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Beaurepaire
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Les uniformes bleus - volume 1 : un bon flicard
Eric Dupuis
- Beaurepaire
- 7 Novembre 2012
- 9782357671515
Au cours de sa patrouille, un véhicule de la BAC disparaît et les trois policiers à son bord sont dès lors portés absents sur les ondes. Comme par hasard, ces fonctionnaires venaient d'être relaxés suite à leur procès en cour d'assises pour homicide, proxénétisme, trafic de drogue et corruption. Vengeance, représailles ou fait isolé ? Leur disparition plonge les effectifs du commissariat de police dans l'inquiétude et la peur, ce qui incite la hiérarchie à remettre tout son personnel actif sur la voie publique.
C'est ainsi que le major-instructeur Stanek Zibanski, ancien flic de terrain, se retrouve en renfort des enquêteurs pour faire la lumière sur cette affaire sordide. Mais celle-ci va s'avérer beaucoup plus complexe que voudrait le laisser supposer " la Crim ", et Zibanski va devoir lutter corps et âme pour faire éclater la vérité. Il se retrouvera seul contre tous.
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Qu'un cycliste en descendant un col à la pente sévère meure en course dans une chute de vélo, malheureusement et hélas, cela arrive parfois.
Qu'un coureur cycliste professionnel se tue en tombant à l'entraînement, en octobre, en fin de saison, et cela quatre mois seulement après avoir contracté auprès d'une assurance-vie (en cas d'accident de vélo uniquement) un capital d'un million d'euros : c'est étonnant. Mieux encore, c'est (quelque part) une sacrée chance pour la jeune veuve bénéficiaire de la prime... et une pure malchance pour le pauvre défunt.
Oui, mais lorsque le cycliste est un coureur professionnel plein de vie, renommé pour sa dextérité et son talent avéré. C'est bizarre. vraiment bizarre, pense l'inspecteur Bouchon de la compagnie d'assurance « La Préservatrice ».
Surtout que Bouchon est méfiant, très méfiant. À la limite, il est soupçonneux, pour ne pas dire suspicieux. Trop peut-être, car rien ne prête à croire qu'il s'agisse d'autre chose qu'une mort accidentelle.
L'auxiliaire de gendarmerie Sébastien Dupré, chargé de clore l'enquête officielle de la maréchaussée aimerait bien lui aussi qu'il n'en soit pas ainsi. Surtout qu'Amélie sa tendre amie s'ennuie en attendant qu'il rejoigne leur foyer, là où il aime lui raconter les moindres péripéties de ses journées. Quitte à en rajouter.
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En pleine nuit, un cri déchire le silence. L'enfant Pétronille naît, sa mère succombe peu après dans les bras de son époux. Le temps s'est arrêté. Joseph regarde fixement les braises du feu.
La sage-femme, Églantine, doucement lui dit :
- Joseph, tu dois trouver une nourrice pour la petite. Demain, elle aura faim. Il fait nuit dehors, mais si tu ne te mets pas en chemin dès maintenant, la nuit engloutira la vie de ta fille.
Le pauvre homme la regarda avec une immense lassitude. Elle l'aida à se vêtir d'une pèlerine de drap brun pour affronter le froid.
Mais le froid avait pris place dans son coeur, ce soir du 21 décembre 1749.
Il ouvrit la lourde porte qui repoussait la neige au-dehors. Un vent glacial le frappa au visage. Ses pieds chaussés de sabots avaient du mal à fendre la neige.
Pourquoi, devait-il souffrir ? Sa femme bien-aimée venait de mourir, et sa fille...
... Quelle destinée pour Pétronille ?
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Née en 1818 au coeur du Limousin, Anne, que son veuvage laisse sans ressources, est contrainte d'aller vivre « à la ville ».
Elle est ainsi la première d'une lignée de déracinés qui partiront de plus en plus loin - jusqu'à Nouméa et Montevideo -, poussés par l'espoir d'une existence meilleure.
Mais c'est par idéal que, cent ans plus tard, le descendant d'Anne s'embarquera pour les États-Unis, terre de promesses et non d'exil.
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Dans la bibliothèque de l'abbaye, sur l'ancestrale table de lecture, une femme à peine vêtue est étendue. Sur son corps atrophié par la maladie, un moine promène ses mains dans un mouvement circulaire. À intervalles réguliers, des spasmes violents secouent le corps de l'infortunée. Après quelques minutes, les convulsions disparaissent et le visage recouvre son humanité, ses yeux bleu clair s'ouvrent grandement et fixent sans les voir les voûtes du plafond.
Quelques années plus tôt :
. Mathieu, tremblant, lui tend sa main qu'elle pose spontanément sur un de ses seins. Marceline approche ses lèvres du visage du jeune homme dont l'excitation et le désir sont à leur comble. Mathieu, renonçant à toute résistance, s'abandonne à la rage charnelle de la femme qui, dans des étreintes endiablées, lui fait vivre et acquérir sa première expérience. Certes, sur cette pierre plate inconfortable dominant les vallées à perte de vue, le couple grave inconsciemment un amour infâme et ignominieux.
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Village d'Al-Wadig, vallée d'Uzbin, Afghanistan.
21 janvier 2013, lors d'une opération top-secret menée par un commando d'élite de l'armée américaine sous les ordres du major Thomas Beckett :
" Capitaine ! cria le pilote à Collins. Je viens de recevoir l'ordre du président des États-Unis de décoller immédiatement.
- Attendez ! On ne peut pas laisser Beckett aux mains de ces terroristes. Il connaît trop de choses sur notre sécurité...
- Shadow 2, ici Home base. C'est à nouveau le président Bailey qui vous parle. Écoutez bien mon ordre : abattez Shadow 6. Je répète, tuez le major Beckett ".
Beckett eut juste le temps d'apercevoir des éclairs sortir de la mitrailleuse latérale de l'hélicoptère avant de sentir plusieurs douleurs fulgurantes lui transpercer la poitrine et l'abdomen. Puis il sombra dans le coma, en gardant en mémoire l'image de ses camarades qui lui tiraient dessus...
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Année 451, la victoire de l'Occident ; chronique historique
Alain Di Rocco
- Beaurepaire
- 12 Avril 2018
- 9782357672673
L'histoire contée dans ce livre retrace les évènements de la bataille des champs Catalauniques de l'an 451, opposant Attila à la tête de ses terrifiantes hordes hunniques aux populations du pays gallo-romain.
Ce conflit se déroula en Gaule, partie intégrante de l'Empire romain alors agonisant. Pour la première fois de son histoire, elle vit combattre côte à côte sur ses terres de nouveaux peuples - francs, burgondes, wisigoths, sarmates - auprès de ses chers fils gaulois.
Cette bataille sauva la Gaule, unissant des peuples de cultures différentes mais tous avec la volonté de défendre leur territoire : la future France.
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Mai 1916. Étienne, soldat au 109e régiment d'infanterie territoriale, est au repos dans un petit village à l'arrière du front. Au cours de cette période de répit, après les rudes combats de la Marne et du Soissonnais, Étienne va se lier d'amitié avec une jeune veuve : Pauline.
Cette rencontre insolite est connue grâce aux nombreux courriers qu'Étienne a rédigés pendant cette période et qui ont été retrouvés par hasard près de cent ans après.
Ce roman, inspiré de cette histoire vraie, est un hommage à ces femmes de l'ombre qui ont apporté leur soutien aux soldats des armées françaises durant la Grande Guerre.
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En 1758, Eugénie a dix-sept ans. Elle vit auprès de ses parents, le comte et la comtesse de Beauvallois, en leur château du même nom à Choisy-le-Roi.Lors de son premier bal à Versailles, Eugénie est présentée à Louis XV. Le monarque et le comte Victor de Beauvallois arrangent alors un mariage entre la jeune fille et un ami du souverain, le marquis de la Bussonnière, âgé de soixante-dix ans révolus.Lorsqu'elle l'apprend, Eugénie se révolte et refusant cette union, elle s'enfuit pour se réfugier au couvent des Carmélites.Mais loin de s'arrêter là, ses illusions perdureront tout au long de sa vie. Et l'amour également en Nouvelle-France, entourée de tribus indiennes, et à son retour dans sa patrie durant la Révolution française.
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L'an 367, sous l'empereur Valentinien 1er, voit disparaître peu à peu le paganisme et la croyance aux dieux anciens au profit du christianisme. Les peuples de Gaule, anciennement vaincus mais depuis longtemps acteurs enthousiastes du destin de Rome, doivent accepter de côtoyer des tribus entières de Germains. C'est aussi une période de rupture avec la pax romana. Mal protégés sur le limes (ligne de défense du Rhin) par des légions engluées dans les guerres civiles, les Gaulois se savent désormais à la merci des raids germains. La cité de Juliobona s'est donc retranchée derrière son castrum, à l'instar de toutes les grandes cités des Gaules. Une garnison veille sur les remparts, appuyée par une milice dans laquelle ont été enrôlés Pudor le grammaticus et ses amis Paternus et Lucius. Sur les remparts qui surplombent Juliobona, Pudor pense souvent à la belle Paula, fille d'un riche curiale et veuve depuis un an. Adolescent, il a été secrètement amoureux d'elle. Quand il la croise, il a le sentiment que lui-même ne lui est pas indifférent.
Quel avenir pour Pudor, le chrétien, et Paula, la païenne, en ces temps troublés où l'incertitude du lendemain pousse les êtres à assouvir des envies refoulées ?
Juliobona, derrière ses remparts, résistera-t-elle aux assauts des pirates saxons ? -
« La belle Cassandra, c'est votre femme ? Votre soeur ?
- C'est beaucoup plus que ça ! Mais nous pouvons dire que c'est ma soeur. »
Quand Wudi et Cassandra viennent au monde, cobayes d'une modification génétique visant à accroître considérablement leurs facultés, il est convenu de ne jamais les séparer.
Plus tard, ces as des arts martiaux aux cinq sens ultra-développés, riches et séducteurs, n'auront de cesse de protéger l'humanité.
Lorsqu'ils font la connaissance de trois ravissantes esthéticiennes prêtes à tout pour les satisfaire sur tous les plans, les aventures ne font que commencer pour Wudi et Cassandra.
Avec l'aide du FBI et de Scotland Yard, parviendront-ils à retrouver les bijoux volés de la couronne d'Angleterre ? Sauront-ils protéger leurs trois amies fidèles du tueur Angelo Scalfarini ?
De Londres à Marseille, en passant par Paris, plongez au coeur des aventures palpitantes pleines d'action et de sensualité de Wudi et Cassandra. -
Année 1916. 21 février, début de l'offensive allemande sur Verdun, rive droite.
Le 36e bataillon d'infanterie a subi d'énormes pertes en hommes, en matériel. Fargier est le seul gradé rescapé, il n'a sous ses ordres plus que cinq Mésanges, toutes les décisions reposent désormais sur lui, sur lui seul...
Timides, ébouriffés, le regard d'enfants égarés, vêtus d'habits gris-bleu, ne sachant pas trop ce qu'ils faisaient dans cette guerre, les Mésanges se retrouveront très vite dans l'enfer des hommes. Bon gré mal gré, ils resteront les garants d'un conflit devançant un plus grand charnier mondial.
« Les Mésanges bleues » se déroule pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale. Des hommes - mais également des femmes - de toutes nationalités vont donner leur vie au nom de la liberté. Des familles seront contraintes de vivre un destin modifié, un destin qu'elles n'auront pas choisi.
Ce récit émouvant rend hommage à tous ces hommes et à toutes ces femmes - parfois même à ces enfants - qui, après la guerre, ont basculé dans l'indifférence, l'oubli le plus total.
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Comment Pernette Balesturin, petite saltimbanque errante, aurait-elle pu imaginer devenir un jour Isabeau de Jardin, la demoiselle d'honneur de Diane de Poitiers, comtesse de Saint-Vallier, duchesse de Valentinois et favorite du roi de France Henri II ?
D'autant que pour elle tout avait mal commencé quand, en ce jour d'octobre 1530, alors que la famille royale venait de se reconstituer à la suite du retour en France des deux fils du roi François 1er après quatre années de captivité en Espagne, elle fut séparée par un coup du sort de son grand-frère bien-aimé et de ses parents. Elle n'avait que six ans, et la chose était d'autant plus cruelle que sa mère était sur le point de donner naissance à sa petite soeur.
Heureusement, le destin mettra sur son chemin un fidèle compagnon, un petit chien répondant au nom de Ploum, qui l'accompagnera dans son ascension jusqu'à la cour du roi. -
Dans une noble famille vivant sur les rives de la Dordogne, l'enfant qui naît est promis à un avenir d'aristocrate, mais il est affublé d'une monstrueuse anomalie anatomique et il est très vite rejeté par ses parents qui l'abandonnent à un berger.
Tout rappelle l'antique légende de Priape, ce dieu romain des jardins, des vignes, de la navigation, de la fécondité et de la virilité physique. Ici, c'est de la vie d'un homme dont il s'agit et du cadeau empoisonné que la nature lui a offert, faisant de lui un être à part.
Dans cet ouvrage, George Draipe nous transporte au XVIIIe siècle, sur les pas d'un jeune Périgourdin en quête de son identité sociale et sexuelle.
Parions que ce récit muet et réservé, conte cruel et dérangeant, saura ne laisser personne de marbre. -
Août 1914 des Bretons en Ardenne et Lorraine belges
Jean-Claude Gillet
- Beaurepaire
- 20 Décembre 2012
- 9782357671546
Été 1914, de part et d'autre de la frontière franco-belge, la Lorraine et l'Ardenne vivent encore, sinon dans la quiétude, tout au moins dans l'ignorance du drame qui se prépare. La campagne revêt le même aspect qu'aujourd'hui avec ses villages épars, ses prairies verdoyantes et ses forêts profondes. C'est ce paysage paisible qui va servir de cadre à la tragédie dont nous allons bientôt commémorer le centenaire.
En effet, le 3 août 1914, l'Allemagne déclare la guerre à la France et, le lendemain, elle en fait autant vis-à-vis de la Belgique dont elle viole la neutralité. L'armée allemande s'engage alors vers la France par la Belgique et amène les Français à l'attaquer sur le territoire belge. La 4e armée française va rencontrer la 4e armée allemande le 22 août sur une ligne de front s'étendant sur plus de soixante kilomètres de Bièvre à Baranzy.
Cent trente mille Français tomberont en Belgique lors des journées du 20 au 24 août 1914 dont plus de vingt-cinq mille sur le sol d'Ardenne et de Lorraine belges, faisant de cette bataille dite des frontières, où des régiments entiers sont décimés, une des plus meurtrières de la Grande Guerre.
Les Wallons et les Gaumais leur en sont toujours reconnaissants, et c'est avec beaucoup d'émotion qu'ils les honorent en remerciement de leur sacrifice.
Ce roman basé sur des faits historiques raconte notamment les aventures de deux jeunes Bretons, deux copains natifs de Pleyben dans le Finistère. Ils accompliront une longue et pénible marche jusqu'en Belgique, avant de combattre dans les forêts ardennaises et lorraines, l'un à Maissin, l'autre à Rossignol.
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Lorsque Cécile arrive en vue du camp de Roms, une fumée noire s'élève de plusieurs cabanes. Depuis trois ans, elle vient ici pour s'occuper d'une famille bosniaque qui a fui la guerre de Yougoslavie. Un peu plus loin, les gens du camp regardent sans un mot. Les visages sont fermés, sans expression. Cécile se demande si l'incendie n'est pas une vengeance de leur part. Qu'y a-t-il derrière ces figures impassibles ? De la haine, de la compassion ou du découragement ?
Cécile ignore qu'à partir de cet instant sa vie va basculer. En voulant comprendre les raisons de cet incendie qui a tué un membre de la famille et blessé gravement deux autres, elle va découvrir peu a peu que les personnes qu'elle côtoie tous les jours ne sont peut-être pas exactement ce qu'elles prétendent être... -
