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Mecene
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Au XIXe siècle, près de cent passages permettaient de traverser Paris à l'abri des intempéries et à l'écart de la circulation hasardeuses de rues sales et dangereusement encombrées.
Sous leurs hautes verrières, l'on y découvrait alors, avec admiration, les récentes prouesses du progrès technique : l'éclairage au gaz, le travail du verre et du fer qui permettaient ces longues verrières, tout ceci créant une nouvelle esthétique. Le capitalisme naissant s'empressa d'y installer ses boutiques de luxe.
De ces lieux aujourd'hui emprunts d'un certain mystère, où la beauté de l'architecture le dispute à la richesse de l'histoire, il ne reste plus que seize survivants que le temps a miraculeusement préservés.
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Le Centre national du costume de scène est la première structure de conservation, en France comme à l'étranger, à être entièrement consacrée au patrimoine matériel des théâtres.
Il a pour mission la conservation, l'étude et la valorisation d'un ensemble patrimonial de 9000 costumes de théâtre, d'opéra et de ballet ainsi que de toiles de décors peints, dépôts des trois institutions fondatrices du Centre, la Bibliothèque nationale de France, la Comédie-Française : l'Opéra national de Paris, auxquels sont venus s'ajouter de nombreux à Moulins dans l'Allier, le CNCS occupe une partie du Quartier hors ancien quartier de cavalerie datant de la fin du XVIIIe siècle, classé Monument historique, dont la restauration s'est accompagnée de la construction d'un nouveau bâtiment pour les réserves de costumes, dessiné par l'architecte Jean-Michel Wilmotte.
Outil muséographique et scientifique, le CNCS est également un lieu ressource à la disposition des professionnels du spectacle, des secteurs de la recherche, et du grand public.
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1860 - Haussmann charge le photographe Charles Marville de photographier ce qui devait être détruit au cours de la transformation de Paris.
2009/2015 - 150 ans plus tard, Studio Traktir photographie pendant deux années les mêmes lieux, de l'endroit exact d'où Marville avait pris ses clichés (précisés dans ses notes conservées à la Bibliothèque Historique de Paris).
Le livre - Les Éditions du Mécène publient en novembre 2010 l'ouvrage de cette comparaison de Paris avant Haussmann et tel qu'il est devenu aujourd'hui. 520 pages, 640 photos, 320 de Marville et 320 d'aujourd'hui. Plus de 100 plans comparatifs.
320 légendes qui expliquent la transformation de Paris depuis le Second Empire et son histoire.
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Chaque ville traversée laisse des impressions, toutes construites d'immeubles très divers...
Parmi ces édifices, certains se distinguent par leur architecture, leur audace esthétique, leur technique innovante et le défi qu'ils représentent ou ont représenté à l'époque de leur inauguration.
Ce livre est une promenade dans le siècle qui s'achève, à travers des édifices qui ont, pour une raison ou une autre, marqué la ville moderne, comme autant d'images prises individuellement.
Il est un voyage imaginaire dans lequel, faisant fi des distances et du temps, se côtoient des immeubles séparés parfois par de nombreuses années...
Et des milliers de kilomètres.
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Leurs vins préférés : les personnages historiques et les stars actuelles
Debra Finerman, Patrice de Moncan
- Mecene
- 6 Novembre 2020
- 9782358960694
Quels vins buvaient les rois de France, les empereurs romains, Cléopâtre ou Marie-Antoinette ? Quels vins boivent aujourd'hui Brad Pitt, les astronautes dans l'espace, les grands sportifs, les écrivains ou les grands scientifiques ?
Un point commun réunit toutes les femmes et tous les hommes recensés dans ce livre : ils sont tous universellement célèbres, qu'ils soient Français, Anglais, Américains, Chinois, Russes, Espagnols, etc.
Quel vin boit telle star actuelle ou quel vin buvait tel personnage de l'Histoire ?
Étonnamment, ce sujet n'a, à notre connaissance, jamais été traité en tant que tel ! Voilà des mois que nous y travaillons au bout desquels nous avons recensé un peu plus de 200 personnes amoureuses du vin, depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours. Des politiciens, des souverains, des acteurs, des chanteurs, des écrivains, des sportifs, des scientifiques... Vous en trouverez la liste complète ci-jointe.
Anecdotes et faits historiques sont associés, avec humour et légèreté, avec sérieux et références, pour les amoureux du vin comme pour le grand public... Oui ! L'ambition de ce livre est d'être « grand public ». Et il ne s'agit en aucun cas d'un nouveau livre de critique sur les vins, ni d'un livre d'histoire sur le vin et les différents vins ou la viticulture. Mais bien d'un livre totalement original et nouveau.
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L'essentiel des arbres, des parcs, des bois et des squares de paris ont été créés ou redessinés sous le second empire.
Haussmann, aidé par les ingénieurs alphand, davioud, barillet-deschamps et belgrand, entreprit ce qui allait être pour lui l'une de ses plus grande source de fierté : offrir ce dont les parisiens manquaient le plus, l'air et la verdure. près de 400. 000 arbres plantés dans le bois de boulogne, 200. 000 autres sur les trottoirs de la capitale, 27 squares dessinés. la création des bois de boulogne et de vincennes, des champs de courses, des parcs des buttes-chaumont et de montsouris.
Le réaménagement des jardins des champs elysées, du luxembourg et du parc monceau. voilà l'extraordinaire bilan du baron haussmann, un écologiste avant l'heure.
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Le Centre national du costume de scène et de la scénographie (CNCS) a été ouvert le 1er juillet 2006 par Renaud Donnedieu de Vabres, ministre de la culture et de la communication.
Le CNCS est un établissement unique, d'un nouveau type en France comme à l'étranger, consacré au costume de scène dans tous les aspects du spectacle vivant, ouvert au grand public comme aux professionnels. Ses prestigieuses collections de 8500 costumes de théâtre, d'opéra et de ballet, ainsi que d'une trentaine de toiles peintes, sont des dépôts de la Bibliothèque Nationale de France, de la Comédie française et de l'Opéra Nationale de Paris.
Tous les grands noms des arts plastiques, du théâtre et de la mode y sont représentés. " Bêtes de scène " est l'exposition d'ouverture du CNCS.
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Le lycée parisien ; trente "palais de la République" dévoilés
Edith de Cornulier, Dominique Le Brun
- Mecene
- 25 Septembre 2014
- 9782358960359
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Ecrire paris - l'image de paris dans la litterature du xixe siecle
Daniel Oster
- Mecene
- 7 Décembre 2012
- 9782358960243
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Ouvert en 2006, le Centre national du costume de scène est la première structure au monde à être entièrement consacrée au patrimoine du spectacle vivant (théâtre, opéra, danse...) et plus précisément à la scénographie et aux costumes.
Le CNCS occupe le Quartier Villars, caserne de cavalerie bâtie pendant le règne de Louis XV, qui porte le nom du Maréchal de Villars, grand homme de guerre, né à Moulins, qui s'illustra sous le Roi Soleil, notamment à la bataille de Denain en 1712. Bien des cavaliers illustres fréquentèrent ce beau bâtiment à la noble architecture, aujourd'hui classé monument historique, et aussi les fêtes moulinoises et leur Grand Café, ainsi cet Étienne Balsan qui, à la Belle Epoque, aida une toute jeune couturière à se faire un nom, celui de Coco Chanel.
Le CNCS conserve aujourd'hui un fonds d'environ 9000 costumes, dépôts de la Bibliothèque nationale de France, de la Comédie-Française et de l'Opéra national de Paris, ou encore collections propres au Centre, dons de théâtres, de compagnies, de costumiers, d'artistes... Le bâtiment de réserves a été construit par Jean-Michel Wilmotte, qui a également conçu la muséographie des espaces d'exposition du bâtiment principal.
Les costumes sont présentés par roulement dans des expositions temporaires qui se succèdent au rythme des saisons, abordant tous les sujets, des " Bétes de scène " à " J'aime les militaires ! ", des " Mille et une nuits " à " Au fil des fleurs, scènes dejardins ", et dernièrement un hommage à Rudolf Noureev, icône de la danse, en attendant d'ouvrir des salles permanentes qui lui seront dédiées, grâce au don consenti par la Rudolf Nureyev Foundation.
Bien sûr, le CNCS a mis en lumière Christian Lacroix, son président d'honneur, grand couturier, grand costumier, et l'exposition qui lui a été consacrée à Moulins a couru le monde, de Singapour à Sao Paulo... L'exposition " Opéras russes, à l'aube des Ballets Russes " traite des somptueuses productions de grandes oeuvres lyriques montées par Diaghilev, de Boris Godounov en 1908 à La Khovantchina en 1913.
Lieu d'histoire et lieu de vie, le CNCS illustre dans tous les domaines, expositions, centre de documentation, auditorium boutique, restaurant... les fastes du spectacle et ceux qui patiemment, dans l'ombre, les tissent, décorateurs, couturiers costumiers, ateliers... Le CNCS bénéficie, dans la conduite de ses missions et actions, du financement du Ministère de la culture et de la communication, de la Ville de Moulins, du Conseil général de l'Allier, du soutien de ses institutions fondatrices la Bibliothèque nationale de France, la Comédie-Française et l'Opéra national de Paris, et de l'appui du Conseil régional d'Auvergne.
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Boutiques royales ; les plus anciennes maisons de luxe
Elise De Moncan
- Mecene
- 11 Mars 2010
- 9782358960014
Les maisons " historiques " rassemblées dans ce livre nous proposent une promenade au coeur de l'art de vivre français. S'il n'existe plus en France de mention " fournisseur de la couronne ", l'on peut toujours s'offrir le raffinement et le luxe de nos anciennes cours royales ou impériales. Tout en renouvelant leurs créations, ces maisons rééditent à la demande des pièces qui furent créées pour nos rois et nos empereurs. Grâce au savoir-faire unique de leurs artisans, à leurs secrets jalousement gardes et transmis comme autant de trésors, c'est tout un patrimoine de notre histoire de l'art et du goût qui a pu être préservé et parvenir jusqu'à nous. Ces boutiques, au nom et à l'histoire illustres, permettent de témoigner de la pérennité d'un art de vivre fait d'élégance et de beauté.
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Villes haussmanniennes - bordeaux, lille, lyon, marseille
Patrice de Moncan
- Mecene
- 9 Janvier 2003
- 9782907970624
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Qui a oublié, dans Garçon !, la brasserie où courait, sourire aux lèvres et plateau à la main, Yves Montand ? Et cette épicerie où travaillait un certain Jamel Debbouze, devant laquelle Amélie Poulain, intriguée, passait tous les matins ? Et les beignets de tomates vertes du Whistle Stop, ce restaurant en Alabama où ils faisaient la gloire des patronnes, Idgie et Ruth,...
Et encore cette boutique où Woody Allen confectionnait des cookies afin de mieux cambrioler la banque d'à côté ?
Brasseries, épiceries, boutiques, hôtels, restaurants et fast-foods, casinos, Grands magasins... Tous ces lieux appartiennent désormais à notre mémoire collective grâce au cinéma.
Jean-Pierre Busca et Guy Jacquemelle vous proposent plus de cent cinquante films qui illustrent ce thème. De Julien Duvivier (Au bonheur des dames, 1930) à Richard Linklater (Fast Food Nation, 2006), voici un aperçu de soixante-seize ans de "Commerce" à travers le 7e art.
It's impossible to forget the smiling Yves Montand, balancing a tray in his hands and rushing to serve customers in a pub, in the film Garçon! And what about mat grocery store Amélie Poulain passed by every morning, where a certain Jamel Debbouze worked? As for the fried green tomatoes, the glory of Idgie and Ruth 's Whistle Stop café in Alabama, they are unforgettable.
Just like the shop where Woody Allen made cookies while scheming to hold up the bank next door.
Pubs, groceries, boutiques, hotels, restaurants, fast-food joints, casinos and department stores now belong to our collective memory thanks to the cinema. Jean-Pierre Busca and Guy Jacquemelle have selected over one hundred and fifty films to illustrate mis theme. They offer an insight into seventy six years of Commerce through the Seventh Art, from Julien Duvivier ("Au bonheur des dames ", 1930) to Richard Linklater ("Fast Food Nation", 2006).
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françoise-anne bachelier a rassemblé pour vous les 50 meilleures recettes reçues lors des différentes éditions du " concours national amateur de terrine " créé en 1995 par bachelier-antiquités.
savoureuses, traditionnelles ou originales, elles ont été sélectionnées par un jury expert mêlant chefs étoilés, critiques gastronomiques, amateurs éclairés. toutes témoignent de la richesse de nos terroirs, d'inventivité créative, et d'une réelle passion de tous ces cuisiniers amateurs pour ce mode culinaire qui allie au plaisir créatif et gourmand les charmes de la convivialité. a vos fourneaux !.
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NICOLAS DE RABAUDY, l'auteur de ces Mémoires est un gourmand professionnel, qui fut et reste l'un des plus grands critiques gastrono- miqques français. Chaque jour, depuis quarante ans, il déjeune au restau- rant avant d'adresser sa critique gastronomique à l'un des journauax aux- quels il collabore - Match, Le Figaro Magazine, Le Journal du Dimanche, et aujourd'hui pour slate.fr. sur le web. Une singulière expérience de la table et des plaisirs de bouche.
Épicurien, il vit pour le plaisir des papilles et les émotions gourmandes, traque les tables nouvelles, s'assied dans des monuments de la gastrono- mie française - La Tour d'Argent, Le Meurice, Les Ateliers de Robuchon, Benoît, un grand bistrot... -, pour se mettre à la place des gourmets qui vivent, comme lui, pour se régaler. Des restaurants inoubliables, il y en a plus qu'on ne le croit. Nicolas de Rabaudy les met en lumière.
« MÉMOIRES D'UN GOURMET À TABLE » raconte ses moments de bonne chère, de voluptés intimes, de repas bien tournés.
Nicolas de Rabaudy mange et écrit pour nous, lecteurs gourmands en quête d'adresses de bonne chère et de vraie convivialité.
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Depuis Platon, l'homme a toujours rêvé de la ville idéale.
Utopia, la cité imaginée par Thomas More au XVIe siècle a donné naissance à l'utopie urbaine. S'inspirant de ce modèle, des centaines d'autres villes utopiques ont vu le jour telles Christianopolis au Moyen Age, Le Phalanstère de Fourrer au XIXe siècle, puis la Cité Radieuse de Le Corbusier ou encore Broadacre City Usonia de Frank Lloyd Wright, qui toutes ont contribué à façonner les cités d'aujourd'hui.
C'est l'histoire de cette utopie urbaine que retrace Patrice de Moncan. Des siècles de rêves... jusqu'à ce qu'un groupe de jeunes architectes anglais annonce dans les années 60 : " En raison d'un manque total d'intérêt, demain est annulé ". L'utopie urbaine a-t-elle aujourd'hui encore un sens ? Peut-on toujours dessiner la ville à la manière des utopistes, s'interroge Patrice de Moncan ? Les architectes Ricardo Bofill, Roland Castro, Léon Krier, Jean Nouvel, Dominique Perrault et Christian De Portzamparc proposent une réponse.
Tout au long de ce livre, un grand choix de textes qui ont forgé l'utopie urbaine à travers les siècles, étaye cette réflexion.
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Paris Marville ; Paris, photographie au temps d'Haussmann
Patrice De Moncan
- Mecene
- 29 Octobre 2008
- 9782907970891
En 1860 Haussmann créait la "commission historique de paris". C'est elle qui chargea Charles Marville de photographier, en 1865, les rues appelées à disparaître, puis, en 1877, les avenues nouvelles. Napoléon III accueillit cette initiative avec enthousiasme. "Ceci permettra de suivre à travers les siècles les transformations de la ville qui, grâce à votre infatigable activité, est aujourd'hui la plus splendide et la plus salubre des capitales de l'Europe," écrira-t-il à son préfet. Les photos de Marville qui figent l'avant et l'après Haussmann sont non seulement d'une grande beauté, mais aussi d'une importance capitale: elles racontent la plus grande mutation qu'une ville ait jamais connue.