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Littérature
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Depuis l'époque de Descartes, un nouveau personnage occupe la scène philosophique : le moi, tandis que s'éclipsent d'autres personnages qui eurent leurs heures de gloire - tels l'intellect agent et l'âme. D'où sort-il?
Par une intéressante alchimie, les philosophes ont tiré de notre usage ordinaire d'un pronom («moi») un être philosophal pur («le moi»). Au terme de quelles aventures conceptuelles le moi se trouve-t-il à la fois à la troisième personne (pour qu'on puisse dire «le moi») et à la première (puisque toute l'idée est d'expliquer ce qui fait que je suis moi)? Tire-t-on le sens des mots «toi», «lui», «elle» de notre usage du mot «moi»? Loin que l'on puisse dériver la diversité des personnes d'un rapport à soi dont le pronom «je» serait le seul instrument, c'est au contraire la première personne qui tire son sens et ses traits originaux de sa position au sein du système personnel.
Autant de questions grâce auxquelles Vincent Descombes, avec cet air de rien qui est sa marque de fabrique, montre nos incohérences philosophiques et égotistes!
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Lafayette go home !
Alain Vince
- Terre De Brume
- Litteratures Terre De Brume
- 23 Avril 2014
- 9782843625244
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« C'est l'histoire de Em, une jeune femme comme toutes les autres. À ceci près qu'elle danse au soleil, enfermée dans un rêve impossible. Que fait Em quand elle ne danse pas ? A-t-elle peur que son soleil se voile ? Ou bien ne s'arrête-t-elle jamais de danser, de peur d'avoir peur de nouveau ? Car peut-être que Em n'a plus peur, lorsqu'elle danse au soleil. [...] Mais au fond Em ne peut pas oublier la réalité. Pas vraiment. Et sa danse est le sortilège des illusions.»
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Vince Neil ; tattoos & tequila - descente aux enfers et retour en grâce d'une bête de scène
Vince Neil, Mike Sager
- Le Camion Blanc
- 24 Décembre 2010
- 9782357791015
Voilà trente ans qu'il chante ; maintenant, il parle. Leader charismatique de Mötley Crüe, homme d'affaires, pilote automobile à l'occasion, Vince Neil a connu la vie brillante et mouvementée de toute rock star digne de ce nom, les paillettes et les excès en plus. C'est lui-même qui raconte sa vie, sous la plume experte de Mike Sager. La voix la plus stridente du glam metal dit tout, de son jeune âge sur le Strip de Los Angeles aux stades pleins à craquer de fans en délire, à travers quatre mariages, le décès de sa fille et un accident de voiture mortel. À cinquante ans, il était temps qu'il nous raconte...
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Vince Russel écrit dans un style qui emprunte autant au slam qu'à la poésie. De son parcours cabossé il a su tirer des textes remplis d'humanité et de sensibilité, où il tient "à ne plus fuir la vrai vie comme la peste."
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Journal d'un père ; pour mes enfants quand ils seront grands
De Swarte/Vince
- Ramsay
- 15 Août 2006
- 9782841148288
Pendant deux années, de la naissance de Lou, sa fille, jusqu'aux cinq ans de Pablo, son fils aîné, Vincent de Swarte a observé ses enfants avec autant d'amour que d'attention. À travers une série de textes courts, poétiques, souvent drôles et toujours émouvants, Journal d'un père met en scène ses enfants en train de grandir et de changer. Chaque texte est l'occasion d'une séquence intime et belle, d'instants d'une rare intensité. Ce faisant, l'auteur répare une injustice, comble un manque : celui de la parole du père. Car les hommes ne sont toujours pas écoutés lorsqu'il est question de petite enfance : le monde des nourrissons et des tout-petits reste le domaine réservé des mamans. Pourtant, le regard, l'amour, l'émerveillement, l'inquiétude même, ne sont pas les mêmes quand ils émanent d'un père. Et ce que nous conte Vincent de Swarte n'est autre que la grande aventure de la paternité. Tout commence avant la naissance, il analyse et raconte le bouleversement, le basculement de celui qui apprend que sa femme est enceinte. Puis surgit le regard du nourrisson, ce regard qui « tue notre narcissisme » parce que, contrairement à ceux des grandes personnes, on ne demande rien aux yeux des nouveau-nés. Ils peuvent donc tranquillement refléter un amour qui possède la gratuité de l'infini. Des yeux, Vincent de Swarte passe aux mains et, dans l'ovale parfait des ongles minuscules de sa fille, il devine le début de sa grâce, l'ébauche et l'essence de sa féminité. La nuit, il se relève pour vérifier que ses enfants n'oublient pas de respirer et au matin il s'insurge contre cette angoisse malsaine entretenue par des pédiatres qui ne cessent de brandir le spectre de la mort subite du nourrisson. Il traque la naissance de la parole, l'aube du langage et disserte avec humour sur la différence entre sourire intentionnel et sourire mécanique. En homme, en père et en écrivain, il s'interroge : pourquoi les bébés pleurentils à la fin du jour ? Quel type de musique peut alors les apaiser ? Comment mener une conversation avec un enfant de six mois ? Les petits garçons préfèrent-ils danser sur du Ginger Rogers ou écouter les Beatles ? Ses références sont picturales et littéraires, de Chagall à Bataille, en passant par Melville. Il compare l'entêtement de Bartle by à répéter « j'aimerais mieux pas » à la radicalité du « non » de l'enfant de deux ans. Et surtout il analyse et se délecte de cet amour si singulier qui unit un fils à son père, une fille à son papa.
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Evocation historique de la vie en Brière depuis la révolution. Augustin VINCE, plus connu sous le nom de "l'abbé Vince", disparu en 2003, docteur en géographie, a été un des spécialistes les plus reconnus de l'histoire et de la géographie de ce terroir aux frontières de la Presqu'île Guérandaise . Il a laissé de nombreux ouvrages de fond sur la question, dont ce "Briérons, naguère..." qui n'a pas pris une ride. Il y fait le tour des spécificités locales, de l'émergence ancienne des marais, avec étude du sous-sol (le sol tourbeux de la Brière n'avait jamais été exploré avant lui), à son peuplement et à ses activités traditionnelles, en passant par le patrimoine naturel et bâti autour des canaux briérons.
A partir de documents d'archives et de témoignages de Briérons, l'auteur restitue la vie traditionnelle et la création, l'usage et l'entretien des réseaux de canaux qui enserrent les isles.
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Une fois que vous aurez appris le Secret du Un, il ne tiendra qu'à vous d'en appliquer le principe. Vous êtes seul dépositaire de votre clé et de votre trésor, et nul ne peut vous l'enlever ou l'ouvrir à votre place.
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C'est à l'occasion du départ déchirant de son île que l'auteur découvrait l'importance et la beauté de l'univers qu'il quittait, tant pour ce qu'il s'agissait de la vie sociale que de la vie politique. Il allait se battre à tout prix pour conserver ce qu'il avait quitté et vivre en même temps une vraie histoire d'amour.
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Depuis sa plus tendre enfance, le héros de ce roman est attaché à préserver la nature. Ce combat, auquel viendra se greffer une mystérieuse intrigue amoureuse, jalonnera son histoire.
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Un village baigné de sérénité, dans une campagne en plein remembrement, rencontre un monde urbain bouleversé. « Ses yeux avaient toujours leur drôle d'expression, celle d'un homme qui sort du fond de l'eau et il y a, à découvert, l'intérieur de la mort. "Ne rigolez pas, dit-il enfin. Je l'ai vue !!!" La Sage avait bien autre chose à faire que de s'occuper des paysans en train de fouiner leurs champs. L'aube la surprenait dans la même occupation que la nuit, penchée sur l'étrange créature que l'eau avait jetée dans les bras du pêcheur... » Quand le mystique laisse entrevoir une part de vérité à l'horizon.
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Une femme, un homme, tout semblait les séparer, rien ne semblait les prédisposer à se rencontrer.Rien non plus ne semblait les faire plonger dans cette relation.Il a suffi d'un soir, de quelques mots pour que tout démarre, d'autres soirs pour que tout s'enchaîne, et d'une soirée pour que tout bascule.
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Chroniques dejantees d un (educ) cadre un peu hors cadre
Vince Vince
- Edilivre
- 3 Septembre 2020
- 9782414474417
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Ce recueil va vous faire vivre plusieurs décennies.
« L'avantère d'une vie », un personnage haut en couleur débutera sa vie et ira du basique jusqu'à un début de destin houleux. Cela vous rappellera certainement des souvenirs. Soit de votre enfance, soit comme parents.
Dans « La garde ère », des personnages d'actualités défendent leurs droits, et d'autres profitent de leur pouvoir à outrance.
Enfin, « L'après guère mieux », l'auteur, comme d'autres, souhaitera la venue d'êtres d'ailleurs pour sauver le monde. Et dans un recours plus sombre, il aura envie de finir sa vie tranquillement, mais de ne plus être présent lorsque nous ne verrons plus d'issues aux maltraitances que les puissants de ce monde infligent aux peuples et à la planète. -
La Théologie de la Luxure est un mélange rare et lyrique d'humour, de sensualité torride et de psychologie profonde. Dans un parc national spectaculaire dans la région des Grands Lacs d'Amérique, chaque mot est un coup de pinceau dans un chef-d'oeuvre lyrique qui évoque les sens.
Entrez dans le monde du génie érotique, Richard Blanc, un homme obsédé par la beauté dans toutes ses manifestations. Il la voit tout autour de lui, vous la décrit avec des détails et un ravissement saisissants - exactement ce que la « fiction littéraire » cherche à être. S'en délectant, la savourant, il se retrouve désespérément empêtré dans ces choses qu'il ne voit pas...
Ralph Mercier Vince a vécu et travaillé partout dans le monde. Il a beaucoup écrit dans le domaine des mathématiques appliquées, et ses ouvrages sont parmi les plus téléchargés et lus au monde. De plus, il a complété des dizaines de marathons et d'ultra-marathons. Il réside avec sa femme et son chien dans une ville côtière du sud de la France, qu'il décrit comme « l'endroit le plus magnifique sur Terre ». -
Né le 19 avril 1923 en Haute-Savoie, Jean-Vincent Verdonnet y vit toujours, fidèle à ces paysages de montagnes et à la rudesse de ce pays. Une existence en poésie avec une trentaine de recueils parus. Dans une Furtive écoute, des poèmes courts - des tercets pour la plupart - en communion avec ces petites choses qui sont de la vraie vie, comme « Le reflet d'une aile sur l'eau / Sa proposition fragile / qui s'adresse aux jours à venir ». Pour le poète, un être toujours en résistance (et il fut, naturellement, de la Résistance), il s'agit d'« Écrire une dernière fois / en laissant au creux de la page / la semence noire des mots / pour une moisson de lumière ». (Francis Chenot)