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Chocolat
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Ernest vit heureux, dans sa petite forêt. Mais est-ce le bon endroit pour lui ? Comment le savoir sans en avoir essayé d'autres ? Pour s'en assurer le voilà qui s'en va parcourir le monde, se demandant à chaque étape si ce ne serait pas plutôt là, le bon endroit...
Construit pour les plus petits sous la forme d'un conte randonnée, "Le bon endroit" garde une grande liberté, à la manière d'Ernest, s'autorisant des digressions, des évasions presque, dans sa narration. On suit le voyage, les interrogations et les enthousiasmes de cette sympathique souris comme on suivrait le fil rouge intelligemment matérialisé dans l'illustration. La petite morale de tout cela, quand les pas d'Ernest le ramènent finalement chez lui, c'est que tout est une question de point de vue, et que c'est la curiosité qui compte ! -
Faire un safari, à la base, c'est aller voir des animaux de la savane. Mais quand ce sont les animaux de la savane qui partent faire un safari, où vont-ils ? À Paris bien sûr !C'est sûr : dans les musées ou sur les Champs-Élysées, les parisiens s'enfuient devant l'éléphant, la girafe et l'hippopotame... Sous la tour Eiffel ou dans les bateaux-mouches, on se sauve devant le zèbre, le lion et le guépard... Mais grâce à leur courage et leur bonne humeur, ces drôles de touristes vont gagner la sympathie de tous !En jouant sur le décalage et l'inversion de ce qui fait l'exotisme d'un voyage, la plume enjouée d'Adèle Tariel promène cette troupe attachante dans les rues de Paris, glissant incognito le lecteur dans leurs bagages. La talentueuse Pauline Duhamel en fait un tableau coloré, frais, plein d'entrain... comme si on y était !
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Le mythe d'Icare dans une version revisitée et adaptée aux tout-petits.
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Après Petites histoires d'amour (qui tournent court) Chocolat !
Propose un nouveau collectif en très grand format qui réunit vingt huit artistes : Des textes courts, drôles, poétiques, pour raconter toutes sortes de voyages, en ballon, en ficelle, en bouteille, ceux qu'on fait dans sa tête, dans un bateau pirate, dans un potager, et même ceux qu'on ne fait pas du tout. Chacun de ces voyages extraordinaires est servi par une illustration non moins exceptionnelle : comme toujours l'accent est mis sur la beauté des planches illustrées, réalisées par une brochette d'illustrateurs tous plus fortiches les uns que les autres, pour dire les choses franchement...
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Les enfants voient défiler dans leur journée beaucoup plus de dessins que de photos ; pourtant, cellesci les aident à découvrir le vrai monde, à leur donner un référent pour apprécier d'autant mieux l'interprétation qu'est l'illustration. Ce rapport au réel, l'immédiateté de l'émerveillement que procure une belle photo, tel est le point de départ de la collection «Petits focus» : Proposer de très belles prises de vue d'animaux, sélectionnées dans ce souci cher aux Éditions Chocolat d'éveiller les plus jeunes à l'esthétique et la beauté graphique.
Pour sortir des thématiques récurrentes des animaux de la ferme ou des bois, chaque galerie de portraits s'organise par activité : Nos charmants animaux sont endormis (Dodo !), à l'heure du repas (À table !), en pleine course (Vite !), nagent (À l'eau !) ou s'envolent (En plein vol !).
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"Pas plus de 8 personnes", peut-on lire parfois dans les ascenseurs... Dans celui-ci vont s'entasser, étage après étage, toute une ménagerie : des chiens, un chat, un flamant rose, une mère et son fils, un professeur, un singe, éléphant, une voiture... Plus l'ascenseur monte, et plus il y a de monde ! Par un système de porte ajourée qui s'ouvre et se ferme à chaque étage, le lecteur suit la progression de l'inexorable entassement : un livre dont l'articulation originale en fait un objet ludique et rigolo pour les plus petits, qui vont adorer compter les étages dans un sens puis dans l'autre.
Les auteurs
Fabienne Roulié et Raphaël Baud, à l'origine de la maison Chocolat ! Jeunesse, signent leur troisième livre ensemble après Si j'avais deux dragons (2012) et Une licorne à l'école (2018). -
Les sorcières existent, et elles font la cuisine comme tout le monde ; mais pas n'importe quelle cuisine... Présenté comme un livre de recettes tout à fait classique, "Authentiques Recettes de Sorcières" invite à la découverte de saveurs à vous glacer le sang : oeil mollet, omelette de blettes aux blattes, burger minute aux araignées, gratin de verrues plantaires au lait de coco... À l'origine de ce livre, il y a l'inspiration de la "Cuisine Cannibale" de Roland Topor à l'humour vitriolé ; puis la rencontre avec Stiks, une photographe à l'univers sombre et déjanté. Enfin, ce goût certain pour le monde irrésistible de la sorcellerie, dans lequel Harry Potter, qui fait quasiment partie de la famille, nous nourrit depuis près de 30 ans. En pleine période d'Halloween, cet ovni à l'esthétique irréprochable va reléguer aux oubliettes les éternelles recettes de tartes à la citrouille ! Car oui ! nous parlons ici d'authentiques recettes de sorcières...
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Canis Lupus rassemble des textes et des extraits choisis parmi les ouvrages de la littérature du 17e siècle à nos jours, pour jeter sur le loup un nouveau regard : majestueux, protecteur, effrayant, mais toujours envoûtant, toujours libre... Sur cette sélection de textes assez rares, en prose ou en vers, le travail sombre et séduisant de Nicolas Duffaut brosse une nouvelle et vibrante galerie de portraits, de ce fameux tôlier de la littérature jeunesse qu'est le grand méchant loup...
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Après le très beau Canis Lupus fin 2022, le talentueux Nicolas Duffaut reprend du service pour illustrer, dans la même veine, "Equus Caballus". À nouveau, ce collectif réunit des textes d'auteurs classiques : nous y retrouvons Cervantès, Plutarque, Virgile, Jules Renard, Maurice Carême, Basho, Tolstoï, Erich Kästner, Orwell, Rabelais...
Rassembler des textes sur le cheval a pourtant été moins facile que prévu : la plus belle conquête de l'homme reste avant tout, jusqu'au début du vingtième siècle, un véhicule dont on ne fait guère de descriptions flamboyantes, ni même simplement flatteuses, dans bon nombre de livres où l'on lui supposait pourtant une place assez centrale. Ainsi il nous aura fallu plus temps et de persévérance que pour son compère le Loup, pour parvenir malgré tout à réunir ces textes, parfois piochés dans des oeuvres oubliées, et rendre hommage au cheval dans toute sa noblesse. -
Le Monde perdu est une grande carte au trésor qui se déplie : Au fur et à mesure que l´on déplie la carte, on découvre, dans les versos illustrés en regard, l´histoire du jeune cartographe et de son aventure chez les pirates, partis à la découverte d´un monde perdu. Un livre objet très original, dans l´esthétique et l´univers de la piraterie.
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Aventures du baron de Münchhausen
Gottfried Augus Burger, Rudolf Erich Raspe
- Chocolat
- 21 Septembre 2023
- 9782917516751
Après le succès d'Alice au pays des merveilles à l'automne 2021, c'est un chef d'oeuvre moins connu mais non moins prestigieux que propose Chocolat ! pour l'automne 2023 : Les Aventures du Baron de Münchhausen, dans une édition prestige proche de ce qui avait été réalisé avec Alice. Nous nous sommes inspirés cette fois de l'édition de l'éditeur Furne de 1862 : Théophile Gautier traduit avec talent le texte de Gottfried Bürger, réécriture des rocambolesques aventures immortalisées en 1785 par Rudolf Raspe, lequel les tenait de la bouche du Baron de Münchhausen (1720-1797) en personne.
En addendum, nous reproduisons en fin d'ouvrage un document rare dans une traduction inédite : les toutes premières évocations du truculent Baron dans une revue berlinoise de 1781, d'un auteur anonyme qui était certaiement Raspe, à travers 18 histoires courtes, certainement très proches de ce que le véritable Baron fanfaronna au retour de ses voyages à travers l'Europe.
Et la cerise sur le gâteau, ce sont les 150 illustrations de Gustave Doré, somptueuses, drôles, inspirées, et qui font de ce livre une véritable oeuvre d'art. L'immense illustrateur strasbourgeois est à l'époque de l'édition de Furne au sommet de son art, et donne corps avec maestria aux mensonges les plus savoureux de la littérature du XVIIIe siècle. -
La Palisse : s'il n'avait pas été lui-même, il aurait été quelqu'un d'autre
Bernard de La Monnoye, Sergio Olivotti
- Chocolat
- 24 Mars 2022
- 9782917516713
Tout le monde connaît les « Vérités de La Palisse », ces déclarations si banalement évidentes qu'elles en sont risibles. Certains savent que ces « Lapalissades » viennent du Seigneur de La Palisse, qui fut un maréchal de François Premier. Ce qu'on sait moins, c'est qu'il n'a jamais prononcé une seule lapalissade de toute sa vie, et que le lien entre ce maréchal prestigieux et ces stupides évidences repose sur une ridicule erreur de lecture. Et ce qu'on sait encore moins, c'est que le poète dijonnais Bernard de La Monnoye, au 17e siècle, a nourri cette joyeuse farce avec une chanson en vers, étonnament moderne et savoureusement drôle. Le linguiste et professeur italien Andrea Tullio Canobbio a exhumé cette vieille chanson, en a sélectionné les meilleurs vers, et a proposé à son compatriote Sergio Olivotti de l'illustrerâ€- Séduit par ce projet poétique, confidentiel et intelligent, Chocolat se propose d'éditer ce joyeux petit ovni !
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Deux personnages quittent leur maison par deux chemins différents.
Chacun rencontre des situations qu'il devra surmonter pour aller de l'avant... Bien sûr, des coïncidences se produisent, les routes se croisent et parfois elles mènent à l'inattendu.
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Deux jardiniers raconte l´histoire de deux voisins, un ours et un singe, qui rêvent de voir pousser dans leurs champs des fleurs bleues pour l´un, des palmiers pour l´autre. Deux envies et deux façons de faire bien différentes pour ces deux voisins qui ne se ressemblent pas tellement mais que leurs projets horticoles vont rapprocher. Sans être didactique, l´histoire nous fait comprendre que réaliser un rêve ou un projet demande des efforts, du travail, et qu´on est parfois, surtout au jardin, tributaire du hasard, des conditions, du temps qu´il fait. Ce livre a reçu le soutien de la ville de Nanterre dans le cadre de l´action Livre Mater à destination des enfants de maternelle.
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Le premier confinement, au printemps 2020, a été définitivement marquant : ce monde suspendu, ces rues vides, ce silence, portaient en eux quelque chose d'inédit et d'angoissant, mais aussi, contre toute attente, de poétique et de touchant. C'est ce monde vide et néanmoins si beau que nous dépeint l'album "Personne" : un monde arrêté, figé, sur pause, dans lequel la nature reprend lentement ses droits, un monde sans personneâ?¦ Avec Adèle Tariel au texte et Baptiste Puaud à l'illustration, "Personne" propose un regard sur le confinement, un support poétique et sensible pour nos enfants, pour réfléchir à cet épisode qui les a marqués et nous interroge sur le monde de demain.
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L'étrange disparition de Piccola Bianca
Mathieu Sabarly, Simon Moreau
- Chocolat
- 4 Octobre 2011
- 9782917516218
Théotim a toujours été très doué pour retrouver les choses : objets perdus, chats égarés, clefs oubliées... Mais aujourd'hui c'est différent, c'est une personne qui a disparu : la jolie Piccola Bianca ! Tout le village est en émoi, et se tourne vers Théotim pour qu'il mène l'enquête. Pas si simple ! Surtout qu'entre ce que les gens croient avoir vu et la réalité, il y a parfois un fossé ! Après La pêche à la Lanterne, Simon Moreau nous embarque dans un nouvel univers surprenant et poétique, au couleurs inattendues.
Jouant sur les formes, les silhouettes et les interprétations qu'en ont les témoins, cette petite enquête champêtre et mystérieuse emmène le lecteur à déjouer une à une les fausses pistes.
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Kibo est un rhinocéros inspiré : chaque soir il écrit. Sur le soleil brûlant et la fraîcheur de l'ombre, sur le ciel rouge, la danse des zèbres, l'odeur des herbes jaunes, et mille autres choses de l'envoûtante savane. Il écrit tellement qu'il finit par remplir tout un livre. Emporté par Naki la cigogne, son livre va s'envoler par delà l'horizon, et passer de mains en mains : celles de Camilo le lion, de Simon le lapin, de Valentine la poule rousse, de Nanuk l'ours blanc de la banquise... Chacun de ces lecteurs successifs est emporté par la chaleur et la magie du livre de Kibo, et le livre voyageur fait voyager tous ses lecteurs...
A travers des illustrations colorées, vivantes, habitées, Mariana Ruiz Johnson nous parle de la magie de l'imaginaire, du cortège d'inspirations et de sentiments qu'apporte un livre à ceux qui prennent la peine de l'ouvrir. Manifeste discret du pouvoir de la lecture, "Le livre de Kibo" est une sorte de mise en abîme, un livre qui parle d'un livre, emportant les petits lecteurs dans le monde de Mariana Ruiz Johnson, comme sont emportés le lion Camilo ou l'ours blanc Nanuk dans celui de Kibo. Un livre chatoyant et tout en retenue, un livre parfaitement Chocolat !
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Si son prénom avait été Timbre, elle aurait peut-être collectionné les timbres. Mais elle s'appelle Miette, alors elle collectionne les miettes... Miettes de pain, miettes de gâteaux, de crumble, de quiche, de hamburger. Étonnant ? pas autant que ses péripéties quand le vent emporte sa miette la plus précieuse : celle du Patchacahua, un mystérieux gâteau exotique... Petit pont entre l'album et le petit roman,cette histoire simple et surprenante est un petit format idéal pour amener les cycles 2 vers le roman jeunesse.
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Souriceau n'a pas de chance... A la grande satisfaction de ses amis, c'est toujours lui qui se retrouve de corvée de... tout ! Qu'il joue aux dés, aux cartes ou à la courte paille, les basses besognes sont toujours pour lui... Mais c'est parfois quand on est occupé aux tâches les moins nobles que l'on peut voir la chance se mettre à sourire...
Céline Claire et Aurore Damant, après «Petit lapin cherche un ami», nous replongent avec naïveté et esthétique dans la collection sucrée des «Petits Amis», qui défend avec efficacité la vocation de Chocolat : une grande simplicité, de la poésie et un univers graphique haut en couleurs.
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Hans la chance raconte l'histoire d'un serviteur en apparence fort chanceux, puisqu'il reçoit de son maître un lingot d'or aussi gros que sa tête, mais ce n'est qu'un début ! Hans l'échangera bientôt contre un cheval, qu'il troquera pour une vache, bientôt laissée pour un cochon, puis une oie.
A se faire ainsi rouler à chacune de ses rencontres, notre promeneur, candide (et optimiste !), finira par savourer comme un bonheur ultime le simple contentement d'être là, libre, sous le soleil. On en tirera si on le souhaite une leçon, ou plus simplement on se laissera envahir par l'enthousiasme, la bonne humeur, l'indéboulonnable optimisme de Hans, pour enfin se dire que la chance est définitivement une question de point de vue.
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« Dans un petit village de Catalogne, il y a un cerisier juste au milieu de la place, en face d'une minuscule librairie. Et, dans ce cerisier, il y a un cheval haut perché qui refuse de descendre ».
L'automne passe. Puis l'hiver, le printemps, et l'été. Si Alba, la petite fille silencieuse qui passe son temps dans la librairie s'accommode plutôt bien de cette présence inattendue, le libraire finit, après un an d'hésitations, à essayer de le faire descendre. Mais rien n'y fait : toutes ses idées s'épuisent les unes après les autres. C'est finalement la petite fille silencieuse, perchée à ses côtés pour lire ses livres chaque matin d'été, qui aura raison de l'immobilisme obstiné du cheval dans l'arbre.
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Le voleur d'enfants (édition 2012)
Michaël Escoffier, Clément Lefèvre
- Chocolat
- 4 Septembre 2012
- 9782917516324
" C'est un voleur d'enfant, avec de longues dents, pointues comme des couteaux. On ne sait pas d'où il vient, qui il est encore moins, mais on sait où il va...".
Au fil d'une litanie lancinante, Michaël Escoffier dresse le portrait inquiétant de ce voleur d'enfants, parcourant la campagne à la recherche d'innocentes têtes blondes... Les magnifiques illustrations de Clément Lefèvre habillent l'univers velouté de ce conte mystérieux et étrange, au surprenant dénouement : car si l'on frissonne déjà en ouvrant l'inquiétante couverture, les lecteurs refermeront la dernière page avec un sourire rassuré et ébloui... Talentueux et inspirés, les auteurs nous délivrent avec ce livre magnifique un petit bijou de poésie et de mystère.
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Une grande ville, une journée ensoleillée. Soudain, des ombres immenses envahissent les rues : celles de baleines gigantesques, flottant entre les immeubles. Une crise pour les hautes sphères de l'État, qui réagit à l'invasion placide des cétacés par une violence aveugle et aveuglante. Le réalisme chirurgical du dessin de Tommaso Carozzi vient illustrer la douce folie de cette fable muette imaginée par Davide Calì. Chocolat s'offre un petit détour dans la bande dessinée avec ce "Jour des baleines", livre muet, silencieux, poétique, tout en noir et blanc, envoûtant et dérangeant, comme un vieil épisode de la quatrième dimension. Pour l'occasion ce bel ovni s'adresse aux lecteurs ado/adultes, mais ne déroge pas à la ligne éditoriale : un conte, un minimum de texte, des illustrations magnifiques.
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Le petit bois du dimanche soir
Estelle Billon-Spagnol, Xavier Collette
- Chocolat
- 3 Septembre 2011
- 9782917516188
Chaque dimanche soir, alors que l'heure du souper approche, Mariette sort de chez elle sur la pointe des pieds.
Puis elle court pour rejoindre son Petit Bois. Nous la suivons au fil des pages, pour faire avec elle de bien curieuses rencontres, pour pénétrer dans ce petit bout de monde imaginaire. De lentes minutes s'égrennent, alors qu'elle rejoint quelques êtres étranges : Lézard noir le grand herboriste du Petit Bois, Solitaire-Jack à la Cabane Sans Nom, Oie-bel-oeil et son hôtel, ou encore les frères Corbeau.
Mariette partage avec eux quelques instants suspendus, magiques, avant le retour sonnant du lundi matin. Ce petit bois ressemble à celui que nous explorons en songe : féerique, intrigant, merveilleux, lointain, un refuge dans lequel nous nous jetons éperdument, pour échapper au spleen universel du dimanche soir. Estelle Billon nous décrit avec une grande économie les êtres étonnants qu'elle croisait dans son petit bois, tandis que Xavier Collette leur prête le visage de ceux qui peuplaient le sien.
Une visite envoûtante et rassérenante pour s'évader chaque fin de semaine !