de soleil dans notre grisaille quotidienne.
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L'un danse quand l'autre le regarde. L'un semble toujours sur le départ quand l'autre est immobile. Tels sont les deux frères Fortuna, nés à la fin des années 1970, dans le quartier de Recoleta, à Buenos Aires. Ils grandissent et s'apprivoisent. Le père comme la mère sont aussi étranges qu'imprévisibles ; les cousins jouent avec le feu. De tous, Juan Fortuna est le plus solitaire, le plus fou, le plus libre. Il croit à sa bonne étoile.
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« J'étais à New York il y a cinq ans et j'ai commencé à fréquenter cette fille, Susan, plutôt dévergondée et vraiment drôle. On s'amusait du côté de TriBeca, chez des amis à elle. Des musiciens, des fous. On débutait la longue nuit par des alcools rares et du champagne rosé, les têtes tournaient, tournaient, les gars jouaient de la batterie, tapaient des mains, ne voulaient surtout pas qu'on trouve le temps long. C'était une boucle. Celui qui s'arrêtait de danser ou de chanter laissait la place à celui ou celle qui en avait encore sous la pédale. On accélérait à plusieurs un rythme cool & cold, certains prenaient des drogues, moi j'en ai jamais eu besoin. Mon corps s'amuse seul à en secréter gratuitement ».
Dans ce roman trépidant divisé en trente « jours », un jeune homme pressé décide de prendre le large. De Berlin, où le narrateur fréquente les endroits les moins connus et les plus allumés de l'ex Berlin-Est à la Russie en passant par une partie de pêche au large de l'Espagne, New York ou encore Cambridge, dans une incessante collision de lieux et de personnages, le livre swingue sur un rythme très particulier, entre pulsation et vibration ondulatoire, avant de se clore sur un éloge du sommeil, bienvenu après ces trente journées électriques.
