La Sanseverina possède toutes les dimensions de la femme amoureuse et objet d'amour passionné, tandis que le héros, Fabrice del Dongo, est un enfant béni des dieux. Mais leur fougue et leur sentimentalisme vont les mener à un destin tragique.
Roman réaliste où l'ambition côtoie la cruauté d'une jeunesse inconsciente. Julien Sorel, fil de charpentier, veut gravir les échelons de la société, pour cela deux carrières s'offrent à lui : le clergé ou le militaire ; c'est finalement par les femmes que Julien parviendra à ses fins.
Par ces deux Chroniques Italiennes, Stendhal, nous fait pénétrer dans la violence et les passions de l'Italie renaissante. Thème cher aux romantiques.
La première conte la révolte et le drame de Beatrix Cenci, par son père sorte de Don Juan sans scrupule (qui permet à l'auteur de donner sa vision du mythe).
La seconde Trop de faveur tue décrit les intrigues, les rivalités, et les amours coupables, qui se nouent dans un couvent de Florence à l'époque de Ferdinand de Médicis.
« Mina de Vanghel naquit dans le pays de la philosophie et de l'imagination. » Ainsi commence l'histoire d'une jeune fille noble de Koenigsberg qui, au XIXe siècle, décide de vivre pleinement « le feu qui l'anime ». Mais si elle réchauffe un coeur, la passion peut aussi bien le consumer lentement. À la vie, à la mort ! Pour sentir cette brûlure même un instant, Mina s'engage jusqu'au crime. Reprenant la question de l'amour, Stendhal (1783-1842) poursuit son étude de la « cristallisation » des sentiments. Après ces Chroniques Italiennes publiées chez Autrement dit, c'est l'Allemagne que l'écrivain honore, tout en confirmant son immense talent de nouvelliste.
Les Cenci conte la révolte, le courage, et le drame de Beatrix Cenci, abusée par son père sorte de Don Juan sans scrupule. Par cette chronique italienne, Stendhal nous livre sa vision du mythe de Don Juan et nous fait pénétrer dans la violence des passions de l'Italie renaissante. Si le thème est éminement romantique, l'analyse précise des sentiments et des mobiles de chacun est d'une grande modernité.
Un Carbonaro prêt à sacrifier sa vie pour la liberté de l'Italie, une des plus belles princesses d'Europe capable de se damner pour lui : voilà la trame de Vanina Vanini.
Violante, duchesse de Palliano a-t-elle un amant? Si oui, Don Juan de Palliano, son époux, peut-il le lui pardonner alors qu'il est le neveux du pape Paul IV? Qu'en pense son frère, Don Carlos Carafa? Quel sera le sort de Diane Brancaccio la dame d'honneur et entremetteuse?
Voilà quelques uns des drames noués dans ces deux Chroniques Italiennes, qui permettent à STENDHAL (1783-1842) de nous plonger dans la violence et les passions latines avec le talent qu'on lui connaît.
" Je me trouvais à Mantoue il y a quelques années, je cherchais des ébauches et de petits tableaux en rapport avec ma petite fortune... " C'est ainsi que Stendhal débute cette Chronique Italienne, en certifiant l'authenticité de son récit puisqu'il ne fait que recopier un manuscrit ancien trouvé lors de ces recherches d'oeuvres d'art. Vittoria Accoramboni est une femme très belle, de haute naissance et d'une grâce charmante. Elle se marie avec Félix Peretti chez qui elle vit comme une reine. Pourtant, un jour que le frère de Vittoria fait appeler Félix, celui-ci est assassiné dans la rue de trois coups d'arquebuse...
Alors que le cardinal Montalto, frère du défunt Félix Peretti, devient pape sous le nom de Sixte-Quint, le prince Orsini se marie avec la belle Vittoria...
Voilà quelques uns des drames noués dans cette Chronique Italienne, qui permet à STENDHAL (1783-1842) de nous plonger dans la violence et les passions latines avec le talent qu'on lui connaît.
Les Cenci conte la révolte, le courage, et le drame de Beatrix Cenci, abusée par son père sorte de Don Juan sans scrupule. Par cette chronique italienne, Stendhal nous livre sa vision du mythe de Don Juan et nous fait pénétrer dans la violence des passions de l'Italie renaissante. Si le thème est éminemment romantique, l'analyse précise des sentiments et des mobiles de chacun est d'une grande modernité.
Ainsi débute " Trop de faveur tue " où intrigues, rivalités et amours coupables se nouent dans un couvent de Florence à l'époque de Ferdinand de Médicis.
Par cette Chronique Italienne, Stendhal nous fait pénétrer dans la violence et les passions de l'Italie renaissante. Si le thème est éminemment romantique, l'analyse précise des sentiments et des mobiles de chacun est d'une grande modernité.
Trop de faveur tue décrit les intrigues, les rivalités, et les amours coupables, qui se nouent dans un couvent de Florence à l'époque de Ferdinand de Médicis.
Par cette Chronique Italienne, Stendhal nous fait pénétrer dans la violence et les passions de l'Italie renaissante.
"Le timbre vocal et la sensibilité d'Alain Carré servent l'oeuvre avec beaucoup de présence, sans jamais l'asservir."Ghislain Cotton. Le Vif/L'express.
Un Carbonaro prêt à sacrifier sa vie pour la liberté de l'Italie, une des plus belles princesses d'Europe capable de se damner pour lui : voilà la trame de cette Chronique Italienne.
Elle permet à STENDHAL (1783-1842) de nous plonger dans les passions latines avec le talent qu'on lui connaît.
Les Cenci conte la révolte, le courage, et le drame de Beatrix Cenci, abusée par son père sorte de Don Juan sans scrupule.
Par cette chronique Italienne, Stendhal, nous livre sa vision du mythe de Don Juan et nous fait pénétrer dans la violence des passions de l'Italie renaissante.
Si le thème est éminement romantique, l'analyse précise des sentiments et des mobiles de chacun est d'une grande modernité.
Violente, duchesse de Palliano a-t-elle un amantoe Si oui, Don Juan de Palliano,son époux, peut-il le lui pardonner alors qu'il est le neveux du pape Paul IVoeQu'en pense son frère, Don Carlos Carafaoe
Quel sera le sort de Diane Brancaccio la dame d'honneur et entremetteuseoe
Voilà quelques uns des drames noués dans cette Chronique Italienne, qui permetà STENDHAL (1783-1842) de nous plonger dans la violence et les passionsromaines ou siciliennes du XVIeme siècle.