Bono - artiste, activiste et chanteur du groupe de rock irlandais U2 - publie ses Mémoires. Surrender est un texte sincère et irrévérencieux, intime et profond - l'histoire de sa vie hors du commun, des défis qu'il a dû surmonter, et des amis et de la famille qui l'ont soutenu et façonné.
« Quand j'ai commencé à écrire ce livre, j'espérais dépeindre en détail ce que j'avais seulement esquissé dans mes chansons. Les personnes, les lieux et les possibilités qui s'étaient présentés à moi. «Surrender» est un terme lourd de sens pour moi. Ayant grandi en Irlande, dans les années 1970, les poings levés (sur le plan musical), ce n'était pas un concept naturel. C'est un terme autour duquel je me contentais de tourner jusqu'à ce que je me plonge dans mes souvenirs pour ce livre. Aujourd'hui, je suis toujours aux prises avec ce commandement qui appelle à l'humilité. Au sein du groupe, dans mon mariage, dans ma foi, dans ma vie d'activiste. Surrender est l'histoire d'un pèlerin peinant à avancer... mais qui s'amuse en cours de route. » Bono.
La carrière de Bono, un des artistes les plus iconiques du monde de la musique, est largement documentée. Mais dans Surrender, Bono lui-même se livre pour la première fois sur sa vie extraordinaire et sur ceux qui l'ont partagée. De sa voix unique, Bono nous raconte son enfance et sa jeunesse à Dublin, notamment la perte brutale de sa mère à l'âge de quatorze ans, l'improbable parcours de U2 jusqu'à ce que le groupe de rock devienne l'un des plus célèbres de la planète, et enfin ses plus de vingt années d'activisme consacrées à la lutte contre le sida et l'extrême pauvreté. Dans un récit introspectif d'une grande sincérité, et avec un solide sens de l'humour, Bono lève le voile sur sa vie, ainsi que sur la famille, les amis et la foi qui l'ont toujours soutenu, bousculé et façonné.
Les raps américain et français sont le produit de la révolution politique des années 1970. Sur fond de désoccidentalisation et de déhiérarchisation culturelle, une réinterprétation du couple égalité-liberté met alors en crise toutes les formes de transcendance. Le hip-hop en a d'emblée cristallisé les symptômes sociopolitiques les plus révélateurs : la crise de l'identité soumise à l'injonction sociale de l'autoréalisation, la réévaluation de la concurrence dans notre conception de la justice sociale, les nouvelles revendications en matière de représentation et de reconnaissance. Mais le hip-hop était encore une manière de transition entre les deux époques : son opposition à la société établie visait une perspective commune.La rupture intervient à la fin du siècle avec le gangsta rap qui déplace l'entreprise de transformation sociale sur le terrain culturel désormais dominé par les surenchères transgressives et le second degré. Muni d'un code esthétique ambivalent qui piège l'esprit critique, il engage avec la société une bataille de normes qui n'a cessé de défrayer la chronique.L'aspiration démocratique n'en a pas pour autant déserté le rap du XXI? siècle. Par un nouveau déplacement, c'est au premier chef dans ses aspects formels qu'elle se déploie à présent : dans son irréductible éclectisme et la polysémie des mots, dans le recyclage des métaphores et les caprices rythmiques amarrés à l'imprévisibilité de l'expérience. Elle prend ainsi la forme d'une démocratie esthétique qui célèbre la virtuosité stylistique et l'innovation, mais qui, totalement désintellectualisée et délestée du poids historique, ressemble à un grand jeu d'énigmes sans réponse.
Dans cet ouvrage, son premier depuis qu'il s'est vu décerner le prix Nobel de littérature, Bob Dylan nous donne un aperçu personnel et hors du commun de la musique populaire. À travers soixante-six textes, illustrés de cent cinquante photos, il se penche sur les titres d'autres artistes, de Stephen Foster à Elvis Costello, en passant par Hank Williams et Nina Simone. Mystérieux, touchants, profonds, souvent empreints d'un humour ravageur, ces essais sont la quintessence de sa plume inimitable.
Claire-Marie Le Guay a conçu ce livre comme un concert écrit.En s'appuyant sur la vie et la personnalité de cinq compositeurs et l'exploration de leurs oeuvres, elle nous convie à une lecture musicale.Le foisonnement joyeux de Mozart, lumineux au-delà du drame, nous prend par la main, l'équilibre de la construction de Bach organise nos pensées, le flot des sentiments amoureux de Liszt éveille nos sens et nous guide de la douleur à la consolation, la force créatrice de Mahler, puisant sa source dans la nature, nous aide à trouver notre place, et la puissance expressive de Rachmaninov nous fait vibrer et nous donne l'énergie du dépassement.Étayé de nombreux liens d'écoute, ce livre est un partage de ce que l'on peut puiser dans la musique pour éclairer notre vie.
«Au XVIII? siècle, à la cour ou dans les salons, la punchline s'appelle un épigramme:il s'agit d'exécuter un adversaire intellectuel ou un concurrent mondain dans une formule ironique qui rassemble le plus d'électricité en le moins de mots. Remplacez le décor de l'aristocratie par celui des cités, les châteaux par des tours, les jardins par des squares, les carrosses de marquis par des comiques en Merco... et la punchline est née»(extrait de la préface de Thomas A. Ravier)
Qui aurait cru qu'une école du rap naîtrait à Boulogne-Billancourt et que ses artistes métamorphoseraient le hip-hop français ? Les Sages Poètes de la Rue, Booba, Ali, LIM, Salif, Mala, Kohndo, Nysay, Mo'vez Lang, Tuerie... tous ont marqué de leur empreinte cet ancien bastion ouvrier, fief de Renault, qui continue d'influencer les nouvelles générations de rappeurs.
Pour reconstituer l'histoire de l'école de Boulogne, l'auteur de cette enquête au long cours a interviewé plus de cinquante rappeurs, producteurs et journalistes. Des débuts des Sages Poètes de la Rue dans la zone du Pont-de-Sèvres au triomphe de Booba, en passant par la carrière écourtée de Salif, quel héritage ont laissé ces artistes qui se sont unis puis déchirés ?
Truffé d'anecdotes, Boulogne, une école du rap français passionnera le grand public comme les spécialistes.
«Conversations» est une série de vingt entretiens donnés par le légendaire compositeur Steve Reich.
Figure de proue du mouvement minimaliste aux côtés de Philip Glass ou Terry Riley, sa musique a influencé nombre de jeunes musiciens, chorégraphes ou artistes.
Il s'entretient ici avec des collaborateurs, des compositeurs, des musiciens influencés par son travail. On retrouve des grands noms tels que Brian Eno, Johnny Greenwood (Radiohead) ou la chorégraphe Anne Teresa de Keersmaeker. Avec eux, il revient sur sa carrière, ses inspirations, son approche de la composition...
Ces discussions libres et sans filtre permettent d'entrer en profondeur dans la vie, la pensée et l'oeuvre de Reich. Et de découvrir ainsi les cheminements par lesquels s'est échafaudée la musique de ce compositeur majeur.
« Mama sé, mama sa, mama makossa », ce mantra de Manu Dibango (1933-2022) a été repris, samplé, plagié de Michael Jackson à Rihanna, en passant par les Fugees ou encore Beyoncé. Paru à l'occasion de la coupe d'Afrique des Nations en soutien aux Lions Indomptables du Cameroun, « Soul Makossa » constitue dès sa parution en 1972 un véritable manifeste culturel. Ce titre est la porte d'entrée naturelle dans l'oeuvre foisonnante de ce compositeur et saxophoniste d'exception, qui a su fusionner entre autres l'afro-beat de Fela Kuti et le zouk de Kassav', et donner naissance à la world music. Les tribulations artistiques de Manu Dibango l'ont conduit de Reims à Bruxelles, de Douala à Abidjan, de Paris à New York, où il a partout été acclamé, devenant dans les années deux mille le patriarche de la musique africaine. Ces entretiens, avec son ami et producteur Yves Bigot, rendent hommage à sa personnalité à travers son histoire personnelle comme musicale, sa vision originale du panafricanisme, et ses observations lucides des enjeux culturels et géopolitiques entre les peuples.
Et si la radio était avant tout un art ? Empruntant au manifeste et à l'art poétique, Pour un art radiophonique appelait dès 1930 à investir créativement la T.S.F. (pour "télégraphie sans fil").
Précurseur et influencé par la psychanalyse, Deharme pressent que ce nouveau média, accessible à un large public, a le pouvoir de stimuler l'inconscient de l'auditeur en faisant émerger des images à partir des seuls mots et sons. Fourmillant de propositions avantgardistes, Deharme repense le reportage radio, ses conditions d'écoute et anticipe la possibilité du montage sonore, impossible à l'époque. Alors que le formatage n'épargne pas la radio, ce texte fondateur ouvre la voie vers tout un territoire à défricher. La radio n'a pas dit son dernier mot !
La Philharmonie de Paris, en collaboration avec le Musée des beaux-arts de Montréal, présente À plein volume : Basquiat et la musique. Il s'agit de la première grande exposition consacrée à la place de la musique dans l'oeuvre de Jean-Michel Basquiat. L'exposition regroupe plus d'une centaine d'oeuvres de Basquiat, de nombreux extraits sonores, extraits vidéo, carnets et documents d'archives, et porte un regard approfondi sur la carrière de musicien de l'artiste, sur les sons qu'il a traduits en peinture et sur les musiciens qui l'ont inspiré. Elle jette un nouvel éclairage sur sa carrière d'homme de scène et de musicien, notamment au sein du groupe Gray, dont il était l'un des membres fondateurs.
Il y a soixante ans, les Beatles sortent Love me do, leur premier single. Depuis, leur musique, leurs chansons, leur génie comme leur révolution accompagnent la planète. Des stars mieux que Jésus Christ Comme tels, les Beatles ne s'appartiennent plus vraiment. Au-delà des mélodies et des mots, ils sont une culture autorisant excès et libertés. Alors pourquoi pas, en dédicace, un petit opus surréaliste et inédit qui, avec pudeur et passion, s'autorise à convoquer John, Georges, Paul et Ringo du côté des casseroles.
Considéré comme le plus rock des critiques gastronomiques, Emmanuel Rubin, journaliste au Figaro et à Europe 1, cofondateur du Fooding, invite les pop chefs de la scène culinaire à mettre en saveurs les standards les plus food des Beatles : Mean Mr Mustard, Octopus's Garden, Wild Honey Pie, Penny Lane, Glass Onion, Savoy Truffle, Strawberry Fields Forever, The Ballad of John and Yoko, Lucy in the Sky with Diamonds ou encore Yesterday qui a bien failli s'appeler Scrambled Eggs.
Savez-vous que sur les murs des grottes préhistoriques ont été découvertes les premières partitions musicales élaborées par nos ancêtres ?
Savez-vous que les chants des paysans de la vallée du Nil sont les mêmes que ceux chantés il y a cinq mille ans pour la naissance d'un enfant ou la mort d'un ami ?
Savez-vous que Pythagore a inventé son premier instrument de musique à la suite d'une visite chez un forgeron ?
Savez-vous que la musique de Bach est truffée de messages vers Dieu signés d'un code du génial compositeur ?
Savez-vous que les célèbres Mi-Mi-Do-Ré de la Cinquième Symphonie de Beethoven annoncent « les coups du destin frappant à la porte » ? Et que la Lettre à Elise recèle de biens troublants mystères ?
Savez-vous que dans son Carnaval, Schumann a glissé de multiples cryptogrammes qu'il appelait « Sphinxes » ?
Comment et pourquoi les oeuvres de Wagner pouvaient rendre fous leurs auditeurs ? Comment Scriabine voulait provoquer l'extase ? Quels rythmes secrets dans les oeuvres de Debussy provoquent cette impression de sérénité ? Comment Chostakovitch voulait terrifier les troupes nazies ?...
Vivant, curieux, surprenant, érudit, amusant, Jean Louis Bachelet nous raconte l'histoire de la musique et de ses plus grands compositeurs à travers de multiples références et anecdotes, puisées aux sources mêmes de leur création.
Vocalises d'oiseaux, stridulations d'insectes, chants mélodiques de baleines, hurlements chorals de loups... Depuis toujours, l'homme s'est confronté aux voix animales pour les reproduire, les transcrire ou les transfigurer. D'innombrables bestiaires jalonnent ainsi l'histoire de la musique, de Rameau à Saint-Saëns. De nombreux instruments, appeaux, serinettes ou flageolets d'oiseaux, empruntent aussi aux animaux leurs formes et leurs matières, ou cherchent à en imiter les sons. Sans oublier les récits qui poétisent le lien des hommes aux animaux, comme Les Musiciens de Brême, ou encore Papageno, célèbre homme-oiseau de La Flûte enchantée de Mozart, dont l'identité même rend évidente l'affinité profonde que l'humanité nourrit avec la partition du vivant.
Entre imagier vagabond et cabinet de curiosités, chaque lettre de ce catalogue en forme d'abécédaire montre l'influence extraordinaire des voix animales dans l'histoire de l'art et de la musique, et questionne le devenir de la biodiversité et la disparition d'un patrimoine sonore en danger.
Musicienne, poétesse, mais aussi photographe et peintre, Patti Smith est une artiste totale qui n'a eu de cesse, tout au long de sa carrière, de saluer ses influences artistiques. Des membres de cette famille choisie, le plus important est certainement Arthur Rimbaud. Entre la jeune prolétaire de Chicago et le poète de Charleville, un lien indéfectible se tisse. Grand frère, amant platonique, mentor, Arthur inspire Patti et la guide, par ses appels à la liberté et à la modernité, dans sa vie comme dans son art : « Il est avec moi à tous mes concerts [...] Je connais Arthur depuis toujours ». Par l'analyse du parcours artistique et personnel de Patti Smith, de sa découverte de l'oeuvre de Rimbaud à ses pèlerinages à Charleville, ce livre se propose de décrypter cette constellation intime.
« La musique vous prend, et vous ne savez pas où elle vous emmène. Assez vite quand même apparaît une chose simple : si elle vous prend, c'est d'une main ferme, presque impérieuse... Elle vous mène où vous ne saviez pas pouvoir aller. Vient le moment où s'impose une évidence : le voyage n'aura plus de fin ».
En retraçant le cheminement de la musique, Sylvain Fort tente de cerner ce que peut être une sensibilité musicale et ce qu'il nous est permis d'attendre de cet art invisible, aérien, abstrait, dont les effets sont plus manifestes et physiques qu'aucune autre forme d'expression.
Claire Levacher est cheffe d'orchestre. Double audace?: rares sont les personnes à même d'affronter la solitude du podium pour y faire naître et vivre un collectif et un sens commun, et plus rares encore sont parmi elles les femmes. C'est en remportant des concours internationaux prestigieux après une formation qui l'a conduite de Paris à Vienne en passant par le Michigan, que Claire Levacher s'est imposée comme une cheffe d'orchestre au rayonnement mondial. Elle nous emmène dans cet ouvrage à la découverte d'un métier fascinant et nimbé de mystère et nous fait rencontrer ses maîtres et sources d'inspiration, grands compositeurs, chanteuses et chanteurs, metteurs en scène, musiciens de toutes nationalités et de tous horizons. Dans cet échange libre, sincère et éclairant, elle nous partage la puissance du collectif réuni dans l'interprétation d'une oeuvre comme la solitude du chef d'orchestre. Claire Levacher mène une carrière internationale de cheffe d'orchestre et est professeure à l'Université de Graz en Autriche. Agathe Cagé est politiste, cofondatrice et présidente du cabinet de conseil Compass Label.
Ce coffret en édition limitée contient un poster inédit signé par le duo d'illustrateurs Fortifem et l'ouvrage Kodex Metallum, présentant plus de 80 thèmes (tels que la forêt, la piraterie, la mort ou encore le diable) et quelque 300 pochettes d'albums décryptés pour mieux comprendre les influences et les différents courants d'une des musiques les plus fertiles de notre époque.
« La musique est l'art des sons. » De cette définition banale, retenue d'une leçon d'enfance, ce livre tire toutes les conséquences. Chemin faisant, il répond aux questions les plus simples et les plus profondes sur la musique et sur les arts. Pourquoi, partout où il y a de l'humanité, y a-t-il de la musique ? Pourquoi la musique nous fait-elle danser ? Pourquoi nous émeut-elle ? Et qu'est-ce que la beauté ?
« Une réflexion limpide et allègre sur l'essence et les sens d'un art majeur. Un livre à proprement parler extraordinaire. » Roger-Pol Droit, Le Monde des livres « Un des ouvrages les plus clairs, pertinents et enthousiasmants jamais écrits sur le sujet. » Robert Maggiori, Libération
C'est l'histoire d'une musique, née dans les communautés d'esclaves noirs, forgée dans la souffrance, et qui devint universelle. Une musique qui continue encore aujourd'hui à parler à la plus mystérieuse partie de notre être, notre âme.
Cette âme est devenue verbe, et le verbe musique : soul music.
Mais ce n'est qu'au sortir de la Seconde Guerre mondiale que la soul a pris sa forme la plus populaire, avec les débuts de ce que l'on a appelé le rhythm & blues, fl eurissant dans des villes devenues mythiques, de Memphis à Détroit en passant par La Nouvelle-Orléans, traversé et façonné par les événements historiques et politiques du XXe siècle américain.
Une musique portée par des labels et des producteurs qui ont parfois commencé avec rien, au fond d'un garage, avant d'entrer dans la légende, comme Atlantic ou la Motown.
Rock my soul retrace le parcours souvent chaotique de stars aux noms qui font rêver : James Brown, Otis Redding, Aretha Franklin, Stevie Wonder, Marvin Gaye, Ray Charles, Diana Ross, Tina Turner, Michael Jackson et Prince, des artistes immenses qui ont porté la gloire de la soul à son zénith ; sans oublier, tout récemment, Anderson .Paak ou Leon Bridges,emblèmes de la nouvelle génération...
Derrière les paroles des chansons traditionnelles qui semblent les plus anodines, parfois considérées à tort comme des chansons pour enfants, se cachent souvent des doubles sens insoupçonnés qui expriment implicitement le désir...
Quels sont-ils ? Quelle est leur nature ? Quels sont leurs particularités, leur rôle et leurs équivoques ? Dans quel contexte historique se sont-ils développés ?
Dans cet ouvrage original, le premier consacré à ce sujet, Jean-Pierre Jany aide à repérer ces doubles sens pour accéder à un autre niveau de lecture de ce répertoire français et occitan dont la compréhension est largement perdue depuis le début du xxe siècle.
Une fois refermé ce livre, simple, direct et concis, vous n'écouterez plus jamais ces chansons traditionnelles de la même manière.
Michka Assayas, Benoît Duteurtre et Alexandre Fillon vous prescrivent des ordonnances musicales où le rock, le classique, la soul, le blues ou encore la chanson française se révèlent les plus stimulants des traitements.À la façon d'un dictionnaire, cette musicothérapie brillante et amusante - qui permet de revisiter des classiques et de faire d'incroyables découvertes - raconte aussi comment de grands compositeurs et interprètes étaient convaincus de l'effet de leur mélodie, et offre des clés étonnantes pour surmonter les tourments de toute sorte, et se sentir infiniment mieux.Quelle que soit l'épreuve que vous traversez, il existe une musique qui vaut tous les remontants !
Un ouvrage qui met en avant le pouvoir de la musique dans nos vies, ainsi que ses incroyables bienfaits thérapeutiques !
Ce livre est le résultat de plus de quinze années d'expérience sur l'influence de l'univers sonore sur l'humain, tant dans le milieu médical et thérapeutique (enfants autistiques, toxicomanes coupés du social, personnages âgées...) que dans la vie quotidienne (bien-être, relaxation...). À travers des histoires vraies chargées d'images, d'émotions fortes et d'humour, l'auteur nous plonge au coeur des extraordinaires bienfaits de la musicothérapie. Cet ouvrage propose une réflexion originale sur notre rapport au sonore, nos systèmes de perception, nos motivations et le pouvoir des sons, pour mieux comprendre tous les rapports infra-verbaux qui s'établissent entre les êtres. Il nous décrit également l'accès à la pratique musicale des personnes handicapées par divers instruments et techniques spécialement étudiées pour elles, donnant ainsi à la musique son rôle de réinsertion dans le social. Cet ouvrage ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, il est aussi un message d'espoir pour tous ceux qui sont persuadés que l'échange ne s'arrête pas aux formes du langage, mais que les sons ont un pouvoir universel qui nous rassemble au-delà de nos incompréhensions.
Bassiste, bien sûr, mais aussi compositeur et chanteur des Stranglersdepuis leur formation en 1974 à Guildford, Jean-Jacques Burnelcontinue de garantir l'éthique du groupe qui a su allier la provocationau raffinement, au-delà des clichés « sex, drugs and rock'n'roll ».Dans ces entretiens, il témoigne pour la première fois de leurinfluence sur la scène punk britannique, de leur rapport au publicet aux médias, ou encore des recompositions du groupe depuis ledépart de Hugh Cornwell en 1990, signes d'une vitalité et d'unelongévité peu communes. Douze chapitres, et autant de thèmes, où « JJ » Burnel dévoile sa personnalité, dont il puise en partie la complexité dans sa double identité. « Le plus français des Anglais et le plus anglais des Français » y évoque son passé turbulent, son idéal européen exprimé dès 1979 avec son album Euroman Cometh, son travail de producteur pour Taxi Girl ou encore Polyphonic Size, la pratique des arts martiaux et de la moto, l'évolution de son rapport aux femmes et à l'amour, sans oublier son attachement à la France, où il vit désormais.