Après avoir exercé le métier d'archéologue pendant quelques années, Sophie Jomain s'est découverte une passion pour l'écriture. Depuis le succès des Étoiles de Noss Head, la première saga new adult française, elle n'a cessé d'être saluée par la critique, notamment pour sa série fantastique Felicity Atcock et ses romances contemporaines Cherche jeune femme avisée et D'un commun accord, inspirées de contes de fées.
« Pour moi, une nouvelle vie commençait : l'université à St Andrews avec Leith, mon petit ami loup-garou. J'avais espéré que le calme était revenu, que je vivrais ma première année de fac comme n'importe quelle jeune fille, ou presque.
Douce utopie, rien ne se passe jamais comme on le voudrait.
Je n'en avais aucune idée alors, mais les forces qui devraient s'affronter allaient au-delà de tout ce qu'on peut imaginer.
J'étais au moins sûre d'une chose : tôt ou tard, je paierais les pots cassés. » « Les auteurs français ont du talent ! Sophie Jomain le démontre magistralement avec Les Étoiles de Noss Head. Sa plume enchante, fluide, simple, intelligente. Une saga à découvrir absolument ! » Typhaine, FNAC Bercy-Village
Camille, 27 ans, souhaite mourir par euthanasie volontaire assistée. Le combat qu'elle mène contre sa dépression est sans fin et ni Dieu, ni la science, ni la médecine, ni le sport, ni l'amitié ne l'ont aidée. Elle a rendez-vous dans une clinique belge pour exaucer son voeu. Pourtant, là-bas, elle fait une rencontre qui pourrait changer le cours des choses.
Alice Rivière est une psychologue peu conventionnelle. L'incongruité, c'est son truc. Elle ne fait rien comme personne et c'est même la raison pour laquelle on vient la voir. D'ailleurs, si elle pouvait parler de ce qu'on lui confie lors de ces séances, elle aurait des centaines d'histoires à raconter. Mais la discrétion est une règle d'or. Une règle fortement ébranlée par la réapparition du commandant Xavier Capelle qui vient lui soutirer des informations sur un de ses patients.
Encore faudrait-il qu'elle accepte de l'aider et qu'elle lui pardonne l'humiliation subie seize ans plus tôt. Et pour ça, il peut toujours courir...