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Samuel Taylor Coleridge
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Le dit du vieux marin ; Christabel ; Kubla-Khan
Samuel Taylor Coleridge
- Corti
- Litterature Etrangere
- 6 Juin 2024
- 9782714313218
Dans ce long poème, un marin, à l'oeil brillant et fascinant, a commis un crime ; il a tué un oiseau porte-bonheur, il a aussi, par cet acte, attenté à la vie comme principe et, par là même, failli à la perception de l'unité du monde.
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La ballade du vieux marin et autres textes
Samuel Taylor Coleridge
- Gallimard
- Poesie Gallimard
- 22 Novembre 2007
- 9782070319237
« Samuel Taylor Coleridge (1772-1834) est le plus romantique de tous les poètes romantiques. Mélange d'émotions et de réflexion, d'enthousiasme et de doutes, il est la contradiction faite homme. Il aime passionnément la Nature, dans sa version sauvage du Pays de Galles et des Lacs où il vit avec une parfaite sobriété écologique. Dans le même temps, cependant, il ne peut pas se passer de Londres, dont il aime fréquenter les cafés. Comme il a lu Rousseau et les philosophes du XVIIIe siècle, il porte en lui l'utopie d'une société meilleure. Mais comme il trouve que la Révolution française s'est pervertie, il part en 1798 pour l'Allemagne et l'université de Göttingen découvrir Kant, Schelling et Fichte. Ce faisant, il quitte la poésie pour la philosophie, abandonne femme et enfants pour une vie d'errance londonienne et d'accoutumance à l'opium. Il est le modèle de tous les Rimbaud à venir. Il compose un impérissable poème en sept chants La Ballade du Vieux Marin ainsi qu'une méditation orientale sur l'empereur mongol Kubla Khan, que toute l'Angleterre sait par coeur. Ce grand marcheur métaphysique, capable d'escalader les pics du Lake District de nuit, est probablement l'inconnu que l'on voit de dos dans les tableaux de Caspar David Friedrich rêver dans le soleil naissant au-dessus d'un océan de brume. »
Jacques Darras.
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THE RIME OF THE ANCIENT MARINER AND OTHER POEMS
Samuel Taylor Coleridge
- William Collins
- 22 Septembre 2016
- 9780008167561
HarperCollins is proud to present its incredible range of best-loved, essential classics.
''Instead of the cross, the Albatross About my neck was hung'' When an albatross leads a stricken ship out of treacherous ice, a hapless mariner shoots the bird, arousing the wrath of spirits who pursue the ship. Haunted by Death, the crew begin to perish one by one, until only the cursed mariner remains to confront his guilt. As penance for his actions he is condemned to wander the earth, telling his tale to those he meets as a warning.
The Rime of the Ancient Mariner is Samuel Taylor Coleridge''s longest major poem and marks the beginning of the romantic movement in British literature. This edition also includes many of Coleridge''s other works, including Kubla Khan, Christabel and a selection of the ''conversation'' poems.
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''Water, water, every where, Nor any drop to drink.'' Part of the Macmillan Collector''s Library; a series of stunning, clothbound, pocket-sized classics with gold foiled edges and ribbon markers. These beautiful books make perfect gifts or a treat for any book lover. This edition features illustrations by Gustave Dore, the most remarkable wood engraver of the nineteenth century, and an introduction by writer and journalist Ned Halley. In The Rime of the Ancient Mariner , one of the best-known and best-loved poems in the English language, a grizzled old sailor stops a man on his way to a wedding and tells a terrifying story. He speaks of how he doomed the crew of his ship by shooting dead an albatross, awakened the wrath of ocean spirits, met Death himself, and must now walk the earth for ever and share his tragic tale of sin, guilt and - ultimately - redemption.
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La mer n'est jamais loin en Angleterre. Encore moins en Ecosse ou au Pays de Galles. Partout la mer est respiration, la mer amène le sel jusqu'aux poumons et aux reins des Anglais, dont l'existence comporte toujours à un stade ou l'autre un embarquement, un éloignement de l'île maternelle, suivis d'une période d'exil plus ou moins longue, et d'un hypothétique retour. Parmi les poèmes, romans ou récits dramatiques qui se sont constitués autour du voyage maritime, en Angleterre, le poème de Samuel Taylor Coleridge, The Rime of the Ancyent Marinere, est un miracle de perfection. Certes son auteur ne fut pas un véritable marin mais jamais poète n'avait su adapter à ce degré le balancement de la ballade au rythme de la mer. La rencontre de l'instrument prosodique et du sujet fut si heureuse que leur mariage donne encore aujourd'hui le sentiment du véhicule poétique optimal, embarcation gréée à tous les vents jusque dans son démâtement et le dépouillement des voiles. Nous avons choisi de privilégier ici la première version de La Ballade du Vieux Marin, la livrant dans le rythme majoritairement octosyllabique de la ballade dont, depuis Chrétien de Troyes et Villon, l'usage s'était en poésie française inexplicablement affaibli. Or rien, ni la haute mer, ne nous interdit d'avironner dans le huit !Jacques Darras
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Les sermons laiques 1816-1817/ami 1818 : (1816-1817)
Samuel Taylor Coleridge
- Gallimard
- 27 Novembre 2002
- 9782070729562
Avec la Biographia Literaria, les proses des Sermons laïques et de L'Ami (écrites de 1816 à 1818) forment l'ensemble théorique le plus abouti dans l'oeuvre de Samuel Taylor Coleridge (1772-1834), et le plus vaste ensemble théorique du «romantisme anglais». Il était jusqu'ici presque inconnu et non traduit en France. À défaut de constituer un système clos, Coleridge confronte patiemment les enjeux et les domaines classiques de la philosophie (métaphysique, morale et politique) à la vérité de son époque. L'époque signe en effet pour lui l'échec de la philosophie des Lumières. À cette dernière, et à la déchirante destruction de l'idéal révolutionnaire, il oppose la pratique d'un nouvel idéalisme platonicien, un idéalisme «anglais» qui s'efforcerait de n'oublier ni le monde et ses pratiques, ni la religion comme force régulatrice du monde. Mais Coleridge a aussi lu les «romantiques allemands», Fichte, Schelling, Hegel. Il y a puisé la conscience d'une fin de l'art religieux. À mesure qu'il construit son idéalisme, Coleridge rénove la conception de l'art, et l'idée de l'écriture. Il veut rendre celle-ci encyclopédique en un sens nouveau, c'est-à-dire «historique», ou plutôt «historiante, créatrice d'époque». Les essais traduits ici élaborent le fameux concept d'«imagination tautégorique», qui était censé renouer le lien proprement «poétique» de l'histoire et du mythe, et refaire un moyen terme absolu entre l'intelligible et le sensible (le théologique et le politique, l'éternel et l'historique).
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La ballade du vieux marin ; the rime of the ancient marine
Samuel Taylor Coleridge
- Publie.Net
- 24 Octobre 2018
- 9782371775619
« Voici LA BALLADE DU VIEUX MARIN telle que l'a écrite Samuel Taylor Coleridge. Elle raconte l'histoire étrange d'un navire, d'un équipage et d'un marin qui s'est passée dans les mers froides du Sud et chaudes du Pacifique. Une histoire que chacun entendra à sa façon et qui commence sur un chemin où trois jeunes gens s'en vont à la noce. »
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Été 1797 : Coleridge entame son « année miraculeuse ». Sous l'influence de son nouvel ami Wordsworth, il conçoit les chefs-d'oeuvre qui le feront passer à la postérité (La Chanson du vieux marin, Christabel, Kubilaï Khan). À la demande du prestigieux théâtre de Drury Lane, il écrit sa première tragédie, Osorio. Mais la pièce est refusée sans raison valable.
Nullement découragé, après en avoir publié deux extraits dans les Ballades lyriques, acte fondateur du Romantisme, il la révise complètement, en améliore la trame et le style, et parvient finalement, au bout de quinze ans d'effort, à lui faire connaître un triomphe sous le titre de Remords.
Dans la lignée shakespearienne, Coleridge imagine une terrible histoire autour de la jalousie d'un frère pour son aîné. Il la situe dans l'Espagne de la Reconquista, dans un climat inquiétant de luttes religieuses, mêlant avec une rare habileté complots familiaux et politiques, intrigues fictives et faits historiques. Il donne vie à de fascinants personnages, tiraillés entre devoirs et sentiments, désirs de vengeance et rêves d'amour, au centre desquels dominent deux frères déchirés, incarnations du destin de tout un pays.
Cette édition propose, traduites pour la première fois en français, les deux versions de cette pièce. Ces deux textes sont complémentaires et s'éclairent l'un l'autre.
Une longue introduction retrace son histoire complexe et mouvementée : sa gestation, les obstructions qui empêchèrent sa représentation, sa résurrection et l'influence qu'elle eut sur la deuxième génération romantique anglaise.
Des notes détaillées et une bibliographie exhaustive complètent une approche critique sans équivalent. En annexe sont traduits le prologue et l'épilogue lus lors des premières représentations.
Textes traduits, présentés et annotés par Davy Pernet.
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On ne présente plus cette ballade du poète britannique Samuel Taylor Coleridge : long poème romantique paru en 1798, aventure surnaturelle d'un marin qui, après avoir tué un albatros, voit son équipage subir malédiction et assaut de la mort. La culpabilité et la rédemption, au plan individuel ou collectif, y prennent une résonnance toute particulière.
Valery Larbaud effectua une première traduction du poème en 1901 alors qu'il n'avait que vingt ans : l'impression fut financée par sa mère. Insatisfait, il y revint, dix ans plus tard, pour la remanier entièrement et y joindre une notice inédite : c'est cette version, publiée en 1911 par Victor Beaumont, que nous reproduisons. D'une élégante précision, la traduction - mise ici en regard du texte original - marie idéalement le romantisme britannique aux codes de la littérature française. Elle transforme, fidèle au texte, le vers anglais en une prose cadencée et dote le poème d'une musicale fluidité. Admirable traducteur, passionné des langues, Larbaud porta aux yeux des lecteurs français les oeuvres, entre autres, de James Joyce ou Samuel Butler. Sa Chanson du vieux marin confirme son statut de passeur de culture acharné. La notice qui précède le poème témoigne une fois de plus de l'attachement porté à cette oeuvre qui «ne saurait être imitée» en revenant, au travers de documents originaux traduits, sur sa genèse et sa composition, ses sources et sa publication, ainsi que sur l'accueil qu'elle reçut des critiques. -
Carnets : en un mot comme en quatre
Samuel Taylor Coleridge, Antonin Artaud
- Fario
- 1 Mars 2024
- 9782385730055
« En un mot comme en quatre, Samuel Taylor Coleridge, comme un certain nombre de poètes notoires à qui comme à lui il fut ordonné de se taire par tels moyens de brimade occulte auxquels il serait temps enfin d'apprendre à résister, Coleridge, dis-je, avait eu vent d'une vérité qu'il n'a pu transmettre à personne et qu'il n'a pu faire passer dans ses poèmes que de très loin (...) » Ainsi commence cet étonnant commentaire des Carnets par Artaud, en 1947, lequel poursuit un peu plus loin : « Car ce qui reste de Coleridge dans ses poèmes est encore moins que ce qui de lui-même est resté dans sa propre vie. » Ces quelques lignes disent assez la proximité profonde, intime, presque indicible en réalité, qui, à un siècle distance, lie Coleridge à Antonin Artaud.
Peu de temps après le retour d'Antonin Artaud de Rodez, Henri Parisot lui demanda d'écrire une préface pour une traduction qu'il préparait de poèmes de Coleridge. Entre juillet et octobre 1946, Antonin Artaud entreprit à plusieurs reprises d'écrire cette préface sans parvenir à une forme qui le satisfasse. Finalement il envoya en novembre un texte à Henri Parisot sous forme de lettre à laquelle il donna le titre de « Coleridge le traitre ». Texte sur lequel il pratiqua par la suite nombreuses corrections manuscrites. Écrit en juin 1947, au moment où Artaud apportait d'ultimes remaniements, le fragment présenté ici, constitue vraisemblablement l'un de ces addendas. Les deux oeuvres (les Carnets de Coleridge et le texte d'Artaud) ont été publiées ensemble dans la revue L'Ephémère (n° 17) de l'été 1971. -
Recueil de formules lapidaires et incisives, satires, aperçus sur les beaux-arts ou réflexions métaphysiques, ces «Propos» offrent un tableau des multiples talents dont était doué Coleridge.
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Lyrical Ballads
William Wordsworth, Samuel Taylor Coleridge
- Penguin Books
- 24 Août 2017
- 9780241303108
Lyrical Ballads (1798) is a landmark collection of poems that marks the beginning of the English Romantic Movement in literature. Co-written by friends William Wordsworth and Samuel Taylor Coleridge, the collection broke away from traditional poetic form. Of the twenty-three poems, Wordsworth penned works such as 'Lines written a few miles above Tintern Abbey' and 'The Idiot Boy' that use colloquial speech and take the everyday as their theme. The collection also includes Coleridge's greatest poem 'The Rime of the Ancyent Marinere', a supernatural tale of a sailor's voyage.