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REVUE LABYRINTHE n.39 : et si...? la cause du contrefactuel
Revue Labyrinthe
- HERMANN
- Revue Labyrinthe
- 14 Février 2013
- 9782705682637
DOSSIER «Et si... ?»
La cause du contrefactuel sous la direction de Sacha Bourgeois-Gironde
Comment fixer l'histoire ? - Sacha Bourgeois-Gironde
L'usage des raisonnements contrefactuels en histoire - Pierre Livet
Causalité et contrefactualité dans l'évaluation économique des politiques publiques - Pierre-Henri Bono et Alain Trannoy
Des causes historiques aux possibles du passé ? Imputation causale et raisonnement contrefactuel en histoire - Quentin Deluermez et Pierre Singaravélou
Contrefactuels en histoire : du mot au mode d'emploi. Le moment de la new economic history - Isabelle Drouet, Stéphanie Dupouy, Laurent Jeanpierre et Florian Nicodème
Contrefactuels, expériences de pensée, et conception singuraliste de la relation causale en histoire - Julian Reiss
La poignée de main - Dany Laferrière
RECHERCHE LIBRE
Accident d'une fulguration qui met hors du monde - Alessandro Delcò
Food facts - Adrien Guignard -
REVUE LABYRINTHE n.38 : l'éloquence des singes
Revue Labyrinthe
- HERMANN
- Revue Labyrinthe
- 1 Mars 2012
- 9782705682361
DOSSIER - L'éloquence des singes sous la direction de Laurent Dubreuil
Essai de sémantique simiesque - Richard Lynch Garner
À propos de l'homme, ou comment repenser la sélection naturelle du langage humain - Terrence W. Deacon
L'évolution et le développement du langage humain chez Homo Symbolicus et Pan Symbolicus - E. Sue Savage-Rumbaugh/William M. Fields
La grande scène des primates - Laurent Dubreuil
Paroles de singes
RECHERCHE LIBRE :
L'aporie de Lorki : une croyance peut-elle être réfléchie ? - David Lemler -
REVUE LABYRINTHE n.34 : 2010 (1) ; comment peut-on être systématique ? ; savoir et encyclopédisme au siècle des Lumières
Revue Labyrinthe
- HERMANN
- Revue Labyrinthe
- 18 Février 2010
- 9782705669843
Dossier : Comment peut-on être sytématique ? Savoir et encyclopédisme au siècle des Lumières, coordonné par Élodie Cassan.
Esprit systématique et esprit de système « Qu'ils soient ordinaires ou savants, les usages actuels d'un « mot-valise » aussi chargé que celui de « système » ne sont guère mélioratifs aujourd'hui. Synonyme de dogmatisme et d'étroitesse d'esprit dans un cas, de prétention totalisante déplacée, surannée, voire dangereuse dans l'autre, le système est aisément renvoyé à des formes d'idéologies closes et statiques éloignées du réel (le « marxisme », le « positivisme »), ou à des conceptions naïvement encyclopédistes du savoir. Cette prétention du savant à absorber le monde dans la vérité de son savoir totalisant, de logiciser entièrement le réel, est précisément ce qui a été mis à mal au cours du XXe siècle, marqué par la dé-totalisation et la valorisation du fragmentaire, le critique des notions de vérité et d'objectivité. Mais c'est à ce point qu'un paradoxe à la fois historique et philosophique doit être soulevé. Quelle place, effet, accorder aux systèmes du savoir élaborés au XVIIIe siècle, à la fois dans leur étonnant foisonnement et dans toute la profondeur de la réflexion épistémologique que ce siècle a consacré à la notion de système. Car les Lumières firent système de tout : du monde, des plantes, de la société, de tout le savoir lui-même emporté qu'il fût dans son élan encyclopédiste et sa passion de la connaissance. » -
Ouverture
Spéciale dédicace à ANDRE GORZ
Marcel Moreau, « Image de la pensée Vers la beauté armée» ;
Editorial Jean-Luc Moreau, « Princesse, dérangez-nous ! » ;
Zéno Bianu, « Sonnets CLX et CIX » (traduits par Michel Host).
Dossier : À QUOI BON LA PRINCESSE DE CLÉVES ?
Bussy Rabutin, « Lettre à Mme de Sévigné » ;
René Pommier, « Rêveries d'une amoureuse solitaire » ;
Claude Habib « Un roman d'amour et de malchance » ;
Sarah Vajda, « La nièce de la Princesse de Clèves » ;
Thiérry Maré, « Lettre édifiante & curieuse du Japon à La Soeur de l'Ange » ;
Marc Kober, « La Princesse Van Cleef et le Prince Arpels » ;
Hélène Merlin-Kajman, « Le Président, La Princesse de Clèves et
l'enfant déporté » ;
Gil Jouanard, « La Fayette, nous voilà ! » et
Pierre Jourde, « Mort à la culture bourgeoise ».
Françoise Bonardel La nébuleuse des voyous poètes
Franck Robert Nous, Princesses de Clèves de Régis Sauder
François Maynard Le Nouveau riche
Olivier Jullien Architectures de prestige, la beauté du diable
O.Guy Darol La crise est dans le vent, dans le vent on connaît la musique
Yvan Mécif Creuser à de nouvelles aurores, revues et culture
Danièle Blanchelande L'art en sa boutique
Fulvio Caccia Pour une politique de la diversité culturelle et de l'éducation (en encadré : entretien avec Phillipe Pujas.)
Didier Bazy Fabulation nanopolitique
SILHOUETTES
Elie-Charles Flamand Gabritschevsky ou l'art au-delà des formes
HÉROS DE PAGES ET D'ÉCRANS
André Bénit : Don Quichotte chez les Belges
RHIZOME(S)
Patrice Conti André Breton et la fontaine pétrifiante
CAHIER RENÉ ALLEAU
Frédérick Tristan 18, boulevard du Temple
Fabrice Flahutez Quatre questions à René Alleau
David Bisson Un musicien de l'âme
Yannis Constantinidès La recherche de l'absolu
René Alleau L'ange de novembre
POUR QUITTER
Le ciel t'aidera, extrait de La vie de Lazarillo de Tormès, traduit de l'Espagnol par Michel Host -
REVUE LABYRINTHE n.36 : « par les grecs »
Revue Labyrinthe
- HERMANN
- Revue Labyrinthe
- 1 Février 2011
- 9782705680541
« Les Grecs », les Grecs, mais qu'est-ce que c'est que ça ? Maintenant que le respect automatique pour les grands Anciens est passé, que la nostalgie Lettres classiques s'est assez dissipée, que nous reste-t-il à penser des Grecs ?
Parfois, l'alternative semble osciller entre l'Antiquité fondatrice, ultra-occidentale et la reconstitution poussive d'Athéniens pas du tout comme nous sous la férule anthropologique.
Justement, ce numéro de Labyrinthe veut tenter autre chose : nous croyons qu'il nous en faut encore, des Grecs, que nous les fabriquerons en les écoutant mieux, et nous ressouvenant des divers nous qu'eux et nous pouvons être tout à la fois. Le pari, c'est ceci, trouver des Grecs différents, ici, maintenant, entre nos passés décomposés et futurs imparfaits. D'où cette collection d'articles recherchant l'hétérogène au lieu de tout lisser dans la vieille origine ou la grande sauvagerie hellénique. Dans ces pages, les poèmes répondent aux essais, courts, longs ; les Juifs sont peut-être plus grecs qu'il n'est cru d'ordinaire, et vice versa ; les formes d'écriture se réinventent et produisent une grécité vivante, autre.
Ce dossier, dirigé par Laurent Dubreuil, recueille des poèmes inédits en français et comprend des articles nouveaux d'auteurs comme Martin Bernal (Black Athena), ou les hellénistes Pierre Judet de La Combe et Pietro Pucci. -
« Fondée en 2004 par Matthieu Baumier, Didier Bazy et Alain Jugnon, la revue littéraire et philosophique La Soeur de l'Ange a publié ses trois premiers numéros aux éditions A contrario, avant qu'elles ne cessent leurs activités. Pour sauvegarder l'indépendance de sa ligne éditoriale, elle a ensuite préféré quitter les éditions du Grand Souffle, où sont parus les deux numéros suivants. Ces aléas ne l'ont pas empêchée d'asseoir sa réputation. Dans son accueil par les éditions Hermann, à partir de ce numéro, elle voit une manière de consécration, ainsi qu'un encouragement à se développer et se renouveler.
L'homme doit comprendre, pour Pascal, « qu'il est un monstre incompréhensible », pour Lautréamont, « qu'il est la Soeur de l'Ange ». Le premier dénonce un tel « sujet de contradictions », le second en fait « le sujet de la conciliation ». Sur tout sujet de son choix, mais symptomatique des bouleversements de notre temps, La Soeur de l'Ange entend laisser s'exprimer les contradictions, pour leur offrir la conciliation minimum d'une coexistence éditoriale, difficile ou impossible ailleurs. [...]
La Soeur de l'Ange questionne avec précision et ténacité l'À-quoi-bon des choses. Se demander si cela est bon, si cela vaut ou si cela existe, revient à interroger et inquiéter en profondeur la condition humaine. Après avoir mis en question l'À-quoi-bon de l'art, de la nation, de la mort, de Dieu, de la résistance, La Soeur de l'ange se demande, dans son numéro 6 À quoi bon la lune ? Dans le n° 7, elle posera la question À quoi bon la crise ? Convoquant écrivains, poètes, philosophes, artistes, scientifiques, pour une approche interdisciplinaire et transversale des problématiques qu'elle propose, La Soeur de l'Ange reprend à son compte la passion cardinale des Encyclopédistes, "la papillonne", celle qui fait les yeux de la curiosité plus grands que le ventre du savoir. »Extrait de l'éditorial
Les contributions :
Dossier : À QUOI BON LA LUNE ?
« J'ai marché sur la lune » par Neil Armstrong ;
« chants à la lune (traduits par Virginie Roche-Tiengo) » par Giacomo Leopardi ;
« Autour de la lune, ou que voulonsnous d'elle ? » par Cécile Wajsbrot ;
« Lettre édifiante & curieuse du Japon à la Soeur de l'Ange Sola sub nocte » par Thierry Maré
« Rendez-vous contre nature sur fond de lune » par Jean Caneparo ;
« Pleine lune » par Marc Kober ;
« Du visage qui apparaît en la lune » par Plutarque ;
« Le songe de Kepler, ou de l'utilité de la lune pour nous rabattre le caquet » par Jean-Pierre Verdet ;
« Les lunatiques ! Quelle espèce d'homme est-ce là ? » par Charles Nodier ;
« Hopkins Moonrise (traduit par Michaël Ewards) » par Gerard Manley ;
« L'Escabeau muet » par Gérard Henry ;
« Paris lunaire, Luna, La lune de jour » par Michael Edwards ;
« La Boule de cristal » par Gwen Garnier Duguy ;
« Et la lune vint se poser sur ses cheveux » par Giovanni Tamburelli ;
« Bad Moon Rising » par Denis Villard ;
« Les lunes de Klee » par Anne Monnier ;
« Jung et le symbolisme de la lune » par René Daval ;
« La montée et la descente : pourquoi la lune ? » ;
« La grande pudeur de la vierge noire » par François Cornée ;
« L'Etoile de l'être et la lune de la métaphysique dans la pensée de Heidegger » par Jean-François Mattéi ;
« Antélune, pour Zalmen Gradowski » par Didier Bazy ;
« Pour en finir avec le clair de lune » par Yannis Constantinidès ;
« Quand la terre devient lunaire » par Bruno Doucey ;
« Figures de lune, quelques poèmes de Federico Garcia Lorca » par Michel Host ;
« N'attends pas la lune » par Ibn Ahmar.
SILHOUETTES
« Mon dernier analysant ? » par Joseph Gazengel ;
« Marinetti encore en avance sur notre temps ».
HÉROS DE PAGES ET D'ÉCRANS
« Harry Dickson, la culture populaire et les surréalistes » par Marc Kober.
RHIZOME(S)
Rhizome de la Soeur
« Une saison au Cap Vert » par Sébastien Mathieu ;
« La couleur des oiseaux : éloge de la diversité » par Maria João Reynaud ;
Hommage à Xu Jiàshun.
CAHIER GEORGES HENEIN
« Le flâneur des deux mondes » par Sarane Alexandrian
« Fiction et subversion chezGeorges Henein » par Pascale Roux ;
« André Malraux et Georges Henein, une amitié sous le signe du sable » par Aziz Bennis ;
« Georges Henein Raymond Abellio : nouveaux prophètes ? » par Marc Kober.
POUR QUITTER
« C'est toujours calme, avant » par Matthieu Baumier. -
REVUE LABYRINTHE n.33 : 2009-2 ; "patates chaudes", poétique, savoir, politique
Revue Labyrinthe
- HERMANN
- Revue Labyrinthe
- 24 Octobre 2009
- 9782705669768
« Après la dernière livraison de notre revue sur Le petit théâtre intellectuel, qui était très architecturée et composée pour l'essentiel de courtes interventions, Labyrinthe prend cette fois un parti tout différent : celui de l'assemblage, comme autre expérience du savoir. Il y a donc dans le présent numéro un effet de montage, qui articule trois longs textes divergents et de statuts hétérogènes : la première traduction française, par Laurent Ferri, de l'introduction du célèbre ouvrage de Hayden White, Metahistory (1973) ; une robuste enquête, que signe François Rastier, sur la poétique nazie de la philosophie heideggérienne ; une élaboration théorique sur les rapports entre discours, littérature, politique et apolitique sous forme d'un « trilogue » entre les directeurs de la rédaction. Chacun de ces articles peut être lu indépendamment ; les lecteurs trouveront une notule de présentation au début de chaque texte. [...] Ces textes suggèrent, ils affirment, ils interrogent. Il serait faux de dire que les analyses que nous publions ont fait l'objet d'un consensus même au sein de la rédaction. Bien sûr, nous nous sommes réciproquement signifié notre véhémence habituelle. Ce fut bon signe, la marque de controverses qui s'ouvraient, et dont la puissance durerait plus que la brièveté d'une altercation. Il nous a semblé enfin, comme l'indique notre titre, que ces problèmes relevaient del'excellent jeu dit de la "patate chaude". Voilà, nous avons lancé : qui rattrapera maintenant la patate ? » Extrait de l'éditorial.
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REVUE LABYRINTHE n.35 : empire reader
Revue Labyrinthe
- HERMANN
- Revue Labyrinthe
- 25 Août 2010
- 9782705669973
« Impe rissable/De certains noms d'empire » ;
par Marc Aymes/Laurent Dubreuil
« Comment les empires touchent a leur fin » ;
par Charles Tilly
« Empires : la logique de la domination mondiale de la Rome antique aux E tats-Unis » ; par Herfried Mu nkler
« Colonialisme » et « Empires coloniaux »
par Ju rgen Osterhammel
« Le modernisation du colonialisme et les limites de l'empire » ;
par Frederick Cooper
Translations analogiques :
« La Rome impe riale, l'Angleterre me die vale et les Indes britanniques » ; par Ananya Jahanara Kabir
TEXTES LIBRES
« La philosophie franc aise et ''les Juifs'' »
Entretien avec Ivan Segre . Propos recueillis par Basile Dewez
« ''Enfonce , Lanson !''
ou comment le Surre alisme a change l'histoire litte raire » par Me lanie Leroy-Terquem. -
REVUE LABYRINTHE n.37 : des séries et des vies
Collectif
- HERMANN
- Revue Labyrinthe
- 14 Septembre 2011
- 9782705681470
Dossier Séries télévisées et formes de vies sous la direction de RENAUD PASQUIER
Jadis on les dédaignait, on les négligeait, on les stigmatisait comme symbole de sous-culture et de mauvais goût, bras armé de l'abétissement généalisé. Les temps ont bien changé : aujourd'hui les séries américaines sont portées au pinacle, elles ne sont plus ce plaisir honteux qu'on cachait, au contraire, il est de bon ton, à tout âge et dans toute classe sociale, de clamer son admiration pour Les Sopranos, The Wire, Mad Men, et bien d'autres, et d'ajouter aux soirées passées devant l'écran les heures de conversation. Enfin les séries suscitent l'écriture, un déferlement de textes, d'analyses, articles, communications, bien au-delà des sphères de fans ou de journalistes spécialisés, jusque-là leur domaine réservé. Les sociologues, les philosophes, les critiques littéraires s'en emparent, en font leur objet de prédilection.
Nous souhaiterions moins nous inscrire dans cette vogue que l'interroger. Amateurs assidus de séries nous-mêmes, nous voulons comprendre comment et pourquoi elles ont pris tant de place dans nos vies et celles de nos contemporains mieux encore, comment elles les ont façonnées, informées, transformées. Non pas donc considérer les séries comme des objets à manipuler à notre guise, calibrées selon concepts et raisonnements préalablement construits, mais mettre en jeu notre expérience de spectateur, et donc inverser les rôles : comment devenons-nous les objets des séries ? comment nous donnent-elles forme(s) ?
Quelles « formes de vie » font naître les séries télévisées ? On le saisira qu'en partant justement de la « forme » sérielle, et des esthétiques singulières des séries. Enfin puisque que c'est de nos vies de spectateurs qu'il est question, nos textes mettront en scène des subjectivités aux prises avec l'expérience sérielle et toutes ses conséquences. -
Cahiers Butor n.1 : compagnonnages de Michel Butor
Mireille Calle-Gruber, Adèle Godefroy, Jean paul Morin, Collectif
- HERMANN
- Cahiers Butor
- 18 Septembre 2019
- 9782705695712
Ne me laissez pas seul avec mes paroles
J'ai le plus grand besoin de vos images
Permettez-moi de voir en votre compagnie
Telle est la prière en forme de ballade que Michel Butor adresse à ses amis artistes et qu'il intitule Requête aux peintres sculpteurs et Cie. Ce poème dit pleinement la relation que l'écrivain a entretenue, depuis 1962 jusqu'à sa mort en août 2016, avec un monde de créativité où la rencontre des techniques et des imaginaires façonne entre les arts et la littérature des croisées inédites.
Les Oeuvres complètes de Michel Butor, publiées en 12 volumes à La Différence, réunissent tous ses écrits, lesquels sont recomposés en volumes, sans les images, les formes et les couleurs qui les ont suscités, et qui constituaient d'abord des livres d'artistes et des oeuvres en collaboration, en très peu d'exemplaires. Les Cahiers Butor donnent la chance de connaître cette création première et d'en restituer le jaillissement qui est dialogue et des imaginaires et des mots. Ils offrent le complément indispensable aux Oeuvres complètes, lesquelles demeurent incomplètes sans la présence épiphanique des compagnons de route.
Compagnonnages, le premier numéro des Cahiers, désigne le cheminement de Butor et de ses partenaires artistes qui, liés par l'amitié, l'expérimentation et l'apprentissage mutuel, tels les Compagnons artisans, découvrent ensemble les secrets du métier.