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Jules glisse sous la couette vers le corps immobile. La jeune fille blonde n'a pas bougé d'un centimètre depuis qu'il s'est couché à ses côtés. A croire qu'elle ne se serait même pas aperçue de sa présence. Elle paraît si concentrée dans son sommeil qu'il ne perçoit même pas sa respiration. Jules se colle aux fesses rondes qui s'offrent à lui. Son amante ne réagit pas. Doucement, il appuie son sexe sur le sien, qui ne s'ouvre pas. Jules reste un moment immobile, indécis. L'envie le tenaille. Il enfouit son visage dans les cheveux blonds et prend l'épaule ronde dans sa paume. Elle est glacée. Jules la secoue. Elle est inerte. Jules frissonne. La jeune fille blonde est morte.
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Un étranger est arrivé dans le petit village de Montécalcino. Que vient-il faire ici, dans ce trou perdu, s'il n'a un lourd secret à dissimuler ? Il se prétend guérisseur, mais on le retrouve rapidement sur la scène du meurtre d'un notable. Et les hommes habillés de grandes capes noires qui rôdent tout autour, après qui en ont-ils ? La doyenne du village, une femme très pieuse, pense qu'il jette le mauvais oeil : pire que tout, elle l'accuse de sorcellerie. Dès lors tous s'interrogent, même le curé. Est-il vraiment un guérisseur comme il le prétend, un puissant sorcier venu jeter son dévolu sur le village, ou simplement un homme qui n'arrive pas à échapper à son destin ? Seul Michel, un gamin, le trouve sympathique. A-t-il vraiment raison de ne pas se méfier de cet homme étrange ?
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Sur toile de fond de guerre d'Algérie, dans la fin des années 50, « D'un jardin l'autre » nous conte une histoire d'amour, celle que vécut à Paris Azur, Algérien et « maître des arts du feu », avec une femme française, donnant naissance à une petite fille.
La mort d'Azur sera le déclencheur d'une peine terrible pour sa fille Flore, peine amplifiée par l'absence de ce père rencontré à l'âge adulte et l'impossibilité du partage des derniers instants. Malgré son désir de la voir disparaître, cette peine va cependant devenir un guide, un aiguillon. Que voulait lui dire Azur avant de partir ? Sous le regard d'Aliénor, sa mère, à l'écoute d'une intériorité, mais aussi à l'affût de chaque piste apte à lui restituer une vérité, Flore tentera de déceler les mots non dits. Au terme de ce cheminement, sorte de voyage initiatique entre réminiscences et rencontres notamment avec le valeureux Ismet, y parviendra-t-elle enfin ?
La céramique, se prête aisément à une réflexion sur la création : l'artiste n'est-il pas celui qui ose, le premier, dans une société, toucher le feu ? De ce roman, se dégage un immense esprit d'ouverture, sublimant le contexte « abiotique » d'une guerre qui ne voulut pas dire son nom, nous entraînant dans l'allégresse d'un message final. Si la facture poétique de ce roman accentue sa distance avec une réalité historique parfois réajustée, celle-ci en fait aussi une fable dans laquelle chaque lecteur pourra se projeter, au sein d'un monde passé, présent et futur revisité avec profondeur et légèreté. -
Et si c'était vrai ? Si certains d'entre nous avaient le pouvoir de se transformer à un moment crucial de leur existence. De se transporter en un lieu qui n'a plus rien à voir avec notre monde, si semblable par son humanité et en même temps si différent dans ses comportements. Une étape avancée, très loin dans l'être, dans une époque lointaine, dont les conceptions sont tellement autres...Gailla nous le racontera, mais pas immédiatement. Car au cours du périple de la mission dont pour la première fois ils sont les organisateurs, Guillaume, son compagnon, la sauve in extremis d'une entité inconnue vivant dans les profondeurs de l'espace. Sous le choc, elle est devenue amnésique. Ses souvenirs lui reviennent très lentement. Trop lentement, l'empêchant de contrôler efficacement leurs apprentis, qui en profitent au point de mettre en échec le travail qu'on leur a confié...
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Août 1991. Tandis que l'Europe gronde, un vol transatlantique est contraint à un amerrissage de fortune sur les côtes d'un archipel au large du Brésil.
Alors que la plupart des passagers sont récupérés par les sauveteurs, certains vont vivre le début d'odyssées personnelles, qui les conduiront bien loin de ce qu'ils pensaient être...
Au fil des parcours de ces naufragés improbables, l'auteur nous entraîne dans une réflexion polyphonique sur le destin des hommes -
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Reprenant un premier texte datant de presque 50 ans, l'auteur reconstitue librement ses lettres à celle qui dans l'intervalle sera devenue son épouse, décrivant, dans une période proche encore de la Seconde Guerre Mondiale, ses études à la Faculté des Lettresde Nancy, les amours nancéennes et spinaliennes du couple en formation puis la découverte de la capitale. L'exil parisien met ensuspens l'intrigue sentimentale. De l'exaltation romanesque à un humour à forte dose d'autodérision.Un texte, je le reprendrai, dans quelques mois, quelques années, quand il aura cessé d'être à vif, dès lors engourdi d'une anesthésie naturelle propice à la chirurgie. Et puis d'autres fois, d'autres fois, jusqu'au Jugement Dernier...
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Un cabanon transformé en hôtel au bord de l'eau à Labruze-Plage sur la côte d'Azur, c'est l'endroit idéal pour se retirer et méditer sur ses origines. Mais quand un drôle de chat décide de guider votre réflexion, le retour vers ses racines n'est pas si tranquille que ça. C'est le thème de ce roman qui nous entraine dans un périple extravagant dans le temps et dans l'espace.
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Je ne veux plus être dépendante et prisonnière du plaisir, je veux le maîtriser pour pouvoir en jouir en toute liberté. Je n'attends rien des autres car je ne dépends de personne. Ma vie j'en fais ce que je veux, et si j'ai décidé d'en jouir un maximum personne n'a le droit de m'insulter, de me critiquer, de me juger. Il s'agit de ma propre vie, elle m'appartient quand bien même serait-elle décousue. À la manière d'un journal intime, Maryssa Rachel nous emmène à travers les chemins sinueux du libertinage, révélant ainsi toute la complexité de l'être humain et de ses désirs les plus profonds. Déroutant ou dérangeant, ses mots tantôt doux, tantôt acerbes continueront de provoquer ou simplement d'exister, sans même se retourner, sous le regard conformiste d'une société en plein questionnement.
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...et Dieu vient à la rencontre de Joseph, charpentier de marine à la retraite, à bord de son bateau, un voilier en bois pas tout jeune, le 'Misha'. De cette visite inopinée, découle une relation rondement menée de simple camaraderie ponctuée d'interrogations existentielles, le tout savoureusement arrosé d'épicurisme. En usant du jargon des marins, d'expressions provençales et d'un vocabulaire riche, l'auteur décrypte notre société humaine engluée dans ses déviances. Un périple au long cours débordant d'humanisme peut-être d'hédonisme sûrement.
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