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véronique fiszman
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Alain Solesmes, écrivain de renom et grand manipulateur est à court d'inspiration. Il décide de quitter Paris pour s'instalier dans une maison en banlieue. Très vite immobilisé par un grave accident il se trouve plongé dans les affres de l'angoisse et de la solitude. Il ette alors son dévolu sur ses voisins, la famille Namarre et le célibataire. Paul Lagorce, pour en faire les personnages principaux de son prochain roman. Mais en voulant défaire par un jeu pervers et cynique les habitudes sentimentales de chacun, il met en péril son propre univers.
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Françoise est pianiste. Sa vie avec Marc, son mari, semble bien installée. Ils partagent leur passion et vivent tranquillement jusqu'au jour où Françoise découvre quelques lignes d'Hélène, son amie de toujours, écrites trois jours avant de mourir. Ce texte bouleverse l'image que Françoise avait d'Hélène : «Quand on ne sait plus qui on vient de perdre, on a du mal à souffrir.» Suicide ? Accident ? Françoise part à la recherche de la vérité. Hélène est morte depuis plus d'un an. Pour tout le monde, il s'agit un accident. Pas pour elle. Plus elle avance dans son enquête, plus le sens de sa propre vie lui échappe. Sans se dévoiler, elle interroge les proches d'Hélène, espérant trouver la solution à l'énigme de ce mot. Apparemment, personne ne soupçonnait quoi que ce soit d'anormal dans la vie d'Hélène. Mais chaque réponse apportée pose une nouvelle question.
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À la dernière page du roman, Corinne Chénier, l'héroïne, pleure. Mais par quoi est-elle passée pour y parvenir enfin ? À moins d'aimer est l'histoire d'une réussite imprévue, celle de l'amour sur une jeune femme qui passe sa vie à s'en défendre.
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Célibataire endurcie, Constance de Mazan n'a qu'une idée en tête : rencontrer l'homme de sa vie. À quarante-trois ans, elle a tout essayé, en vain. Au moment où nous la rencontrons, elle vient de passer à la vitesse supérieure en se décidant à surfer sur Meetic. Accro cependant aux joies de l'indépendance, trouvera-t-elle quelqu'un capable de rivaliser avec le plaisir qu'offre la liberté ?
Véronique Fiszman, une fois de plus, ne cesse de nous faire passer du rire à l'émotion, et ce d'une phrase à l'autre, en un retournement toujours inattendu. Et nous voilà entraînés aux côtés de Constance dans ce mouvement de bascule qui, avant de faire parvenir à l'ivresse, doit bousculer quelques idées reçues et habitudes.
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"nous sommes tous des gens bien.
" partant de ce postulat, les nouvelles qui composent ce recueil tendent néanmoins à faire la démonstration du contraire. car lequel d'entre nous n'a jamais sombré dans la mesquinerie, la lâcheté, l'égoïsme, la méchanceté, la bassesse ou la bêtise face à l'imprévu? hommes ou femmes, jeunes ou vieux, tous les personnages de petites faiblesses inavouables sont confrontés à un événement inattendu, plus ou moins anodin, qui provoque des réactions drôles ou bouleversantes, passagères ou définitives, pas toujours reluisantes, mais chaque fois surprenantes.
