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Arts et spectacles
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Hôtel
Liliane Giraudon, Jean-jacques Viton, Bernard Plossu
- Argol
- Interferences
- 29 Avril 2009
- 9782915978490
Né de la rencontre - pas du tout fortuite - entre le photographe Bernard Plossu depuis longtemps apprécié par les deux écrivains, sa série de photos de chambres d'hôtel, (Palerme et Gênes) a donné vie à ce livre à trois « voix ». Chacun d'eux a écrit en vis à vis de chacune des photos un petit texte fictionnel formant une sorte de récit énigmatique. Le livre se compose donc de deux parties : « Palerme Fonction Silence » de Liliane Giraudon et « Gênes Fonction Basilic » de Jean-Jacques Viton.
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A l'invitation du musée d'orsay, des artistes d'aujourd'hui dialoguent avec les collections en choisissant l'oeuvre de laquelle ils se sentent proches.
Naît ainsi la possibilité de voir les collections sous un nouveau jour. valérie belin, artiste française née en 1964, inlassablement et presque à contre-courant, a construit une oeuvre radicale autour de ta photographie de personnages ou d'objets. l'entretien avec quentin bajac met au jour la singularité de son travail et ses rapports avec la peinture et notamment manet, l'artiste choisi pour "correspondances ".
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Catalogue de l'exposition des oeuvres d'Erik Samakh dans les jardins du Musée Rodin à Paris de mai à septembre 2013.
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Jean-Christophe Bailly a écrit Col treno dans le sillage des images de Bernard Plossu. Des photographies toutes prises dans des trains circulant un peu partout en Italie, exposées à Rome en 2001 et jusqu'ici inconnues en France.
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Konrad Klapheck, invité par Serge Lemoine directeur du musée d'Orsay dans le cadre des expositions « Correspondances », a choisi une oeuvre de Gustave Moreau. Il a créé une oeuvre personnelle qui sera mise en correspondance face au tableau de Moreau, dans une salle du musée le temps d'une exposition du 3 juin au 14 septembre 2008. Le livre richement illustré et en couleurs est un accompagnement à la découverte de l'oeuvre de ces deux artistes. Essai - sur le travail et le parcours - et entretien avec Klapheck donnent les clés pour découvrir son oeuvre et comprendre son dialogue avec le peintre du XIXe siècle. Une présentation de l'oeuvre de Moreau est également traitée par un historien d'art.
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A l'invitation du musée d'orsay, des artistes d'aujourd'hui dialoguent avec les collections en choisissant l'oeuvre de laquelle ils se sentent proches.
Naît ainsi la possibilité de voir les collections sous un nouveau jour. christian jaccard, artiste français né en 1939, développe la pratique de la combustion. les flammes laissent des traces sur une toile, du cuivre, dans la nature ou des friches industrielles, qui deviennent le médium de son dispositif pictural. dans cette " correspondance ", jaccard engage une confrontation avec le tableau de breitner, clair de lune, dans lequel il perçoit une affinité avec les phénomènes de l'ignition et de l'érosion du temps propres à sa démarche.
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A l'invitation du musée d'orsay, des artistes d'aujourd'hui dialoguent avec les collections en choisissant l'oeuvre de laquelle ils se sentent proches.
Naît ainsi la possibilité de voir les collections sous un nouveau jour. pour ellsworth kelly, peintre abstrait américain né en 1923 à newburgh, l'important est la structure du tableau - et non son contenu -, et l'espace qui l'entoure. nourri de l'architecture romane, il a toujours été attentif au travail de la structure notamment chez cézanne. l'essai d'ann hindry sur le travail et le parcours de kelly, et leur entretien, donnent les clés pour découvrir son oeuvre et comprendre son dialogue avec l'estaque de paul cézanne.
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A l'invitation du musée d'Orsay, des artistes d'aujourd'hui dialoguent avec les collections en choisissant l'oeuvre de laquelle ils sentent proches.
Naît ainsi la double possibilité de voir les collections sous un nouveau jour et de faire résonner autrement leur modernité toujours active. Figure de l'abstraction minimaliste, Brice Marden a choisi La Truite de Courbet et présente en regard une oeuvre inédite, Extremes, diptyque où vibrent les couches de matière en un jeu complexe de linéaments colorés.
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A l'invitation du musée d'Orsay, des artistes d'aujourd'hui dialoguent avec les collections en choisissant l'oeuvre de laquelle ils se sentent proches.
Naît ainsi la double possibilité de voir les collections sous un nouveau jour et de faire résonner autrement leur modernité toujours active. Ainsi, Alain Kirili, fasciné par l'énergie de Rodin, a-t-il choisi la série de photographies de Steichen, les vues du Balzac. Trouvant un référent sensible dans le chef d'oeuvre de Rodin, il présente un ensemble de cinq sculptures : un coup de dés jamais n'abolira la sculpture.
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Charles Sandison, né en 1969 en Ecosse, vit et travaille à Tempere (Finlande). Il développe un travail très singulier et particulièrement novateur en utilisant les nouvelles technologies. Il réalise des programmes sur ordinateur qui déploient des mots en mouvement. Ces mots sont ensuite vidéo-projetés sur des éléments d'architecture où ils se reproduisent selon un processus, une intelligence artificielle, dont le spectateur devine les mécanismes mais dont nul ne connaît l'issue.
Invité par Serge Lemoine, directeur du musée d'Orsay, dans le cadre des expositions « Correspondances », il a choisi les Nymphéas bleus de Claude Monet. Il a créé une oeuvre personnelle qui sera mise en correspondance face au tableau de Monet, dans une salle du musée le temps d'une exposition de février à juin 2008.
Essai sur le travail et le parcours et entretien avec Sandison donnent les clés pour découvrir son oeuvre et comprendre son dialogue avec le peintre du XIXe siècle.
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Bertrand Lavier est né en 1949. Paysagiste, puis artiste « autodidacte », il s'intéresse très tôt au rapport entre art et réalité, s'interrogeant sur le statut de l'art dans la société. Considérant que le ready-made de Marcel Duchamp est devenu une catégorie de l'art à part entière au même titre que la peinture ou la sculpture, Bertrand Lavier peut décider par exemple d'exposer « telle » une automobile accidentée (Giulietta, 1993). Il est un des plus grands artistes français et internationalement reconnu. Invité par Serge Lemoine directeur du musée d'Orsay dans le cadre des expositions « Correspondances », il a choisi Lola de Valence d'Édouard Manet.
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Cézanne a montré le chemin pour réduire l'intensité du sujet dans un tableau.
[...] Rear View est une photo simplement documentaire, réalisée assez rapidement par temps couvert un jour de juillet, après une petite pluie d'été. -Jeff Wall, 2006. A l'invitation du musée d'Orsay, des artistes d'aujourd'hui dialoguent avec les collections en choisissant l'oeuvre de laquelle ils se sentent proches. Naît ainsi la double possibilité de voir les collections sous un nouveau jour et de faire résonner autrement leur modernité toujours active.
L'enjeu de l'art de Jeff Watt, artiste canadien, consiste à mettre en oeuvre tous les moyens de la photographie sous le prisme d'un dialogue étroit avec la création picturale. Evoquant souvent l'expression de " peintre de la vie moderne " chère au XIXe siècle, Wall se reconnaît une affinité vitale avec Cézanne et choisit de présenter Rear View, Open Air Theatre en regard du tableau Le Pont de Maincy.
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" Je ne repeins pas Manet avec la vidéo, elle me permet de déployer dans le temps les gestes qui sont suspendus ou absents dans la peinture.
(...) Je tente de reconstituer, par exemple, cet espace réduit, clos sur lui-même, et si impressionnant dans Le Balcon. J'essaie de traiter l'espace comme un espace plat, comme une surface. Mais la peinture résiste, elle ne se laisse pas copier ou recopier. " (Anne Sauser-Hall, septembre 2006) A l'invitation du musée d'Orsay, des artistes d'aujourd'hui dialoguent avec les collections en choisissant l'oeuvre de laquelle ils se sentent proches.
Naît ainsi la double possibilité de voir les collections sous un nouveau jour et de faire résonner autrement leur modernité toujours active. Anne Sauser-Hall, artiste suisse, a fortement été marquée par la théâtralité des oeuvres de Manet. Sans reprendre la réalité des tableaux, elle en extrait des mouvements, un moment, avec une rare subtilité et une poétique singulière. Pour ces " Correspondances ", elle a choisi Le Balcon de Manet comme point de départ d'un travail vidéo inédit.
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Nous n'avons pas fait beaucoup de triptyques.
Après le Ganymède, le fait de partir d'une sculpture s'y prêtait bien. Nous avions envie de voir le corps d'Abel sous plusieurs angles, de le saisir de tous les côtés, de tourner autour de l'image comme on tourne autour de la sculpture. C'était le jeu avec cette sculpture qui nous plaisait. (Pierre et Gilles, novembre 2006) A l'invitation du musée d'Orsay, des artistes d'aujourd'hui dialoguent avec les collections en choisissant l'oeuvre de laquelle ils se sentent proches.
Naît ainsi la double possibilité de voir les collections sous un nouveau jour et de faire résonner autrement leur modernité toujours active. Les oeuvres de Pierre et Gilles se jouent des registres esthétiques, détournent les genres, brouillent les frontières du quotidien et de l'extraordinaire, du commun et du sacré. C'est la sensualité évidente de la pose et la portée tragique du personnage d'Abel de la sculpture de Feugère des Forts qui leur ont inspiré ce triptyque, La Mort d'Abel, présenté dans une installation inédite au musée d'Orsay.
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A l'invitation du musée d'Orsay, des artistes d'aujourd'hui dialoguent avec les collections en choisissant l'oeuvre de laquelle ils se sentent proches.
Naît ainsi la possibilité de voir les collections sous un nouveau jour. Artiste américain né en 1929, John Chamberlain a été marqué par Van Gogh puis par l'expressionnisme abstrait et l'oeuvre du sculpteur David Smith. Dès lors, il crée des sculptures abstraites, à partir d'éléments de carrosserie et de ferraille qu'il assemble, compresse, soude, peint. A l'invitation du musée d'Orsay, Chamberlain a répondu par le choix de Dans le jardin du docteur Gachet de Van Gogh, à la végétation exubérante.
, à laquelle il confronte Lipstik Canteen, qui déploie ses feuilles de métal coloré dans l'espace. The Musée d'Orsay invites contemporary artists ro dialogue with its collections by picking a work they feel close to. This is an opportunity to see the collection in a fresh light. The American artist John Chamberlain, born in 1929, was influenced by Van Gogh and later by abstract Expressionism and the work of the sculptor David Smith.
He went on to creat abstract sculptures from car bodywork and scrap metal which he assembles, crushes, welds, paints, etc. in response to the Musée d'Orsay's invitation, Chamberlain has chosen the lush vegetation of Van Gogh's In Dr Gachet's garden, confronting it with Lipstick Canteen, which deploys its leaves of coloured metal in space.
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À l'invitation du musée d'Orsay, des artistes d'aujourd'hui dialoguent avec tes collections en choisissant l'oeuvre de laquelle ils se sentent proches.
Naît ainsi la possibilité de voir les collections sous un nouveau jour. Artiste français né en 1941, Claude Rutault développe depuis 1973 ses définitions/méthodes dont le principe peut s'apparenter à un mode d'emploi, sorte de guide d'utilisation de l'oeuvre à l'usage du collectionneur, du commissaire d'exposition. Avec l'Hommage à Puvis de Chavannes de Seurat, Rutault propose d'en réactualiser le principe, posant à nouveau la question de l'hommage aux maîtres de l'histoire de l'art.
The Musée d'Orsay invites contemporary artists to dialogue with its collections by picking a work they close to. This is an opportunity to see the collections in a fresh light. A French artist born in 1941, since 1973, Claude Rutault has been devising definitions/methods based on a principe similar to set of instructions, a kind of user's manual for the work intended for collectors, exhibitions curators etc.
With Seurat's Homage to Purvis de Chavannes, Rutault proposes to update this principle, again raising the issue of tributes to masters in the history of art.
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Se confronter à Rodin amène bien souvent à se poser d'une nouvelle manière des questions élémentaires sur la sculpture, sur le ton du célèbre « Qui sommes-nous ? D'où venons-nous ? Où allons-nous ? ». Daniel Dewar et Gregory Gicquel ont bien voulu s'engager dans cette tentative, eux qui, précisément, déclinent leur travail sur le mode revendiqué de l'aventure expérimentale, au point d'en parler comme d'une « création performative ». En témoigne dans cet ouvrage la photographie comme mémoire de leurs modèles en terre, disparus au cours du processus d'élaboration." -