bernard plossu
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Selon Bernard Plossu (né en 1945), l'acte photographique est lié à l'expérience de la marche pendant des heures, à la sensation du sol sous les pieds, à la température de l'air, à la lumière, aux odeurs et aux sons. Pour lui, la photographie, avant d'être un langage, est un mouvement du corps. Il photographie à l'intuition, capture les instants de grâce et "ses paysages intermédiaires", témoignant d'un sens de l'émerveillement unique, du Mexique aux États-Unis, de l'Afrique à l'Europe.
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Memories are made of this
Bernard Plossu
- Lamaindonne
- Poursuites Et Ricochets
- 2 Octobre 2024
- 9782492920189
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L'odyssée des petites îles italiennes
Bernard Plossu
- Textuel
- Textuel Photographie
- 16 Octobre 2024
- 9782845979468
Durant 30 ans, Bernard Plossu a sillonné les petites îles italiennes, dopo l'estate, en compagnie de sa femme Françoise Nunez. Cette odyssée minuscule est le plus long et le plus intime voyage du photographe poète. Capri, Elbe, Capraia, Favignana, Giglio, Levanzo, Procida, Linosa, Lampedusa, Panarea, Marettimo.... Ce corpus jamais présenté dans son ensemble est une déclaration d'amour à l'Italie.
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Découvrez le monde à travers les yeux et le pinceau de Françoise Nunez dans cet ouvrage, "Aquarelles dessinées". Photographe et artiste passionnée, Françoise a capturé l'essence de lieux aussi divers que la Syrie, l'Éthiopie, la Tunisie, et l'Andalousie, transformant ses expériences en aquarelles délicates et profondément personnelles. Née à Toulouse en 1957 et d'origine espagnole, Françoise a commencé sa carrière photographique en 1975, se formant au tirage noir et blanc et assistant des figures emblématiques de la photographie française. Son mariage avec Bernard Plossu, un autre photographe de renom, et leurs voyages ont enrichi son oeuvre d'une dimension internationale. Ce livre rassemble une sélection de 33 aquarelles petit format (10 x 15 cm) réalisées avec une minutie qui caractérise si bien Françoise. Chaque pièce, qu'elle dépeigne des scènes de rue syriennes en teintes de gris et de bleus discrets, ou des portraits de la vie quotidienne en Éthiopie en teintes brunes, est un témoignage de sa capacité à saisir l'émotion et la beauté des cultures qu'elle a rencontrées. Bernard Plossu, dans sa préface, décrit ces oeuvres comme des "vraies petites merveilles" - photographiques, mais aussi empreintes d'une simplicité qui ne tombe jamais dans l'exotisme facile. Rigoureuse et exigeante, Françoise a toujours cherché à transmettre l'émotion pure de ses découvertes, loin du quotidien trop familier. "Aquarelles dessinées" est une invitation à voir le monde à travers l'art subtil et sincère de Françoise Nunez, une artiste qui a vécu pour capturer l'instant et l'émotion, et qui continue de nous inspirer par delà son absence.
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La collection 36 vues invite un photographe à raconter, avec ses mots, l'histoire de trente-six de ses images.
On ne présente plus Bernard Plossu.
De Mexico City à La Ciotat, en passant par Delhi, cet infatigable voyageur traque la poésie depuis plus de cinquante ans. Toujours entre deux trains, l'homme au Nikkormat s'est laissé convaincre de raconter l'histoire de trente-six de ses images. Certaines ont fait comme lui le tour du monde, d'autres sont montrées ici pour la première fois.
Vous allez voir, personne ne raconte Plossu comme Plossu ! -
Quelque part, j´aime bien être là où l´on ne m´attend pas. Ce n´est pas parce que j´aime la photographie ""poétique"" à la Boubat ou Frank que je n´aime pas, ou ne sais pas apprécier autre chose. D´ailleurs, dès le début des années 1970, j´avais photographié ainsi en série au 50 mm les cinémas de l´Ouest américain, et tous les écriteaux ou symboles du mythe des cow-boys et des Indiens. C´est ainsi qu´un jour je me retrouvai consciemment à Düsseldorf, voulant, à ma manière, rendre hommage à cette célèbre école de photographie. Comment faire?? Je ne me sers pas d´une chambre?! Mais avec la rigueur du 50 mm à laquelle je crois dur comme fer, il était possible de photographier telle quelle cette ville moderne contemporaine. Au 50 mm, aucune déformation ou effet et ainsi, je pus m´inscrire dans cette approche düsseldorfienne.
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Paris, encore et toujours, pour cet amoureux de la capitale, Paris qu'il a tant photographiée... Mais Paris-Matic... photographiée - en 1970 puis 1990 - à l'Agfamatic, cet appareil jetable, presque un jouet, qu'un photographe pourrait ne pas prendre au sérieux... Pourtant, Bernard Plossu joue avec les possibilités de l'appareil, si différentes de celles de son Nikkormat professionnel, et nous offre ici un nouveau regard "instantané" sur la ville...
"Photos faites à l'Agfamatic, "pour enfants" c'est-à-dire d'une "technique enfantine"... Rien à régler, on met juste sur le petit dessin de nuages ou de soleil. Un rêve I Et en fait d'enfantin, ce sont les appareils les plus révolutionnaires I Pensez, il n'y a même plus à régler, il suffit d'appuyer : on peut photographier avant même qu'on ait eu le temps de se demander si on allait prendre la photo ou pas ! On n'a même plus le temps d'hésiter Plus rapide que du reportage ! " B.P.
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Au début des années soixante-dix, passage à Rome, pendant un hiver froid et pluvieux? aucune photo de bonne, j'avais un grand-angle?! sauf deux ou trois à Pompéi silencieuse et vide sous la pluie merveilleuse... Plus tard, en 1979, ayant enfin compris la force discrète du 50 mm, venant des hauts plateaux de Taos au Nouveau-Mexique ou j'habitais, je retrouve à Rome Claude Nori, et là, c'est le choc visuel : est-ce le fait d'habiter dans le désert qui fait que cette ville me fascine en comparaison?? Disons que les images de l'Ouest américain sont souvent horizontales et que celles des rues de Rome sont souvent verticales?! et que m'imprègne aussi très fortement l'oeuvre romaine de Corot, auquel je pense si souvent là-bas... Corot qui m'a marqué définitivement par sa sobriété. BP''
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Far out ! les années hip : Haight-Ashbury, Big Sur, India, Goa
Bernard Plossu
- Médiapop
- Sublime
- 25 Mai 2011
- 9782918932024
Bernard Plossu découvre la Californie en 1966, un an avant le Summer of Love. En pleine période hippie, il fréquente la City Lights Bookstore, croise Joan Baez et ses soeurs, rencontre Henry Miller et photographie sans arrière-pensée ses amis artisans, écrivains et artistes (certaines de ces photographies sont inédites, notamment les images en couleurs de 1966 à Haight-Ashbury). En 1970, attiré par l'Inde, Bernard Plossu se rend à Ceylan puis à Goa. Sincèrement hippie, il vit son époque intensément non sans une certaine naïveté.
Dans les deux reportages publiés par Rock & Folk en 70 et 71 et intégralement repris ici (textes et photos de Bernard Plossu), il raconte sa quête d'amour et son aspiration à la paix à travers ses voyages et ses rencontres puis ses premières désillusions quand il se rend compte que l'anticonformisme est devenu une mode et que le rêve hippie est en passe d'être recyclé en business lucratif. Quarante ans après, Bernard Plossu revient sur ses années hip, ses débuts dans la photographie, son goût puis son dégoût pour le "grand angle" qu'il finira par abandonner définitivement. Ce livre touchant témoigne d'une époque qui marqua à jamais Bernard Plossu et nous rappelle que pendant quelques années, les hippies crurent sincèrement qu'un monde meilleur et une vie plus proche de la nature étaient possibles.
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Mediterranean Metaphysics is the subtitle of this photographic project by French artist Bernard Plossu, which brings together 106 images taken over the course of thirty years in the south of France, Spain, Greece, Italy and Turkey Photographs in which the omnipresent white light eclipses people, in a visual exercise that reflects upon the real dimension of landscapes and architectural weaving-images shaping timeless spaces, an almost dreamlike journey through time and light.
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Bernard Plossu a accepté de se livrer à ce difficile exercice : exhumer de ses archives des photographies « autoportraits » qui fassent sens, et écrire, au sujet de chacune d'elles, un texte évoquant leur contexte, et les souvenirs qui s'y rapportent.
Ces autoportraits - 1963 à 2012 - et les textes qui les accompagnent ne parlent pas seulement du passage du temps, mais portent l'empreinte de ses itinéraires, révèlent ses passions et lèvent le voile sur la pratique, comme sur des moments plus intimes, de ce photographe-voyageur, marcheur passionné, observateur curieux.
À travers une trentaine de photographies, pour l'essentiel inédites, Bernard Plossu s'est « tiré le portrait » : photographier sa bibliothèque, son cher appareil Nikkormat, son ombre en carré, son reflet. autant de clins d'oeil pour raconter, sans se prendre au sérieux, 50 ans de carrière.
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Deux voix, deux personnes qui se rencontrent, qui s'entretiennent, qui se connaissent depuis longtemps. Max Pam, photographe Australien et Bernar Plossu son ami, grand photographe français.
Max Pam (né à Melbourne en 1949) est un photographe australien.
Son oeuvre majeure est Going East, récit photographique de ses voyages en Asie durant les années 1970 et 1980.
Adolescent Pam durant l'après-guerre vit dans une banlieue de Melbourne qu'il trouve sombre, oppressante et culturellement isolé.
Il trouve alors refuge dans la contre-culture du surf et produit des images pour le National Geographic et Surfer Magazine, il décide alors de voyager.
Pam a quitté l'Australie à 20 ans, après avoir accepté un emploi en tant que photographe auprès d'un astrophysicien. Ensemble, ils partent en Volkswagen de Calcutta à Londres. Cette aventure a été une source d'inspiration, et le Voyage est resté un maillon essentiel et continu dans son développement créatif et personnel.
Comme Gary Dufour l'a noté dans son essai sur l'océan Indien (Steidl, 2000): «Chaque photographie est façonnée par les incidents vécus par le voyageur. Chaque photo est l'enregistrement d'une expérience, l'histoire personnel d'une rencontre quelque part dans le monde. Chaque séquence fait partie d'une histoire qui se développe plutôt qu'un simple enregistrement d'un lieu observé.
Chaque voyage enrichit sa production, les photographies de Pam ne sont pas les images accidentelle d'un touriste».
Pam emmène le spectateur dans des voyages à travers le monde, et l'on retrouve dans ses photographies une intensité souvent surréaliste, correspondant à la prise de conscience sensorielle accrue de ses voyages. Son travail implique souvent un voyage intérieur, qui correspond avec le voyage physique.
Son travail dans les pays asiatiques, en Europe et en Australie à été largement publié par les magazines ainsi que ses images sur les cultures de l'océan Indien Rim : l'Inde, le Pakistan, le Myanmar, le Yémen, la République de Tanzanie, Maurice, Madagascar. Les images laissent le lecteur, comme le dit Tim Winton dans l'ouvrage Going East (Marval, 1992), «reconnaissant d'avoir été pris si mystérieusement par surprise et embarqué si doucement à l'étranger.»
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Né au Vietnam en 1945, nourri de la contre-culture américaine et de l'esthétique de la Nouvelle Vague, Bernard Plossu souhaitait devenir cinéaste.
C'est en photographe atypique, inclassable qu'il trace ainsi depuis le début des années 1960 son parcours en solitaire, en marge du reportage, de la photographie plasticienne et des modes, « pour être, nous dit-il, de plain pied avec le monde et ce qui se passe. » Pour ce cinéaste de l'instant donné, photographe du mouvement, la photographie est le moyen d'arrimer la pensée à une connaissance personnelle et physique du monde. Rencontres fortuites, stratégies furtives et rapides des sentiments... Bernard Plossu nous montre à quel point on saisit le monde à travers le corps et le corps à travers le monde.
La carte «25_Lisbonne» rassemble plus de 30 photographies en noir et blanc prises par Bernard Plossu à l'occasion de plusieurs séjours à Lisbonne, ville pour laquelle il a une affection toute particulière.
Bernard Plossu a fait l'objet de nombreuses expositions et de nombreuses publications, mais c'est la première fois que ses images font l'objet d'une carte !
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Bernard Plossu parcourt l'Ouest américain de 1966 à 1985. Du Nouveau Mexique à la Californie, via le Nevada, l'Utah, l'Arizona, il photographie les signes, signaux, néons, panneaux et façades sur lesquels apparaissent cowboys et Indiens le long des routes qui traversent le désert. Par dérision, il appelle la série « De Buffalo Bill à Automo Bill ». Sous le regard amusé du photographe, les anciens ennemis, le cowboy, avec ses colts à la ceinture et son chapeau, et l'Indien, avec son tomahawk et sa coiffure en plumes, se livrent désormais une guerre commerciale en étant investis comme enseignes de boutiques rivales. Selon David Le Breton, ces photographies témoignent de la nostalgie inguérissable d'un monde amérindien disparu dont Bernard Plossu a longtemps rêvé. L'ombre des populations indiennes ayant vécu dans sa proximité continue à hanter le désert. Il y a là dans ces rochers et dans la nostalgie de la mesa, l'image possible d'une existence où la fêlure serait atténuée, où une hospitalité serait enfin pensable. Mémoire d'un monde sans séparation mais voué au dépouillement, à l'essentiel, à l'élémentaire.
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« En arrivant en Provence en 1991, j'assistai au Musée Granet (Aix-en-Provence) à une conférence formidable de Jean Arrouye sur les Sainte Victoire de Cézanne. J'arrivais d'années passées, au Nouveau Mexique, puis en Andalousie, où je me passionnais pour l'Expressionnisme allemand, puis pour la Scuola Romana.
Randonneur, aimant le rythme très lent de la découverte des lieux, je commençais peu à peu à marcher dans tous les coins de la région, dont, l'inévitable Montagne Sainte Victoire. J'en faisais des photos, comme ça, en passant, sans idée de projet ou d'exposition. Les années passèrent, je publiais les photos de la Réserve Géologique de Haute-Provence, du Jura, de l'Ardèche, de l'Aragon, puis un jour, des amis me convainquirent de réunir celles de la Sainte Victoire. Je découvris ainsi une série de photos toute en lumière très blanche. Marcher là-haut est une expérience de clarté absolue. C'est ainsi qu'est née «La montagne blanche». Aussi en hommage à Black Mountain, l'école d'artistes américains des années 50 à laquelle appartenait un bon ami à moi, le poète Robert Creeley. Face à la beauté de ce lieu, je décidais de rajouter quelques photos «de notre époque», en la photographiant depuis les trains ou voitures avec des symboles d'aujourdhui, poteaux électriques, autoroutes, fast-food...
Telle est l'histoire de cette série. » Bernard Plossu
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Photographies réalisées à Bruxelles à l'occasion d'une résidence d'artiste proposée par L'Espace photographique Contretype. « Et on se retrouve à Bruxelles à voir, à comprendre des émotions de lumières, de lieux, de symboles d'époques, d'histoires passée, présente, future, pourquoi pas ! Et on marche, sans fin, d'un quartier à l'autre, on fait de la buée, on ouvre les parapluies, on cligne les yeux au soleil qui réchauffe dans un tramway, on écoute Natacha Atlas, on n'en croit pas nos yeux ! Hein, mon vieux Jean-Louis, c'est super d'explorer ce qu'on croit connaître, et de laisser les images qui apparaissent vous montrer tout ce qui se passe... » (Bernard Plossu).
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à la fin des années 60, le photographe français bernard plossu découvre les états-unis depuis le mexique oú ses grands-parents ont émigré.
bill coleman, qui deviendra ensuite un de ses plus fidèles amis, sera son passeur et son guide. en 1974, alors même qu'il est sur le point de se décider à s'installer définitivement dans l'ouest américain, il éprouve le désir de revenir vers le mexique et de photographier la frontera, ces villes frontières oú s'entrecroisent les gringos venus y chercher de la main-d'oeuvre bon marché autant que de l'exotisme, du sexe et de l'alcool sans retenue, et une population mexicaine attirée par des poignées de dollars à portée de main.
d'un côté l'arrogance et le silence du conformisme, de l'autre les odeurs et les bruits de la vie. la confrontation aurait pu être factice ou démonstrative ; chez bernard plossu, elle devient une affaire personnelle et identitaire, un engagement d'artiste autant qu'une dette existentielle, autrement dit une expérience politique et poétique d'une lucidité incomparable. a finales de los anos 60, el fotografo bernard plossu estando en méxico donde emigraron sus abuelos, descubre los estados unidos.
bill coleman, quien sera luego uno de sus mas fieles amigos, sera su mentor y su gula. en 1974, a punto de instalarse en los estados unidos, expresa el deseo de volver a méxico y de fotografiar la frontera, estas ciudades fronterizas donde cruzan los gringos buscando la mano de obra barata asi como el exotismo, el sexo, el alcohol sin medida y una poblacion mexicana atraida por punos de dôlares faciles.
de un lado la arrogancia y el silencio del conformismo, del otro los olores y los ruidos de la vida. la confrontacion hubiera podido ser superficial o demostrativa. con bernard plossu se vuelve un caso personal de identidad, tanto como una implicacion de artista que una deuda existencial, es decir una experiencia politica y poética de incomparable lucidez.
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Cet ouvrage rassemble deux visions, deux regards, deux sensibilités sur cette notion, presque un genre, du « Glamour ».
Livre à quatre mains avec Dominique Païni pour le texte et Bernard Plossu pour les images. Ce qui lie cet assemblage, cette dualité c'est le cinéma, car le mot Glamour y trouve toute sa résonance. Le texte d'ouverture une première fois luxueusement édité et gracieusement offert aux invités du Festival de Cannes en 2012 à l'occasion du 65e anniversaire était accompagné de photographies de stars du cinéma.
Le second texte comme le précise D. Païni La proximité amicale et esthétique que j'entretiens depuis de nombreuses années avec Bernard Plossu m'a immédiatement donné l'idée de lui faire illustrer ce « remake » a été écrit pour ce livre quatre ans plus tard.
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