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Arts de la table / Gastronomie
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Les légumes de Monica Luciani : 72 recettes comme à l'oenosteria
Monica Luciani, Carolyn Jenkins
- La Table Ronde
- 24 Octobre 2024
- 9791037113948
Les légumes sont ma passion ! J'aime les regarder sur les étals du marché, les travailler, les cuisiner... un jour peut-être pourrai-je les cultiver. Dans ce livre vous trouverez 72 recettes simples et savoureuses, organisées au fil des saisons. Certaines sont des classiques du patrimoine gastronomique italien, d'autres ont été préparées à l'Oenosteria selon l'inspiration du moment et d'autres encore empruntées à des personnes chères à mon coeur. Elles sont rapides et faciles : l'idée est de se faire plaisir même quand on a une très petite cuisine et peu de temps. Et c'est possible, croyez-moi !
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Mots de table, mots de bouche : dictionnaire étymologique et historique du vocabulaire classique de la cuisine et de la gastronomie
Claudine Brécourt-villars
- Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 15 Juin 2023
- 9791037112651
La pêche Melba a son histoire, comme le poulet Marengo ou le homard à l'américaine ou thermidor, inventé celui-là pour fêter le triomphe d'une tragédie de Victorien Sardou. Mais pourquoi telle sauce s'appelle-t-elle béarnaise, béchamel, Soubise ou Robert ? Pour quelle raison telle pâtisserie est-elle baptisée amandine ou conversation ? Et qu'en est-il, parmi tant d'autres, des amourettes, du baba, de l'épigramme, de la crêpe Suzette ou des pets-de-nonne ? Voilà ce qu'on peut trouver dans ce petit dictionnaire, qui comprend cinq cents articles illustrés par des citations puisées dans près de trois cents cinquante oeuvres du XIV? siècle à nos jours.
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Chez Marcel Lapierre
Sébastien Lapaque
- Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 14 Octobre 2010
- 9782710367505
En rendant visite à Marcel Lapierre à Villié-Morgon, Sébastien Lapaque s'est attaché à éclairer la démarche de l'un des principaux inspirateurs des vignerons français qui ont tourné le dos aux vins gonflés et standardisés pour en produire des plus goûteux et naturels. Au moment où ces vins ' nouvelle vague ' s'imposaient chez les cavistes, dans les bistrots et jusqu'à la table des restaurants étoilés, le vigneron et l'écrivain ont retracé ensemble une étonnante aventure, avec pour objectif revendiqué de lutter contre ceux qui s'acharnent à ' effacer la mémoire du goût '.
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«On a beaucoup écrit sur le vin, pour le louer plus que pour le comprendre. Il passe pour un produit, alors qu'il est un personnage. Aussi relève-t-il plus de la psychologie que de l'agriculture, de l'amour que de l'économie politique. Nous avons donc été amené à tracer le portrait moral des trois grands vins du monde, de Bourgogne, de Bordeaux, de Champagne, et de leur plus coriace concurrent, le vin des États-Unis. Ces quatre exemples convergent vers la même conclusion : le vin est au niveau de son pays. Qu'il s'avilisse, et c'en est fini de la littérature, de l'art, de la fierté. La foi se porte en bouteilles.»
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L'Ame du vin appartient à un temps béni où le plaisir de boire était naïf. Le vin n'était pas saturé de sens comme aujourd'hui. Les oenologues n'existaient pas. Il n'y avait ni expert, ni consultant, ni journaliste du vin. Il n'y avait que des amateurs. Maurice Constantin-Weyer appartient à cette espèce en voie de disparition. L'amateur est celui qui aime tout simplement, sans se laisser influencer par la doxa, comme on dit aujourd'hui, c'est-à-dire l'opinion admise, le politiquement correct. L'expert voudra toujours confisquer la parole de l'amateur évidemment incompétent. Paru en 1932, L'Ame du vin est, dans l'oeuvre de M. Constantin-Weyer, un livre à part. C'est à la fois un hymne au mystère de la vigne et à l'ivresse, un parfait guide des vins qu'il décrit région par région et un ouvrage polémique. Un livre à consommer sans modération.
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Au cours de la seconde moitié du siècle, une véritable révolution oenologique est intervenue, dont les grands vins rouges du monde entier sont aujourd'hui les héritiers.
Cette transformation est due à l'école bordelaise, et principalement à Emile Peynaud. Chercheur, pédagogue, homme de terrain, auteur de nombreuses publications scientifiques et d'ouvrages généraux - son livre Le Goût du vin est une référence sans équivalent - Emile Peynaud a mené sur tous les fronts sa bataille pour une nouvelle oenologie. Conseiller des plus grands crus de Bordeaux (Château Margaux, Lafite-Rothschild, La Mission Haut-Brion, Léoville Las Cases...).
Il a aussi beaucoup travaillé à l'étranger. Toutes les grandes régions viticoles du monde portent aujourd'hui sa griffe - et celle de ses très nombreux élèves. Le grand oenologue a accepté de retracer dans ces Entretiens cinquante années de vie professionnelle : une aventure passionnante à lire impérativement par tous les amateurs de vin.
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Célébrations des alcools
Raymond Dumay
- Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 11 Septembre 2008
- 9782710329268
La vie est là, ni simple ni tranquille, mais, au contraire, curieusement équivoque, parce que nous en éprouvons la fragilité à l'instant même où nous en reconnaissons l'absolue immanence. Ainsi Raymond Dumay peut-il écrire qu'" après avoir sondé les reins et les coeurs, nous arrivons à une conclusion : l'alcool est un produit de la philosophie plus que de la distillation, il est existentialiste. L'alcool n'était pas, il est devenu. Il s'est fait en faisant son consommateur, qui lui-même devenait autre à mesure que l'alcool se modifiait. Tous les alcools suivent la même évolution, qui est celle de l'homme et tout aussi bien celle de l'art. Ils vont vers plus de dépouillement, de sobriété, de finesse... ".
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De la gastronomie française
Raymond Dumay
- Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 10 Septembre 2009
- 9782710331377
« La gastronomie est-elle un besoin chez l'homme ? Rien n'est moins évident. On ne peut forcer à boire l'âne qui n'a pas soif, ni faire manger l'homme qui n'en a pas envie. L'aspect social de la gastronomie a été mis en valeur depuis longtemps. L'homme seul se nourrit. À deux, il commence à manger. Dès l'origine du monde, une voix s'est élevée : la cuisine sera amicale ou ne sera pas. » Raymond Dumay Cette réédition fait suite à celles de La Mort du Vin en 2006 et de Célébration des alcools en 2008.
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Les mets par le menu
Sandrine Fillipetti
- Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 20 Octobre 2011
- 9782710367437
Apôtre du culte de la bonne chère, la littérature abonde en recettes et en anecdotes, en expériences singulières et en copieuses débâcles expérimentales. De l'opulence des tables raffinées aux soupers modestes des ventres creux, de la "haute" à la "basse" cuisine, de la gastronomie nomade aux nourritures presque célestes, cette anthologie réunit une centaine d'auteurs gourmets, gourmands ou même gloutons, pour une célébration des goûts et des saveurs.
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Variétés gourmandes
Grimod De La Reyniere
- Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 20 Octobre 2011
- 9782710367550
Prince des épicuriens, Grimod de La Reynière (1758-1838) a élevé la cuisine au rang des beaux-arts. Les repas qu'il organisait sont devenus légendaires grâce aux récits de ses contemporains, qui n'ont pas hésité à les assaisonner d'un peu de fiction pour ajouter à leur pittoresque. On sait moins que Grimod fut aussi un redoutable théoricien de l'art de bien recevoir. En témoigne Variétés gourmandes, choix de textes extraits du Manuel des Amphitryons (1808), de l'Almanach des Gourmands (1803-1812), encore largement inédit, et du journal des Gourmands et des Belles (1806-1807) qui n'a jamais fait l'objet d'une réédition. Une sélection des somptueux menus qu'il avait établis en fonction des saisons complète cette délectable anthologie.
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" Caroline a toujours considéré l'art de la cuisine comme une fête permanente.
Elle trouvait plaisir à créer des couleurs qui donnaient à quelques-uns de ses plats une certaine splendeur dorée comme une caresse de Vélasquez. Ce plaisir se doublait d'une joie profonde quand autour de sa table venaient s'asseoir les amis. A vrai dire il ne venait jamais quelqu'un d'autre. La cuisine ne tolère que l'amitié. [...] C'est Roger Nimier qui lui a donné le premier l'idée et le désir d'écrire des recettes, de noter des conseils, de livrer au public sa propre expérience.
Caroline était en cuisine comme en tout la modestie même, et il ne lui serait pas venu à l'idée de composer un livre pour dire ce qu'elle faisait tous les jours. Roger sut lui faire comprendre que ce livre allait créer des instants de bonheur. Avec lui, les recettes ne devaient pas se présenter comme des énigmes, mais comme un guide de la plus grande clarté. Ses conseils ne sont pas des songes, ils désignent point par point une exquise réalité.
Caroline écrivait souvent le soir quand la nuit venait des Pyrénées et que tout dormait dans la maison, sauf une souris et deux chiens. Même dans les plus petites choses elle engageait son coeur. " KLEBER HAEDENS.
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Simenon et Maigret passent à table
Robert Courtine
- Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 19 Septembre 2013
- 9782710370697
C haque soir, en accrochant son manteau, le commissaire Maigret s'amusait à deviner ce que sa femme lui avait mijoté : un boeuf miroton, une blanquette de veau, du fricandeau à l'oseille, une tarte aux mirabelles. Dans toutes ses enquêtes, on retrouve cette cuisine des repas de familles ou des petits bistrots, une cuisine « à l'ancienne », simple et savoureuse.
Fin gourmet, Simenon mitonne pour son personnage ses plats de prédilection. Et il est fort rare qu'il fasse sauter un repas au commissaire : si un interrogatoire traîne en longueur, Maigret se résigne à commander des sandwiches et de la bière à la brasserie Dauphine en attendant que le suspect se décide à « passer à table » : « Vous voyez ce bureau, n'est-ce pas ? Dites-vous que vous n'en sortirez que quand vous aurez mangé le morceau. » Les aveux obtenus, il se hâte de rejoindre son foyer, boulevard Richard-Lenoir, où l'attend paisiblement Mme Maigret.
Ami de Simenon, Courtine rappelle que cette dernière incarnait « l'idéal amoureux » du romancier. Ainsi, les plats qu'elle prépare ont à la fois le goût du terroir, de la fidélité conjugale et celui, inoubliable, de l'enfance.
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Les livres de recettes sont souvent ennuyeux et quelquefois très compliqués. Or la cuisine, pour être agréable, doit être oeuvre de bonne humeur. Mais de quelle cuisine s'agit-il?
Il y a la cuisine de tous les jours, celle que l'on doit manger pour vivre.
Il y a la cuisine des réceptions et des fêtes, celle qui fait le gourmand vivre pour manger.
Il y a enfin la fantaisie, le hasard de la route, l'improvisation des vacances, l'exception en un mot.
Cette cuisine d'exception n'a jamais encore été codifiée.
Robert J. Courtine, disciple de Curnonsky, grand prix de littérature gastronomique, vous présente, hors des sentiers battus du quotidien, ses Dimanches de la cuisine, recettes pour toutes les occasions, conseils pour les sorties et les vacances.
Du pique-nique aux invités du dimanche, du jour sans bonne aux voyages de vacances, de la pêche du mari à la cueillette des enfants, des centaines de plats originaux, pratiques... Et des conseils pour les maris célibataires «aoûtiens».
De l'humour aussi. Car il n'est pas indispensable qu'un livre de recettes les plus sérieuses soit ennuyeux