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Loubatieres
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Pour la composition de cet ouvrage, les conservateurs des Archives municipales de Toulouse ont sélectionné les documents les plus remarquables de leur fonds, sur leur importance historique, leur qualité esthétique, leur caractère exceptionnel ou insolite.
Le coeur du livre est constitué par les documents eux-mêmes, reproduits au plus proche de l'original, que le lecteur peut scruter et interroger à loisir. Chaque document fait l'objet d'une notice développée situant son contexte et son importance documentaire, nourrissant et éclairant la curiosité du lecteur.
C'est une nouvelle manière d'aborder l'histoire de la ville qui nous est proposée ici.
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C'est une quête de plus de cinq années consacrées à l'écoute attentive du destin tragique des républicains espagnols qui trouve ici sa forme. De la bataille de l'Èbre à la Libération de la France ; de la Retirada aux camps de la mort ; de la Résistance aux prisons franquistes, l'ouvrage est un vaste panorama de cette odyssée à travers les destins de ces véritables Don Quichotte de la liberté. La voix sensible du narrateur, qui s'est formé dans cette mémoire, nous touche car elle nous offre « Le temps retrouvé ». Au-delà de l'hommage aux républicains espagnols exilés, ce livre est une ode à la résistance des peuples.
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Services secrets républicains espagnols en France
Collectif
- Loubatieres
- 14 Février 2005
- 9782862664507
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Exil ; témoignages sur la guerre d'Espagne ; les camps et la résistance au franquisme
Progreso Marin
- Loubatieres
- 14 Février 2005
- 9782862664484
la guerre d'espagne, l'exil, la résistance.
ce livre de mémoire et d'actualité donne la parole aux anonymes qui ont lutté presque à mains nues contre le fascisme. au fil des témoignages, l'espoir que la liberté finit toujours par s'imposer éclaire ces pages, parfois sombres, d'une lumière réconfortante. " les enfants, dans la cour de la prison, étaient en culottes, avec un drap et une petite couverture. ils devaient rester là toute la journée, même s'ils pleuraient, tu ne pouvais les prendre.
moi ; j'étais toujours punie parce que dès que j'entendais pleurer des enfants, je m'échappais, ne serait-ce que pour les balancer un peu. je me souviens d'alfredo, il était très beau. sa mère était enfermée dans une chambre pour qu'elle ne prenne pas son enfant. tu voyais la mère pleurer à la fenêtre, l'enfant pleurer dans la cour, et moi pleurant de rage contre les fonctionnaires. la prison des mères est le pire que tu puisses imaginer.
" (petra cuevas, emprisonnée en espagne).