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chantal thomas
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Journal d'Arizona et du Mexique (janvier-juin 1982)
Chantal Thomas
- Seuil
- Fiction Et Cie
- 3 Mai 2024
- 9782021561241
Installée à New York au début des années 80, Chantal Thomas reçoit l'invitation d'aller enseigner la langue et la littérature française à l'Université de l'Arizona, à Tucson. Au milieu du désert et dans un dépaysement total, elle pratique avec humour l'apprentissage des codes locaux tout en s'adonnant aux plaisirs de la vie, l'amitié, le vin, la tequila, des nuits étoilées, quelques amants fugitifs, une bagnole pour explorer.
L'université lui propose de rester. Un choix trop décisif. Avant de rentrer en France, elle fait un détour par le Mexique : nouveau dépaysement, nouvelles rencontres, nouvelles éclipses. Décidément, Chantal Thomas n'est pas faite pour se fixer. Elle repassera par Tucson pour une joyeuse cérémonie des adieux.
"J'ai eu envie de relire mon journal de Tucson et du Mexique, d'ouvrir mon cahier d'un printemps au désert, de laisser advenir, entre les mots, images et sensations. Curieusement, tout m'est apparut dans la fraîcheur d'un présent, ou d'une fleur de cactus. Alors, j'ai pensé que ces pages pouvaient être partagées."
Une magnifique envie de liberté et d'échappée, qui se dévore dans un enchantement continu. -
Il existe depuis toujours des Journaux de voyage, de rêve, de deuil, mais pas de nage. Pourtant, quoi de plus fragile et puissant, éphémère et total, sensuel et inspirant que le plaisir du bain ? En tenant le Journal de son été 2021 à Nice, Chantal Thomas innove, et poursuit l'entreprise paradoxale entamée avec Souvenirs de la marée basse, portrait de sa mère en nageuse : doter d'une mémoire ce qui, se traçant sur l'eau, se jouant dans un effet de lumière, est voué à l'effacement.
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«L'océan a une dimension tragique, cela fait partie de sa beauté, de l'effroi de sa beauté. Un pressentiment de perdition.»De la Grande Dune d'Arcachon où elle a grandi jusqu'à la ville de Kyoto sous la neige, le 31 décembre 2010, Chantal Thomas nous offre une splendide fresque pour célébrer l'éclat des choses et la puissance de leur silence.La romancière explore l'intimité de la mémoire. Elle exprime les sensations les plus fugitives et les plus essentielles dont nous sommes tissés. Et dit le lien d'amour entre une fille et son père:sa force d'absolu.
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« Des instantanés de sensations pures ».
Télérama.
Milieu des années trente. Une jeune fille se déshabille et plonge dans le Grand Canaldu château de Versailles, sous l'oeil ahuri des jardiniers. Nager, c'est tout ce qui compte pour Jackie. Nager pour fuir les contraintes, pour préserver sa fantaisie. Toute sa vie, elle parcourt des kilomètres pour se baigner. Cet amour pour l'eau, sa fille Chantal en a hérité. Comme sa mère, elle nage pour être libre.
Chantal Thomas est romancière, essayiste, auteure de pièces de théâtre et de scénarios. Les Adieux à la reine (Prix Femina 2002), porté à l'écran par Benoit Jacquot, l'a révélée au grand public. Ses livres sont traduits dans de nombreux pays. Elle a reçu le Grand Prix de la Société des gens de lettres, le prix Roger-Caillois de littérature française et le prix Prince Pierre de Monaco pour l'ensemble de son oeuvre. Elle a été élue à l'Académie française le 28 janvier 2021.
Meilleur Récit de l'année 2017 - Palmarès Lire Magazine littéraire.
Sélectionné pour le prix Médicis 2017.
Sélectionné pour le prix du Roman des étudiants France Culture-Télérama 2017.
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En 1721, la France et l'Espagne scellent une alliance par un échange : celui de la très jeune infante d'Espagne contre la fille du Régent Philippe d'Orléans. Les deux enfants sont destinées aux futurs rois de France et d'Espagne, qui ne sont guère plus âgés qu'elles. Forcées de quitter leur pays, leurs familles et leurs suivantes, elles rejoignent difficilement leurs cours respectives. Mais Versailles est très superficielle pour une fillette de quatre ans sans cesse courtisée et Madrid bien trop sévère pour une adolescente en rébellion contre cette cour si puritaine ...
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Dans Vienne ruinée et humiliée par la victoire de Napoléon, Agathe-Sidonie, ancienne lectrice de Marie-Antoinette, se souvient. De l'année 1789. Du faste de la Cour, bien sûr. Et particulièrement, au lendemain de la prise de la Bastille, des derniers jours à Versailles auprès de cette reine si controversée, qui continue de la fasciner. Agathe-Sidonie s'est enfuie dans la nuit du 16 juillet 1789...
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Des chauffeurs de taxi, des héroïnes de faits divers, des amoureux traversent ces pages et croisent Colette, Roland Barthes, Patti Smith ou Corto Maltese, sans oublier quelques figures chères de mon enfance... On peut lire ces Chroniques en passant comme un journal de voyage, si l'on croit que chaque matin contient une occasion de départ et une chance d'aventure.
J'ai écrit les textes ici réunis de 2014 à 2018 pour le journal Sud Ouest. Et à la fin, en me retournant, j'ai senti qu'ils formaient un livre. Le voici.
C.T.
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L'étreinte de l'eau : entretiens avec Fabrice Lardeau
Chantal Thomas
- Arthaud
- Versant Intime
- 10 Mai 2023
- 9782080281623
«Je sens très fortement un appel à nager, comme une attraction physique. L'eau s'offre dans un présent intemporel ; elle appartient à la jeunesse, et surtout à l'enfance : quand les gens se précipitent vers l'eau, ils sont comme happés par un bonheur qui les dépasse...» Chantal Thomas a grandi à Arcachon entre deux éléments fondateurs, l'eau et le sable. École du regard et du silence, cet horizon premier a forgé ses principes d'existence : autonomie, attention à l'instant et à l'impermanence. Synonyme de liberté, d'amour de son corps, la nage contribue à l'émancipation des femmes. Plage et page se confondent... Chantal Thomas évoque ses voyages, ses lectures, les figures artistiques qui l'ont marquée. De New York à Nice, de Roland Barthes à Patti Smith, elle nous immerge dans une vie nomade où l'écriture prend corps.
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2017. Chantal Thomas s'envole à nouveau pour New York. Revenue dans l'East Village, autrefois peuplé d'artistes et d'immigrés, elle découvre un quartier qui a perdu son âme. Seuls quelques graffitis témoignent encore de la marginalité des années 1970. Pourtant, elle se souvient : St. Mark's Church et ses poètes, le Chelsea Hotel, les bars, les fêtes, les peurs, les amours passagères... Et fait revivre l'intensité d'une époque où régnaient l'audace et la liberté.
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Depuis son enfance, Lisa est fascinée par les cafés : vitrines sur la ville ou repaires secrets. À son arrivée à Bordeaux où elle vient étudier la philosophie, elle peut enfin fréquenter ces lieux complices de son émancipation et de ses errances, témoins de son cheminement... La jeune fille s'en remet au hasard des rencontres et des ivresses pour faire son apprentissage. De la lecture de Beauvoir au bar des Quatre-Soeurs, à l'émotion d'apercevoir celle-ci plus tard à Paris en compagnie de Sartre à La Coupole, ces Cafés de la mémoire dessinent l'itinéraire d'un esprit libre.
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Un air de liberté ; variations sur l'esprit du XVIIIe siècle
Chantal Thomas
- Rivages
- Rivages Poche ; Petite Bibliotheque
- 18 Janvier 2023
- 9782743658564
Ces "Variations sur l'esprit du XVIIIIe siècle" sont des variations sur un esprit rebelle et vagabond, fantaisiste, attaché à la jouissance singulière, au refus de tout comportement de groupe. Un esprit révolutionnaire ? Libertin et libertaire plutôt, comme va le révéler la rencontre avec les événements de 1789 et surtout avec la Terreur.
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Ce livre est un exercice d'admiration. J'ai eu la chance de rencontrer en Roland Barthes quelqu'un de totalement habité par la passion de la littérature et le désir de l'écriture, et qui avait la particularité d'écrire pour faire sentir ce désir, communiquer son éclat. D'écrire et d'enseigner. Il s'est agi pour moi en ces pages de faire exister Roland Barthes comme professeur, et plus largement, de souligner un certain nombre de valeurs que chacun de ses livres affirme, telles : l'amour de la langue, la différence au lieu du conflit, le goût du présent. Des valeurs sous le signe de l'harmonie, mais qui recèlent, s'il le faut, un pouvoir de résistance à tout ce qui se situe du côté du stéréotype, de la répétition mécanique, de la violence.
C.T.
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Enfants, nous avons souvent de la nourriture, des repas, une approche très différente de celle que nous développerons plus tard. Manger, alors, s'évalue par rapport à jouer. Ce texte propose, dans le désordre, une suite d'«entrées» intitulées : semoule, choux-fleurs, salsifis, seiche, lait, colin, glace au citron... Ces aliments participent d'un jeu entre deux petites filles qui n'aiment que les nourritures blanches. À travers ces fragments, à travers les émotions et anecdotes qui leur sont liées, se racontent aussi, ou d'abord, l'histoire d'une amitié, son caractère aussi secret qu'exclusif, et sa terminaison soudaine, décidée, ailleurs, très loin, dans le monde des grandes personnes.
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L'esprit de conversation
Chantal Thomas
- Rivages
- Rivages Poche ; Petite Bibliotheque
- 21 Avril 2021
- 9782743652821
A travers trois célèbres salons : la Chambre bleue de Mme de Rambouillet (XVIIe siècle), le salon de Mme du Deffand (XVIIIe siècle), le château de Coppet de Mme de Staël (XIXe siècle), se tracent trois différentes approches de l'esprit de conversation et des jeux de langage, trois moments dans l'histoire de la femme supérieure (Mme de Staël), c'est-à-dire libre de refuser la tradition et d'affirmer ses talents : les Précieuses optant pour la féerie, Mme du Deffand pour la distance et l'humour, Mme de Staël pour la passion et la littérature comme arme. L'évocation de ces figures féminines, prise dans une réflexion actuelle, est aussi, ou d'abord, un éloge de la conversation - de ses capacités de découvertes, de ses ressources de réconfort et de rires, de son pouvoir de séduction.
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Il est important de savoir distinguer entre ce qu'on souffre par nécessité et ce qu'il nous fait plaisir d'endurer. Faute d'accomplir la séparation, on manque, par complaisance dans la plainte sur des motifs de souffrir qui, au fond, nous sont chers, le plaisir de souffrir. Mais l'on manque aussi, en voulant se dérober à des souffrances inévitables, le lien essentiel qui unit le courage d'affronter la douleur à l'événement de la joie - à la seule possibilité d'un rapport au monde entièrement vivant.
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«Ce livre est à la fois voyage dans l'inconnu du XVIII? siècle et approche d'une figure singulière, irréductible à nos concepts modernes d'intelligence ou de désir.Giacomo Casanova, vénitien, habile charlatan, grand joueur et franc libertin.De n'être pas prise dans un mouvement d'identification, ni de rejet, je m'accorde la liberté de me perdre et d'être séduite, de m'arrêter et d'analyser, et surtout de m'étonner. Car la beauté baroque, infime, grossière, âpre, souvent violente, parfois même monstrueuse dont sont marqués les Mémoires de Casanova n'a rien à voir avec un tableau lisse et rassurant. Elle ouvre sur des interrogations, des situations qui ont la force du romanesque et l'étrangeté des énigmes.»
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Ursule, jeune fille ambitieuse, fuit sa famille : elle veut devenir actrice. Sur sa route, elle croise le duc de Richelieu, fournisseur attitré du gynécée royal. Rebaptisée Olympe, elle s'installe à Versailles et devient la favorite de Louis XV. Mais on ne porte pas impunément ombrage à la Pompadour ! Dans un testament à sa soeur Apolline, elle raconte son tragique destin, des fastes de la Cour à la répudiation.
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"Ici les insectes sont remplacés par des enfants.
Leurs petites silhouettes colorées donnent vie à la palette du bonheur fou. Ils vaquent dans l'ombre pain d'épice des maisons. Ils s'activent sur les places blanches de soleil. Ils se donnent à leurs jeux bruyants et insensés. Ils agitent leurs pieds ronds en une danse de la dévastation, qui pour le moment se satisfait d'elle-même, mais pourrait, au moindre prétexte, déborder sur le reste du monde." Entre Bécassine et Bellmer, entre L'Echo de la Mode et les leçons de grammaire, Chantal Thomas donne vie à une nuée de petites filles qui, sous l'amabilité rassurante de leurs charmes enfantins, satisfont tous leurs caprices.
Elle nous transmet leur force et leur férocité, leur bizarre génie et cette joie sans raison qui fait danser leurs jambes.
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Sous le nom de Sade toujours se risque, ou se refuse, une aventure. Son texte, dans son tissage unique d'écriture et de vie, interroge au comble du sérieux et de la légèreté, à un point de tragique et d'ironie d'où toute demi ou commune mesure est exclue. Ce livre est fait des blancs ou des trous de réponse auxquels l'oeuvre sadienne nous confronte. C'est dire qu'il ne suit pas le trajet d'une quête, mais plutôt s'approche du lieu d'une obscurité : nuit où se déploient également, dans une même solitude, l'orgie libertine et le silence de la lecture...
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en pleine canicule, patrick, les bras chargés d'une cagette de cactus, franchit le seuil du café oú sert raymonde.
tout comme le linoléum, il fond. obsédée par l'idée de se marier, raymonde saute sur ce jeune homme, un brin débile, qui vit toujours sous la coupe impérieuse de sa mère. entre l'énergie que met cette jeune femme à souffrir, même après sept ans de mariage, et la monstruosité épanouie de la mère se crée un ensemble parfait. fantaisie, malice et fantastique pimentent la tragicomédie du trio.
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Thomas Bernhard est l'auteur d'une oeuvre romanesque mondialement connue et de pièces de
théâtre inscrites au répertoire international. L'intransigeance de son propos, la radicalité de son
regard sur l'Autriche, son pays (quoi qu'il soit né en Hollande) en ont fait un des plus grands
écrivains du XXe siècle, qui a toutefois déclenché de très vives polémiques, à Vienne notamment,
suscitées par son implacable éclairage du passé nazi tel qu'il a continué à ses yeux d'imbiber la
bourgeoisie et la petite bourgeoisie autrichiennes dans les décennies qui ont suivies la guerre.
Sarcastique sur le monde de la culture, il est une grande figure intellectuelle, à la fois courageux et
solitaire.
C'est cette oeuvre que Chantal Thomas analyse dans le détail ; c'est aussi cette vie qu'elle restitue,
dans une forme de complicité et presque d'empathie.
La réédition de ce livre a fait l'objet d'une mise à jour du texte et d'un sensible renouvellement de
l'iconographie.
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Ces pages sont nées d'une conversation avec Claude Plettner qui dura plus d'un an, au hasard des cafés. Elle fut menée comme on part dans l'inconnu par des chemins aléatoires, provisoires, alternant le risque de se perdre et l'euphorie de déboucher sur un paysage grand ouvert. Emergent seulement de ce long échange quelques éclats, précieux fragments d'un incessant va-et-vient entre parlé et écrit.
Le bonheur de cette promenade sans carte tient à l'imagination vive, à la sensibilité et à la belle érudition de Chantal Thomas jamais coupée de ses univers les plus personnels. Se dessine ici une topographie intime susceptible de parler à beaucoup, au fil de tours et détours par l'enfance, la plage, la lecture, le théâtre, l'école, la peur, la neige, Roland Barthes, les mystiques, les cafés, les villes où l'on passe et celles où l'un habite...
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La reine scelerate. marie-antoinette dans les pamphlets
Chantal Thomas
- Points
- Points Histoire
- 20 Juin 2008
- 9782757810576
«Marie-Antoinette : Reine. Autrichienne. Epouse de Louis XVI. Joua à la bergère. Fut guillotinée». Ces mots résument le savoir le plus commun porté par le nom de Marie-Antoinette : l'évidence de sa culpabilité ne fait qu'un avec celle de sa beauté.
Chantal Thomas ne nous présente pas ici une biographie de Marie-Antoinette, mais à partir des innombrables pamphlets, l'étude d'un mythe, celui de la reine scélérate, de l'«architigresse d'Autriche», créé par les courants misogynes et xénophobes, qui transformèrent une jeune princesse en une prostituée, une nymphomane, un monstre...
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La lectrice adjointe/marie-antoinette et le theatre
Chantal Thomas
- Mercure De France
- 7 Mai 2003
- 9782715224063
Marie-Antoinette avait plusieurs lectrices, mais elle n'aimait pas la lecture.
Amoureuse des livres, habitée par leurs voix, la Lectrice-adjointe devient confidente malgré elle de la passion naissante de Marie-Antoinette pour madame de Polignac, de son besoin d'indépendance, et de son désir de se libérer enfin de l'emprise, terrible de l'impératrice Marie-Thérèse, sa mère. Cette pièce a fait l'objet d'une commande de France Culture (2001) et de lectures-spectacles à la Comédie Française.