Vainqueur du Grand Prix des Nations à dix-neuf ans, recordman du monde de l'heure à vingt-deux et vainqueur du Tour de France à vingt-trois, Jacques Anquetil est un « exemplaire unique » dans l'histoire du cyclisme. Unique pour sa précocité, unique pour un style aujourd'hui encore inégalé. Son palmarès est riche de cinq Tours de France, de deux Tours d'Italie, d'un Tour d'Espagne, de neuf Grands Prix des Nations, et du fabuleux doublé Dauphiné libéré / Bordeaux-Paris. Cas unique aussi, celui d'un grand champion français qui reçut de ses compatriotes plus de sifflets et d'insultes que d'applaudissements, notamment sur les routes du Tour de France. Sa rivalité mémorable avec Raymond Poulidor n'explique pas tout, même si elle porta à leur paroxysme les mouvements d'hostilité. Comment une telle incompréhension a-t-elle pu progressivement s'installer entre le public français et un champion tricolore qui accumulait pourtant les victoires ? Dans Anquetil, le mal-aimé, Yves Jean revient sur le parcours d'un cycliste hors du commun.
Course après course, un récit des exploits de R. Poulidor et à travers lui, une évocation de l'histoire du cyclisme français.
Le 12 mai 1976. C'était il y a quarante ans. Les Verts de Saint-Etienne disputaient la finale de la coupe d'Europe des clubs champions, à Glasgow, face au Bayern de Munich. Trente mille supporters venus de toutes les régions de France avaient envahi des rues pavoisée aux couleurs de l'ASSE. Ce jour-là, la France entière et la ville de Glasgow elle-même avaient pris fait et cause pour les Verts !
Ce livre fait revivre cette journée historique pour le football français et les épisodes les plus marquants qui ont conduit à cette apothéose. Split, Kiev, Eindhoven, autant de matches historiques qui sont restés gravés dans la mémoire collective de tous les amateurs de football. Et bien sûr cette fameuse finale de Glasgow qui se déroba de façon si injuste aux Verts, après que deux tirs eurent été repoussés par une barre transversale infranchissable en raison de sa section carrée.
Après trois décennies de turbulences, l'ASSE et son fidèle public retrouvent le parfum grisant des compétitions européennes. Renouant avec sa tradition d'innovation, le club inaugure au stade Geoffroy Guichard le premier musée de France consacré à l'histoire d'un club de football. Et, dans une salle dédiée à l'épopée européenne des Verts, les fameux poteaux carrés de Glasgow qui ont scellé le sort de l'ASSE, un jour de finale de coupe d'Europe des clubs champions ! À l'occasion des nombreuses célébrations qui auront lieu, ce livre anniversaire revient sur cette magnifique épopée.
Progressivement le lecteur à une compréhension de la structure électronique, de la géométrie et de la réactivité des complexes des métaux de transition. Après un rappel sur le décompte des électrons, les différents modes de coordination des ligands et les propriétés des orbitales du métal et des ligands (chapitre 1), les principaux champs de ligands sont étudiés en supposant que seules des interactions a se développent (chapitre 2). Les perturbations dues aux interactions Pi (ligands donneurs Pi ou accepteurs Pi) sont étudiées dans le chapitre 3, tous ces éléments étant ensuite utilisés dans une série d'exemples illustrant comment, à partir de la connaissance de la structure orbitalaire des complexes, on peut comprendre leur structure et parfois leur réactivité (chapitre 4). Enfin, l'étude de " l'analogie isolobale ", qui établit des correspondances entre la structure électronique des complexes et celle des molécules organiques, permet de jeter un pont entre ces deux domaines de la chimie (chapitre 5). Le dernier chapitre du livre consiste en un rappel des bases de la théorie des groupes, le lecteur pouvant s'y reporter, si cela lui est nécessaire, lorsqu'il y est fait référence en cours d'ouvrage. L'ensemble est illustré de nombreux schémas et figures, environ 400, ce qui en facilite la compréhension. Enfin, une série d'exercices corrigés termine chaque chapitre, permettant au lecteur de vérifier pas à pas l'acquisition de ses connaissances. Cet ouvrage est destiné aux étudiants de deuxième cycle en chimie, chimie-physique et sciences physiques ainsi qu'aux élèves des grandes écoles. Par certains de ses aspects, il peut également intéresser les étudiants de troisième cycle (DEA).
Accompagnés de Panoramix, le plus célèbre des druides gaulois, ils s'apprêtent à partir pour un long et mystérieux voyage en quête d'une créature étrange et terrifiante.
« Mais quelle est donc cette créature ? » Didier Conrad a fait parvenir un dessin aux Éditions Albert René. Un dessin étrange et mystérieux... Celui-ci montre nos deux héros - créés il y a plus de 60 ans par les géniaux René Goscinny et Albert Uderzo - grimpant le long d'un grand tronc d'arbre pour tenter de récupérer Idéfix qui semble vouloir leur échapper...
Ce tronc est bien singulier car il est sculpté à l'effigie d'une créature énigmatique, dotée de crocs impressionnants et d'un terrible bec de rapace...
...Idolâtrée ou crainte par les peuples de l'Antiquité, cette créature, c'est... le Griffon...
Escortée par deux chefs arvernes, une mystérieuse adolescente vient d'arriver au village. César et ses légionnaires la recherchent, et pour cause : au village, on murmure que le père de la visiteuse ne serait autre que... le grand Vercingétorix lui-même, jadis vaincu à Alésia ! Astérix et Obélix, les héros créés par René Goscinny et Albert Uderzo, reviennent dans une nouvelle aventure, La fille de Vercingétorix, toujours imaginée par le fameux tandem Jean-Yves Ferri et Didier Conrad.
Les personnages créés par les deux génies du 9e art Albert Uderzo et René Goscinny sont de retour !
Après Astérix chez les Pictes et Le Papyrus de César, Astérix et Obélix reviennent dans Astérix et la Transitalique, le nouvel album signé par les talentueux Jean-Yves Ferri et Didier Conrad.
N'en déplaise à Obélix, les Italiques, les habitants de l'Italie, ne sont pas tous des Romains, au contraire !
Les Italiques tiennent à préserver leur autonomie et voient d'un mauvais oeil les vélléités de domination de Jules César et ses Légions.
Dans Astérix et la Transitalique, nos héros favoris s'engagent dans une aventure palpitante à la découverte de cette surprenante Italie antique !
Deux ans après le succès d'Astérix chez les Pictes, les personnages créés par René Goscinny et Albert Uderzo sont de retour dans un nouvel album écrit par Jean-Yves Ferri et dessiné par Didier Conrad. Tous les ingrédients de la potion magique Astérix sont au rendez-vous : l'Histoire de Rome et des Gaulois est revue et corrigée à coups de gags et de jeux de mots en pagaille ! Par Toutatis ! En octobre 2015, toute la Gaule sera occupée... A lire LE PAPYRUS DE CESAR !
Les Pictes ? Oui, les Pictes ! Ces peuples de l'ancienne Ecosse, redoutables guerriers aux multiples clans, dont le nom, donné par les Romains, signifie littéralement « les hommes peints ». Astérix chez les Pictes promet donc un voyage épique vers une contrée riche de traditions, à la découverte d'un peuple dont les différences culturelles se traduiront en gags et jeux de mots mémorables.
De son éblouissement d'enfant devant ses premiers fossiles à l'un des astéroïdes qui tournent en rond entre Mars et Jupiter, Yves Coppens égraine 14 milliards d'années d'histoire du monde, des roches, des êtres vivants et de l'homme comme autant de premières gorgées de paléontologie. On y croise les tout premiers habitants de la Terre, de l'Europe, de la France, les derniers néandertaliens et des mammouths en veux-tu en voilà?! Entre petite et grande préhistoire, ce livre suit avec bonheur le fil d'une vie dédiée à sa passion.
« Comme les trente-six histoires qui sont racontées dans ce livre concernent des épisodes de mon existence, et que mon existence n'a guère été séparée de la paléontologie et des disciplines qui lui tournent autour, toutes ces sciences naturelles et humaines se retrouveront partout dans le texte sous la forme de gouttes de science et de gouttes d'histoire... Comme il paraît par ailleurs que j'ai une bonne mémoire, ce que l'on appelle «une mémoire d'éléphant», si on paléontologise cette jolie expression, elle devient sans peine «une mémoire de mammouth». » Y. C.
BRETAGNE, JUIN 1944. Malgré le Débarquement en Normandie, l'occupantet les miliciens locaux traquent encore et toujours juifs et résistants. Marie-Noëlle veut protéger ses élèves... tous ses élèves !Un récit au grand coeur, véritable hommage au corps enseignant, qui démontre que les forces et les faiblesses de chacun ne résident pas toujours là où on les attend.
- Ca s'appelle " la nature ", frangin... Jadis, les hommes vivaient dans la nature où ils chassaient pour se nourrir...
- J'aurais pas pu.
Inquiets pour Mortimer qui a été kidnappé par les hommes du général Xi-Li, le capitaine Blake, accompagné de l'agente nationaliste chinoise Ylang Ti, se lance à la recherche de son ami. Se servant des indices que Mortimer a eu l'intelligence de semer sur son chemin, ils remontent peu à peu la piste qui devrait les conduire jusqu'à lui.
De leur côté, Mortimer et Han-Dié, archéologue nationaliste qui a trahi son gouvernement pour vendre des documents historiques au général Xi-Li, sont emmenés de force vers le repaire du seigneur de guerre. Mortimer profite de ce voyage pour en apprendre davantage sur les documents qui apporteront la preuve à Xi-Li qu'il est bel et bien le descendant et l'héritier de Shi-Huangdi, le premier empereur de Chine.... dont la légende dit qu'il aurait été emmené à la fin de sa vie dans la Vallée des Immortels.
Arrivé au camp de prisonniers, Mortimer retrouve Nasir, prisonnier de Xi-Li et à l'agonie. Déterminé à sauver son ami grâce à une « perle de vie » miraculeuse, Mortimer s'évade en compagnie de Mister Chou à la recherche de la fameuse Vallée des Immortels où ces perles seraient cachées. Et si ce mystérieux endroit n'était pas qu'un mythe ?
Blake parvindra-t-il à rejoindre Mortimer à temps ? Nos deux héros pourront-ils sauver Nasir ? Surtout, parviendront-ils à sauver Hong Kong à temps des projets de destruction ourdis par le général Xi-LI et l'étrange ingénieur Chase... alias, le colonel Olrik ?
Nous sommes en 52 avant Jésus-Christ. Tout Lutèce est occupée par les romains... Tout ? Non ! Une bande d'irréductibles animaux menée par Idéfix résiste encore et toujours à l'envahisseur.
Après la défaite du chef gaulois Camulogène face au général Labienus, Idéfix organise la résistance avec les irréductibles, une bande d'animaux plus attachants et drôles les uns que les autres pour défendre la cité gauloise face à l'occupant romain.
Dans ce préquel des aventures d'Astérix (nous sommes deux ans avant la rencontre d'Idéfix avec Astérix et Obélix à Lutèce dans l'album Le Tour de Gaule d'Astérix), le petit chien évolue dans un univers inédit qui respecte tous les codes qui ont fait le succès d'Astérix. Idéfix vient en aide à ceux qui subissent les conséquences de l'occupation romaine, aidé par Turbine, Baratine et Padgachix...
Par Toutoutatis, les Romains vont en perdre leur latin !!
Koridwen, Jules, Stéphane, Yannis ont entre 15 et 18 ans. Ils ont survécu au virus U4, qui a décimé 90 % de la population mondiale. Ils ne se connaissent pas, mais ils sont en route vers le même rendez-vous.
« JE M'APPELLE KORIDWEN. Je suis la dernière survivante du hameau de Menesguen. J'ai décidé de me rendre à Paris. 541 kilomètres en tracteur, c'est de la folie, mais toute seule ici je suis trop vulnérable. Ma grand-mère m'a toujours dit que j'aurais un destin exceptionnel. C'est le moment de le vérifier. »
À Lhassa, le palais impérial du dictateur Basam-Damdu est anéanti par une escadrille d'Espadons, et le monde, soulagé, fête la fin de la troisième guerre mondiale.
Pendant que, dans la Chine voisine, les communistes de Mao affrontent les nationalistes de Chiang Kai-shek, le Seigneur de la guerre Xi-Li cherche à mettre la main sur un manuscrit qui lui permettra d'asseoir son pouvoir sur l'Empire du Milieu. Face aux menaces qui planent sur la région, le capitaine Francis Blake est chargé d'organiser la défense de la colonie britannique de Hong Kong. De son côté, à Londres, le professeur Philip Mortimer est amené à s'intéresser de près à une curiosité archéologique chinoise suscitant appétits et convoitises. Au même moment, le fameux colonel Olrik, ancien conseiller militaire déchu de Basam-Damdu, profite du chaos ambiant pour monnayer ses services auprès du général Xi-Li afin d'assouvir sa soif de vengeance...
Premier volet d'un diptyque, La Vallée des Immortels commence exactement là où Le Secret de l'Espadon s'achève. Les amateurs de Blake et Mortimer retrouveront quelques-uns des ingrédients qui ont assuré la renommée de la saga d'Edgar P. Jacobs : la grande aventure, l'exotisme, qui s'exprime ici dans les ruelles dangereuses de Hong Kong, l'atmosphère londonienne digne des plus belles pages de La Marque Jaune et la science-fiction, incarnée par le nouvel engin imaginé par le professeur Mortimer, le Skylantern, le tout relevé par quelques figures de traîtres et par un Olrik plus machiavélique que jamais. Écrit par Yves Sente, l'album est dessiné à quatre mains par Teun Berserik et Peter van Dongen. Inspirés par la « ligne claire » du Mystère de la Grande Pyramide, ils ont su relever ce défi graphique avec maestria et fidélité à l'esprit Jacobsien. Cet album devrait ravir les amateurs les plus pointus de la série.
« Quatre-vingts ans de souvenirs, de rencontres, de voyages, d'initiatives, de résultats, de succès, de joies, de plein de petits plaisirs et de tout petits malheurs, de grands éblouissements.
La paléoanthropologie et l'archéologie ont le devoir scientifique et philosophique de reconstituer l'histoire de l'homme ; elles ont démontré que nos racines étaient animales, prouvé notre cousinage avec les grands singes, déclaré notre origine unique, tropicale et africaine, montré la logique de notre déploiement progressif à travers le monde, et expliqué comment conscience et connaissance ont peu à peu donné à ce drôle de petit mammifère que nous sommes des traits comportementaux que l'on n'avait pas encore vus poindre le long des 4 milliards d'années d'histoire de la vie et qui sont le libre arbitre et la liberté, la responsabilité et la dignité. » Y. C.
Au travers de ses propres Mémoires, et à la lumière des découvertes les plus fondamentales qui ont rythmé sa vie, ce sont, en quelque sorte, les Mémoires de l'humanité que nous restitue ici Yves Coppens, conjuguant le savoir du scientifique, son humanité et le talent de l'écrivain.
Pendant près de quatre siècles, de Copernic à Freud en passant par Galilée et Darwin, les découvertes scientifiques se sont accumulées de façon spectaculaire, donnant l'impression qu'il était possible d'expliquer l'Univers sans avoir besoin de recourir à un dieu créateur. Et c'est ainsi qu'au début du XXe siècle, le matérialisme triomphait intellectuellement.
De façon aussi imprévue qu'étonnante, le balancier de la science est reparti dans l'autre sens, avec une force incroyable. Les découvertes de la Relativité, de la mécanique quantique, de l'expansion de l'Univers, de sa mort thermique, du Big Bang, du réglage fin de l'Univers ou de la complexité du vivant, se sont succédées.
Ces connaissances nouvelles sont venues dynamiter les certitudes ancrées dans l'esprit collectif du XXe siècle, au point que l'on peut dire aujourd'hui que le matérialisme, qui n'a jamais été qu'une croyance comme une autre, est en passe de devenir une croyance irrationnelle.
Dans une langue accessible à tous, les auteurs de ce livre retracent de façon passionnante l'histoire de ces avancées et offrent un panorama rigoureux des nouvelles preuves de l'existence de Dieu. À l'orée du XXe siècle, croire en un dieu créateur semblait s'opposer à la science. Aujourd'hui, ne serait-ce pas le contraire ?
Une invitation à la réflexion et au débat.
"Attention, événement ! Premier tome de Méto, une trilogie époustouflante !
Soixante-quatre enfants vivent retenus dans une maison aux règles très strictes, sans rien savoir de leur passé ni de leur avenir. Qu'y aura-t-il après la Maison...?"
Voilà 10 ans que Manu Larssinet, Mariette et tout le petit monde du Retour à la terre n'avaient pas donné signe de vie... Mariette attend un deuxième enfant. Madame Mortemont a appris à utiliser un Samsong ® et envoie des emojis énigmatiques. Manu, lui, part à la recherche de son père sur Internet et décide d'arrêter la bande dessinée. Quant à Philippe, l'éditeur-adjoint, il se lance dans un voyage téméraire en direction des Ravenelles... Un 6e tome qui réserve bien des surprises !
- Excusez-moi, monsieur Henri, mais êtes-vous bien conscient de la nocivité de ces produits ?
Ça y est, Mariette est enceinte. Manu aussi. Alors, il potasse Laurence Pernoud©, qu'il trouve très évasive sur les affres du futur papa, et il s'entraîne activement - avec simulation du jour J, valises dans le vestibule et repérage du trajet. Bref, il s'angoisse.
Pour se détendre, il va au festival de BD de Château-Moignon. Ça ne le détend pas, mais il se fait un copain - le lama Dondup, dessinateur tibétain exilé - et remporte la Gomme de Bronze. Et puis, évidemment, il rate la naissance. Pendant qu'il erre dans la neige, occupé à traquer un sanglier fictif, le bébé naît grâce aux bons soins de la vieille Mortemont - qui, contre toute apparence, fut (jadis) jeune, amoureuse, résistante et sage-femme. Les gens sont stupéfiants.
Le charme de cette série tient à l'extraordinaire complicité de Ferri et Larcenet, qui s'entendent si bien pour faire passer, avec la même tendresse et la même drôlerie, la vraie vie dans ses moindres détails. Le Vaste monde est, encore une fois, une merveille d'humour et d'émotion, sur un sujet qui va faire vibrer les futurs papas et mamans, ceux qui sont déjà papas et mamans, ceux qui furent des enfants, ceux qui ont un chat caractériel (c'est un pléonasme), et tous les amateurs époustouflés par le graphisme de Larcenet (Gomme de Bronze d'Angoulême 2003 pour Le Combat ordinaire). Ça fait du monde.
D'ailleurs, devant le succès remporté par la série, les deux premiers tomes viennent d'être réédités sous de nouvelles couvertures, mieux harmonisées entre elles. Ce qui nous promet une suite, qu'on espère abondante. Le monde est vaste et la vie continue.