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Histoire de l'Europe
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Le Mythe du XXe siècle : Bilan des combats culturels et spirituels de notre temps
Alfred Rosenberg
- L'Aencre Éditions
- 10 Février 2025
- 9782368761106
Le Mythe du XXe siècle, paru en 1930, est un essai d'Alfred Rosenberg, l'un des principaux idéologues du parti national-socialiste et l'éditeur du journal "Volkischer Beobachter".
Publié à un moment d'intense activité intellectuelle en Europe, Le Mythe du XXe siècle constitue un document essentiel de l'histoire des idées. Les réflexions de son auteur ont non seulement influencé le régime allemand, mais également une pléiade d'auteurs politiques.
Sa publication à des millions d'exemplaires sera à l'origine d'une vaste polémique entre nationaux-socialistes et chrétiens.
En effet, l'auteur veut démontrer scientifiquement et de façon très argumentée que la quasi-totalité des avancées de civilisation est le fruit des Européens, et résulte de leur héritage racial. De plus, il entend également prouver, documents à l'appui, que les apports sémitiques ont toujours nui à l'Europe.
Comme dans l'ensemble de ses ouvrages, il défend des thèses proches de celles de Houston Stewart Chamberlain, défendant la thèse que la race nordique recouvre avant tout une conception du monde.
« Au côté du livre du Führer, il a contribué dans une mesure unique à l'élévation et au développement spirituel et physique de ce peuple » (Bucher Kunde, novembre 1942).
Le Mythe du XXe siècle figure au premier rang des ouvrages qui, selon Pierre Grosclaude, « constituent avec Mein Kampf les assises idéologiques du national socialisme. » -
« À sa parution, en 1926, ce livre de Henri Massis eut un certain écho. À l'aide de conceptions élaborées, mais claires, et avec une documentation prodigieuse en citations et références, il présentait clairement et substantiellement un problème fondamental : l'orientation de plus en plus extra-européenne de l'Allemagne, ses accointances grandissantes avec des mouvements venus de l'Est, comme le bolchevisme et l'irrationnalisme asiatique. Massis définissait l'un des facteurs fondamentaux de la réflexion des années 1920, décennie beaucoup plus riche et beaucoup plus "ouverte" que la décennie suivante, figée dans l'antagonisme conceptuel des idéologies, avec les totalitarismes et leur affrontement avec les démocraties qui allaient déboucher sur la guerre » (www.dedefensa.org).
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Décadence et invasion : la destinée de l'Occident : Réflexions sur le passé et le présent de l'Europe
Bernard Plouvier
- L'Aencre Éditions
- 10 Juillet 2021
- 9782368760680
Pour un État, pour une Nation, la franche bêtise, la sottise crasse installées au Pouvoir ou dans ses apparences, c'est la ruine assurée pour une génération, voire davantage. C'est ce qui est arrivé en Europe occidentale et scandinave, à l'ère globalo-mondialiste.
Durant les années 1960, un certain patronat - celui des travaux publics, du textile et de la métallurgie - avait commencé d'importer des travailleurs extra-européens. Durant ces « golden sixties », tout se passait assez bien : les matières premières étaient bon marché, le plein emploi assuré et les immigrés maghrébins limitaient leur délinquance à des rixes internes, pour des raisons de politique exotique qui n'intéressaient personne.
Vinrent le premier choc pétrolier (1973) et la navrante dénatalité des autochtones, évidente dès la première moitié de la décennie 70. En 1976, deux politiciens-liges du capital, le Président Giscard d'Estaing et son très ambitieux premier ministre Chirac, crurent bon de renforcer une consommation intérieure stagnante par le décret sur « le regroupement familial des travailleurs immigrés », aussitôt comparé, par ceux qui avaient quelques connaissances historiques, au funeste Édit de Caracalla. En 1994, ce décret fut « consolidé » dans sa capacité de nuisance. Et l'exemple français fut imité presque partout en Europe occidentale, où l'immigration africaine et moyen-orientale tourna à l'invasion. Les faibles gouvernements laissèrent s'installer des zones de non-droit et toléraient les émeutes raciales. Vingt ans plus tard, l'on connut la féérie des attentats djihadistes.
Entretemps, le féminisme et l'hédonisme avaient été promus au rang de « valeurs » et l'on imposa à la majorité saine des pays le triomphe illégitime des minorités. On tuait à tour de bras des foetus et l'on abolissait la peine de mort pour les grands criminels ; on importait de l'immigré souvent analphabète alors que progressait le chômage des autochtones.
La bêtise des gouvernants est rarement gratuite. On peut même affirmer qu'elle est télécommandée par ceux à qui ce crime d'État profite. La passivité & l'inertie des peuples sont énormes. Toutefois, il suffit d'une minorité pour faire éclater un monde de pourriture et d'absurdité. -
Avant-propos de Bernard Plouvier.
Ce livre est l'histoire d'une classe sociale.
Les Junkers ont conquis la Prusse, gouverné l'Allemagne, tenu dans leurs mains les destinées du monde, jusqu'au jour où la croix noire des aigles de Prusse est descendue à l'horizon de l'Europe dans l'embrasement wagnérien d'un crépuscule sanglant.
Qui étaient-ils ces Junkers, aimés, suivis avec fanatisme par les uns, haïs, décriés, vilipendés par les autres.
L'auteur, membre du Comité France-Allemagne, est allé interroger les survivants d'un des plus grands naufrages de l'Histoire. Il a réuni en faisceau, dans le présent livre, les confidences qui lui furent faites sur les remparts de Rothenbourg, sous les sapins bavarois, dans les tavernes de Bamberg et dans le sévère palais viennois de l'Ordre Teutonique, sentinelle de pierre aux flancs de la cathédrale Saint-Étienne.
Ce livre n'a d'autre but de dissiper les ombres projetées sur les murs de la caverne de Platon pour leur substituer la tragique et aveuglante lumière de la Vérité.