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Snoeck
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Depuis sa première édition en 1989, le festival nous rappelle que, pour une information visuelle de qualité, le regard du photojournaliste est indispensable. Rendez-vous immanquable des amoureux de la photographie et du reportage, le festival réunit plus de 220 000 visiteurs chaque année à Perpignan. Depuis 35 ans, Visa pour l'Image - Perpignan accompagne les mutations économiques et politiques des métiers du photojournalisme et de la presse, et soutient les professionnels en leur donnant l'opportunité de montrer leur travail et de le faire découvrir au plus grand nombre. Plus que jamais, le festival s'avère nécessaire pour défendre ceux qui exercent un métier qui permet d'informer, de comprendre et d'alerter, dans des conditions toujours plus dangereuses et précaires. Cette année, nous présentons toutes les expositions de l'édition 2024 avec, pour chacun des photographes, huit pages consacrées à leur reportage.
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Durant 40 ans, gie Knaeps a photographié les groupes les plus renommés sur les scènes rock internationales. Il était donc grand temps de revenir sur cette riche carrière et de compiler ces photos de concert fascinantes, pleines de mouvement, d'impétuosité et de passion, ou simplement intimes.
Avec une introduction de Serge Simonart et des photos, entre autres, de New Order, Levellers, Madonna, Kraftwerk, Beyoncé, Justin Timberlake, Kanye West, James Brown, Jane Birkin, Hooverphonic, Grateful Dead, Ike et Tina Turner, Foo Fighters, Faithless, De La Soul, dEUS, Stromae, Red Hot Chili Peppers, Guns N' Roses, Nick Cave, The Rolling Stones, R.E.M., Radiohead, Pixies, Prince, et bien d'autres ! -
Agnès Varda : plages, cabanes et coquillages
Collectif
- Éditions Snoeck
- 27 Juillet 2022
- 9789461618054
Oui j'aime la mer et les bords de mer calme. Oui j'aime les plages, leurs horizons et les petites choses qu'on y trouve.
Oui j'aime les gens qui marchent, leur élan et leur énergie.
Oui j'aime les patates en forme de coeur, surtout celles qui commencent à vieillir, à pourrir et à regermer. Oui j'ai toujours aimé les triptyques anciens et ils m'ont inspiré des trios d'images où je peux associer des photographies argentiques et des vidéos numériques.
C'est mon désir de réconcilier le noir-et-blanc et la couleur, l'immobilité et le mouvement. J'ai même aimé les polyptiques et j'en ai fait un avec les veuves émouvantes de l'île de Noirmoutier.
Oui j'aime les vaches tranquilles et les éoliennes qui tournent sans cesse.
Les visiteurs que je n'ai pas rencontrés - et je le regrette - ont pu se promener dans les divers lieux réels ou recomposés.
Cela me rend heureuse car j'aime penser que l'art et l'imagination peuvent se partager un peu partout dans le monde ». -
L'exposition Staged bodies est consacrée aux nombreuses façons dont le corps est mis en scène dans la photographie artistique depuis 1970. L'ouverture de la culture postmoderne aux domaines de la fiction, de l'hybridation et du simulacre a provoqué de nombreux bouleversements dans le traitement du corps. Ce dernier n'est plus considéré comme une réalité close et stable, mais devient une surface de projection fluctuante permettant de renégocier des questions fondamentales liées à la représentation, à l'identité, et à la relation entre les sexes. Dorénavant, le corps n'est plus un fait biologique inchangeable, mais une construction sociale, compréhensible uniquement à travers le prisme de ses multiples mises-en-scène dans des contextes historiques et culturels particuliers. À ce passage d'un corps naturel et permanent vers un corps idéologiquement déterminé et remodelable, correspond, en termes de photographie, l'abandon d'une approche documentaire en faveur d'une « staged photography », une photographie mise-en-scène, qui, au lieu de prétendre à la reproduction du réel, le théâtralise et le fictionnalise. Pour cette exposition, de nombreux prêts nous ont été accordés (CNAP, plusieurs FRAC, IAC Villeurbanne, MAMC Saint-Etienne, Musée de la Photographie de Charleroi, MAC's Grand Hornu, Fondation Lhoist...) et les oeuvres d'artistes reconnus seront présentées dont : Orlan, Zoe Leonard, Les Krims, Valie Export, Michel Journiac, Urs Lüthi, Shirin Neshat, Cindy Sherman, Nan Goldin, Balthasar Burkhard, Martin Parr, Victor Burgin, Luigi Ontani, Jürgen Klauke, Jan Vercruysse, Lili Dujourie, Hiroshi Sugimoto, Patrick Faigembaum ou encore Duane Michals.
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Photographe et auteur Thierry Clech J'ai sillonné l'Ukraine en août 2013, soit trois mois avant les manifestations de Maïdan, sans bien sûr me douter que ce serait le dernier été que connaîtrait ce pays dans son intégrité territoriale. La chaleur alanguissait les villes. Les plages d'Odessa ou de Crimée étaient bondées de touristes russes et ukrainiens. Mais derrière l'insouciance estivale, se percevaient déjà les prémices du conflit à venir. J'en ai rapporté 73 films, soit plus de 2 600 vues, pour finalement sélectionner les 76 photographies qui composent ce livre. "Ma première image de l'Ukraine ressemble à ces petits mondes sphériques remplis d'un liquide translucide. Une simple secousse de la main suffit à répandre dans l'atmosphère des milliers de minuscules paillettes. Les flocons argentés fourmillent alors lentement dans le ciel confiné, puis finissent par recouvrir tout le paysage. J'avais dix ans. Comme tous les petits garçons de mon âge, me pâmant devant le poste de télévision, je suivais l'épopée stéphanoise qui, à la pointe de l'hiver 1976, transitait donc en Ukraine. À Kiev, selon mon souvenir erroné. Car je m'aperçois aujourd'hui que c'était à Simferopol, plus au sud, en terres de Crimée ". Le ciel y était sans doute identiquement bas et plombé, mais devait y régner une température plus clémente, propice à la tenue de ce quart de finale aller après que la neige qui recouvrait le terrain eut été chassée par le souffle de moteurs d'avions à réaction acheminés sur la pelouse pour l'occasion : Mig ou vieux Yak de l'armée soviétique, étoiles rouges sur leurs flancs." (...)
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Images révélées : Poitiers à l'épreuve de la photographie, 1839-1914
Collectif
- Éditions Snoeck
- 5 Novembre 2015
- 9789461612441
Cette exposition présentera pour la première fois un panorama de la création photographique dans la cité poitevine, depuis le temps des pionniers jusqu'à l'aube de la Première Guerre. La période sélectionnée court des débuts du daguerréotype (exposé dès décembre 1839 à Poitiers) à l'apogée de l'autochrome (dont le premier est présenté à Poitiers à l'exposition de 1907), soit jusqu'à la fin des procédés « artisanaux » dans la tradition du XIXe siècle.
Les épreuves d'époque, majoritairement inédites, ont été découvertes après plusieurs années de recherche fructueuses, dans les collections du musée et de la médiathèque, les collections nationales (Musée d'Orsay, Musée français de la photographie à Bièvres, Historial de Vendée, Médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine ...) et internationales (Victoria & Albert Museum de Londres, J. Paul Getty Museum à Los Angeles ...). Elles témoignent d'une véritable effervescence du nouveau procédé photographique alors même que la ville subit les plus importantes mutations urbaines et sociales de son histoire.
Le parcours chronologique de l'exposition s'articule autour des figures majeures du médium (Gustave Le Gray, les frères Varin, Alfred Perlat, Jules Robuchon...) montrant l'évolution des pratiques, et les regards nouveaux portés sur la ville (du monumental vers le paysager, du paysage composé à la scène de rue, sans oublier l'univers du portrait). Elle rappelle également le rôle primordial des institutions dans l'essor de la photographie (Commission des Monuments historiques) et des expositions locales du début du XXe siècle qui permettent aux poitevins de découvrir les nouveaux courants artistiques.
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Paris compte presque 600 impasses, cités, villa's, squares : rues sans issue. Culs-de-sac, tel est le terme plus anciens toujours en vogue dans la bouche des Anglais. La capitale française, circonscrite par le péréphérique, reste la ville la plus densément peuplée d'Europe occidentale : plus de 20 000 habitants au km2. Ce livre offre à voir environ 200 de ces lieux, en passant du premier au vingtième arrondissement. Autant de photographies qui dévoilent des coins de Paris qui passent normalement inaperçus. Karin Borghouts est une artiste et photographe belge spécialiste des lieux environnements et architecturaux.
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À la demande du Département, Raymond Depardon a réalisé, en 2002-2003, une série de photographies sur les Alpes-Maritimes. Du littoral, récemment urbanisé et connu des visiteurs du monde entier, le photographe est parti à la découverte de l'âme des Alpes-Maritimes. Ses pas l'ont amené à travers des paysages grandioses, vers ces villages nichés dans les vallées, vers leurs habitants héritiers d'une histoire séculaire et gardiens de traditions bien ancrées.
Cet ouvrage vous propose une remontée dans le temps des Alpes-Maritimes vue par le regard d'un des plus grands noms de la photographie.
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Depuis sa première édition en 1989, le festival nous rappelle que, pour une information visuelle de qualité, le regard du photojournaliste est indispensable. Rendez-vous immanquable des amoureux de la photographie et du reportage, le festival réunit plus de 220 000 visiteurs chaque année à Perpignan. Pendant 31 ans, Visa pour l'Image - Perpignan a accompagné les mutations économiques et politiques des métiers du photojournalisme et de la presse, et a soutenu les professionnels en leur donnant l'opportunité de montrer leur travail et de le faire découvrir au plus grand nombre. Plus que jamais, le festival s'avère nécessaire pour défendre ceux qui exercent un métier qui permet d'informer, de comprendre et d'alerter, dans des conditions toujours plus dangereuses et précaires. Cette année, nous présentons toutes les expositions de l'édition 2019 avec, pour chacun des photographes, huit pages consacrées à leur reportage.
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Lorsque Thomas Feuerstein (*1968) est interrogé sur son oeuvre exu bérante qui mêle la biologie, la littéra - ture, l'histoire de l'art, la philosophie, la médecine, la cybernétique, la religion, le sexe, l'économie et les mass media, ou encore les effets de la biopolitique sur l'individu et le rêve de l'éternelle jeunesse, il répond volontiers par écrit sous forme d'exposé littéraire. La folle et téméraire énumération autour de son oeuvre ressemble alors d'autant plus à une théorie littéraire complexe de la vie réelle qu'il réagit lui-même par un récit d'aventures -comme son histoire « Plus ultra. Le projet herculéen ». Thomas Feuerstein y fait le portrait du boxeur, éditeur de magazines, dadaïste et dandy Arthur Cravan, tournant son regard vers un personnage des années 1920 qui hante depuis peu, soit 60 ans plus tard, à la manière d'une idole l'histoire de la pop tout en alimentant le mythe de l'anti-héros anarchiste.
Cette image littéraire n'est cependant qu'une parabole pour le modèle de machines et bioréacteurs de Feuerstein avec lesquels l'art est produit au sens le plus classique, notamment un automatisme d'écriture emprunté à la célèbre « Écriture automatique » des surréalistes, mais basé chez lui sur la cotation et la fluctuation des cours. Parallèlement, l'orga nique, les enzymes et catalyseurs, forment des sculptures molécu laires, et donc un processus, qui mène à des manifestes tels qu'on ne les connaît que dans l'histoire de l'art. Son concept de forme, explique l'artiste, « a peu à voir avec le concept classique de sculpture. La matière, ses structures moléculaires et les processus et transfor mations qui y sont liés, joue un rôle spécifique. Je ne vois pas la forme comme le concept contraire de la matière, mais comme une structure susceptible de prendre différents aspects et figurations. »
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Une trentaine d'expositions est prévue. Cette première liste est non exhaustive.
Entrée gratuite, tous les jours, de 10h à 20h, du 1er au 16 septembre 2012.
Du 17 au 21 septembre, les expositions restent ouvertes spécialement pour les groupes scolaires (sur rendez-vous). En 2011, près de 8 000 élèves (étudiants, collégiens, lycéens) de toute la France, mais aussi venus d'Espagne, ont visité les expositions commentées par les photographes Martina Bacigalupo, Matthias Bruggmann, Peter Dejong, Bertrand Gaudillère et Pierre Terdjman.
Pour son 24 anniversaire, le Festival Visa pour l'Image - Perpignan publie, pour la cinquième année consécutive, avec les éditions Snoeck, un catalogue qui met à l'honneur les photographes exposants de l'édition 2012.
Depuis sa première édition en 1989, le Festival International du Photojournalisme nous rappelle que, pour une information visuelle juste, le regard du photojournaliste est indispensable. Les photos reproduites sont des documents d'archives ou d'actualité. Elles relatent les guerres ethniques, les conflits, les oubliés de l'histoire. Elles nous parlent de nature et d'environnement, de peuples, de religions, de faits de société, ou encore des grands fléaux de notre époque.
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Cet ouvrage rassemble un crédit photographique qui s'étale sur une période de trente ans (1982-2012). L'auteur va à la rencontre d'un quotidien accessible à tous, dans une ville unique, en perpétuel mouvement, qui se transforme, grandit ou se recroqueville. Au travers d'une Capitale qui cultive ses secrets, les images de ce livre nous font également découvrir un Paris qui s'amuse, un Paris espiègle, un Paris qui émeut, un Paris qui intrigue et passionne, un Paris qui bruisse de toute part. Entre le Paris qui s'éveille et celui qui s'endort, existe un autre Paris, qui devant une porte anonyme, une chambre sous les toits, un escalier qui s'efface dans la brume, un pavé luisant qui révèle le petit matin.
La ville lumière, oblitérée de ses innombrables visiteurs venus des cinq continents au fil des quatre saisons, entretient en chacun de nous la flamme de la curiosité et de l'évasion.
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Archipel ; Indonésie, les royaumes de la mer
Collectif
- Éditions Snoeck
- 15 Novembre 2017
- 9789461614285
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A quoi ressemble la vie d'une épicière dans une ruelle de Pékin, d'une infirmière dans un hôpital de Chengdu, d'un chauffeur de taxi dans les embouteillages de Shanghai ? Quelles pensées traversent l'esprit d'un paysan du Ningxia qui n'a que quelques yuans pour nourrir sa famille ? Quel regard porte une ex-idole du rock sur le « miracle chinois » ? Ce livre est un voyage aux quatre coins de la Chine. Une porte ouverte sur l'intimité d'hommes et de femmes, connus ou inconnus, dont les histoires, parfois si simples nous semblent pourtant si lointaines. A ces témoignages humains s'ajoutent quelques données factuelles qui permettent de remettre en perspective des parcours dans cette société en transformation accélérée . « Portraits chinois » a été réalisé à l'initiative de Jacques Penhirin, consultant en Chine. Diane Droin-Michaud, journaliste à Hong Kong, a écrit les textes. Les photos ont été prises par Anais Martane, photographe à Pékin.
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Visa pour l'image est un festival international de photojournalisme créé en 1989, par Roger Thérond, le directeur de la rédaction de Paris-Match. Il en avait confié l'organisation à Michel Decron, directeur du journal Photo du groupe Filipacchi. Dirigé par Jean-François Leroy, Visa pour l'image se déroule chaque année dans toute la ville de Perpignan, de fin août à mi-septembre pour une durée de quinze jours, plus une 3e semaine réservée aux scolaires. Il s'agit du plus important festival de photojournalisme public et gratuit au monde, quant à la fréquentation
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Trésors des réserves ; le fond photographique de la première guerre mondiale conservé au musee de la
Collectif
- Éditions Snoeck
- 15 Novembre 2018
- 9789461615053
Le Musée de La Cour d'Or - Metz Métropole compte, aux côtés de très nombreuses oeuvres, une importante documentation témoignant de l'évolution de l'institution et de l'histoire du territoire sur lequel il est implanté. Au sein de sa photothèque, riche de milliers de négatifs et de tirages, le fonds Kriegsmuseum (ou KM) dû à la volonté de Johann Baptist Keune, directeur du musée de 1899 à 1918, a récemment fait l'objet d'un soin tout particulier.
Après l'avoir nettoyé, reconditionné et numérisé pour assurer au mieux sa conservation, il est à présent mis à l'honneur au sein de ce nouvel ouvrage de la collection "Trésors des réserves".. Un regard singulier sur la Grande Guerre se dessine ainsi à travers ces 774 plaques de verre produites pendant le conflit.
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UMBO - le « big-bang » de la photographie moderne UMBO - ce nom incarne en quelque sorte un « big-bang » de la photographie moderne survenu au milieu des années 1920 : né Otto Maximilian Umbehr en 1902 à Düsseldorf, il est considéré comme l'inventeur de l'image de la femme nouvelle, de la nouvelle image de la rue, du reportage photographique par excellence. Son nom symbolise l'envol du mouvement de jeunesse des Wandervogel de la période wilhelminienne aux débuts du Bauhaus. Il est synonyme de la métropole médiatique en plein essor qu'était Berlin dans les années 1920, d'une scène artistique qui grandit à la vitesse de l'éclair entre cinéma, musique, théâtre et cabaret, de regards sur les arrière-cours et les cuisines des « cités-casernes » surpeuplées. La publication présente une sélection de 200 oeuvres et de nombreux autres documents, puisés pour l'essentiel dans la succession d'UMBO.
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Avec cette série, Indra Laenens nous emmène dans un « voyage imaginaire » à travers la Première Guerre mondiale. Fasciné depuis son jeune âge par la photographie de guerre, il a réalisé de nombreux collages à partir d'autoportraits inspirés des scènes populaires de Bruegel et de photographies documentaires anciennes en noir et blanc. Les photos de la Première Guerre mondiale ont amené l'artiste à travailler de manière réaliste, en s'attachant à l'émotion et au vécu, mais avec un regard personnel sur l'époque orienté par ses lectures et l'aide de spécialistes. Le principe de la duplication de « soi » permet de tester les limites du médium. L'ouvrage se veut en outre un appel fort à la paix, « no more war »...
Catalogue de l'exposition « Imaginary Journey through WWI » au Fort Liezele, Puers-Saint-Amand, du 11 novembre 2022 au 30 mars 2023. -
Dey your lane, lagos variations, palais bozar Bruxelles
Collectif
- Éditions Snoeck
- 1 Juillet 2016
- 9789461613097
Dey your lane!" is an expression often heard on the streets of Lagos. It means: "That's none of your business!" Every day, millions of people survive in this fast-growing city by relying on a particular form of resourcefulness, both individual and collective. In this book, twenty-four photographers lift the veil on the creative and artistic vitality that is generated by the African metropolis. A number of essays interpret and contextualize their photographs.
Discover how residents of this vast Nigerian city navigate the public space of the megalopolis and fulfil personal and collective ambitions.
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Depuis sa première édition en 1989, le Festival International du Photojournalisme nous rappelle que, pour une information visuelle juste, le regard du photojournaliste est indispensable. Les photos reproduites sont des documents d'archives ou d'actualité. Elles relatent les guerres ethniques, les conflits, les oubliés de l'histoire. Elles nous parlent de nature et d'environnement, de peuples, de religions, de faits de société, ou encore des grands fléaux de notre époque.
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Fotofever est née de la volonté de créer une plateforme de promotion de la photographie. à travers une sélection pointue, chaque édition porte les valeurs de fotofever : audace, passion, et partage.
Nov 2011 : 1ère édition à paris avec 40 galeries et 11.500 visiteurs.
Oct 2012 : 2ème édition lancée à bruxelles avec 68 galeries et éditeurs et plus de 10.000 visiteurs.
Fotofever explore la diversité de la photographie d'aujourd'hui en soutenant la jeune génération et s'engage à développer de nouvelles vocations de collectionneurs.
Cécile schall, fondatrice et directrice de fotofever, a pour ambition de lancer une foire par continent en faisant de fotofever paris le tremplin de son développement international.
Du 15 au 17 novembre, fotofever revient à paris, transforme le carrousel du louvre en temple de la photographie et accueille galeries, collectionneurs et institutions afin de vivre intensément la passion pour la photographie dans une atmosphère brûlante !
Place à la photographie et bienvenue à la 2ème édition de fotofever paris !
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L'exposition « Pose travail » produite par le Conseil général de Seine-et-Marne, conçue par le musée départemental de la Seine-et-Marne sous la direction scientifique d'Evelyne Baron, conservatrice en chef et ethnologue, et présentée à partir de mars 2013, s'articule autour d'une sélection de cent métiers ou entreprises seine-et-marnais, choisis pour leur caractère identitaire, innovant ou caractéristique d'une problématique du travail contemporaine. Pour chacun d'eux, une personne ou un groupe ont été pris en photographie par le photographe Guy Hersant, non pas en posture de travail mais posant devant le photographe sur leur lieu de travail : c'est donc la question de la représentation au travail qui y sera abordée. Chaque photographie portera une légende situant le ou les métiers et son (leur) lieu d'exercice. Y seront associé un court extrait de l'entretien ethnologique significatif du propos mis en avant pour ce métier et éventuellement, un objet emblématique du métier ou du propos délivré dans l'entretien.
Lancé par Conseil général de Seine-et-Marne, le projet Pose travail allie une commande auprès d'un artiste photographe, Guy Hersant, qui a réalisé de juin 2001 à septembre 2012 une centaine de photographies de Seine-et-Marnais au travail, et une recherche menée par Dominique Le Tirant, ethnologue et psychologue du travail, sur la réalité du travail aujourd'hui en Seine-et-Marne.
De ces deux commandes sont nées ce livre, ainsi qu'une exposition au musée départemental de la Seine-et-Marne sous la direction scientifique d'Evelyne Baron, conservatrice en chef et ethnologue, et présentée à partir de mars 2013. Cette exposition sera suivie d'une présentation « hors les murs » dans vingt lieux de Seine-et-Marne, et d'une exposition itinérante avec les photographies et les objets originaux, qui sera disponible à partir de janvier 2014.
Le livre s'articule autour des 100 photographies en couleurs de Guy Hersant. A chaque photographie est associé un texte d'une page de Dominique Le Tirant, ethnologue et psychologue du travail, issu d'un entretien mené avec l'une des personnes photographiées en vis-à-vis, ainsi qu'un fiche d'identification de la personne ou de l'entreprise (avec sa localisation dans le département). L'ensemble sera précédé d'un avant-propos d'Evelyne Baron.
Six auteurs spécialistes en sciences sociales ou écrivains, répartis judicieusement dans le livre, apporteront des regards propres et différents les uns des autres sur les photographies de Guy Hersant. Ces regards croisés traiteront de la question du portrait de travail, du corps au travail, des travailleurs en situation de représentation sur leur lieu de travail, des lieux figurant sur la photographie de travail, de la photographie de travail en groupe comme genre photographique.
Eric Hamraoui, maître de conférences en philosophie à la chaire de Psychanalyse - Santé -Travail du CNAM (Paris), Morgan Jouvenet, docteur en sociologie et chargé de recherche au CNRS, Marie Pezé, docteure en psychologie, experte judiciaire, responsable du réseau de consultations Souffrance et travail Nathalie Kuperman et Marie-Noël Rio, écrivaines, Pierre Gaudin, historien.