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Benevent
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Chrétien pratiquant, fortement impliqué dans sa paroisse au sein de plusieurs types d'activités, l'auteur a longtemps suivi fidèlement les instructions et les orientations de l'Église. Cependant, depuis quelques années, l'observation du comportement de la hiérarchie ecclésiastique et de certaines de ses déviances lui a fait comprendre que l'espoir suscité par le concile Vatican II paraissait se dissoudre progressivement au fil des années. On assiste au contraire à un retour en arrière sur des conceptions dignes de Vatican I, du Syllabus, voire même du concile de Trente, conceptions qui semblent de nouveau à l'honneur : retour au décorum, à la culpabilisation, à la discipline autoritaire, aux exorcismes, bref à des conceptions moyenâgeuses où l'on devine la mise à l'écart de toute tentative de rationalité.
La réaction générale à ce type de critiques est de reporter sur la hiérarchie cette déviation du message évangélique : pour ces chrétiens contestataires, ce n'est pas l'évangile qui pose problème, c'est uniquement son application et l'interprétation qu'en fait le magistère.
Après avoir suivi un instant cette démarche, l'auteur a décidé de s'orienter vers une autre approche : revenir sur le canon des écritures afin de vérifier si leur caractère sacré intouchable était justifié ou non. Quelle n'a pas été sa surprise de constater que la Bible, aussi bien l'Ancien que le Nouveau Testament (ainsi que le catéchisme et les dogmes qui en résultent), regorgeaient d'irrationalités, de contradictions et de contes pour enfants. Le recours aux symboles et aux métaphores ne peut tout expliquer, il est vrai que l'interprétation historique et littérale ne peut plus être soutenue raisonnablement compte tenu des avancées de la science. Dans ces conditions les interprétations symboliques des théologiens ont tendance à se multiplier, ainsi chacun pourra choisir celle qui lui convient !
Pourquoi je ne suis plus chrétien met donc en exergue les contradictions et irrationalités de ces textes et les conséquences complexes qui en découlent, analyse qui a conduit l'auteur à abandonner la foi chrétienne.
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Scandales pédophiles, scandales financiers, adultères, divorces, divisions, querelles, sont devenus monnaie courante dans bon nombre d'églises du monde entier aujourd'hui. Comment l'Église dont le devoir était de " montrer la sagesse infiniment variée de Dieu " (Ep 3 : 10) a-t-elle pu ainsi, par ses actes, manquer le but (sens du verbe pécher en grec) ?
Le fonctionnement normal de l'Église se basant sur l'histoire des 12 espions envoyés par Moïse pour explorer le pays de Canaan (Israël actuel) et le conquérir, montre là où certaines églises ont manqué le but et indique le chemin à suivre désormais pour un fonctionnement normal. La relation verticale de l'Église avec Dieu, son gouvernement et la relation horizontale entre ses membres, y sont passés en revue et expliqués à la lumière de la Bible afin de permettre aux églises, tout en restant en phase avec leur temps, de retrouver leur véritable vocation, celle d'être " le sel de la terre et la lumière du monde " (Mt 5 : 13,14).
Ce livre, bien au-delà de réconcilier les chrétiens avec leur Église, a vocation de donner une image différente de l'Église aux non-chrétiens, dans l'espoir qu'ils s'y intéressent et y trouvent des réponses aux nombreuses questions qu'ils se posent sur Dieu, l'Église et la société. De plus, les principes qui y sont énoncés sont un véritable cours sur l'art de la stratégie et du management, à découvrir absolument.
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L'analyse des quatre évangiles canoniques effectuée par l'auteur est survenue comme la conséquence des interrogations multiples d'un chrétien qui a désiré approfondir les fondements de sa foi à la suite des évolutions importantes survenues dans l'église catholique depuis le concile Vatican II. Ces interrogations l'ont conduit à relire entièrement, attentivement et comparativement ce qui constitue le socle de la foi chrétienne : le nouveau testament et les quatre évangiles canoniques tels qu'ils sont, sans aucun préjugé, sans aucune influence, et sans aucun tabou.
Le titre choisi : L'évangile incroyable ! correspond à l'impression surprenante que lui a laissée la lecture des quatre évangiles canoniques tels qu'ils nous sont rapportés par l'Église et non tels que certains exégètes imaginent qu'ils devraient être. Cette lecture l'a convaincu que le personnage de Jésus ne pouvait être l'incarnation d'un Dieu et que toutes les croyances subséquentes ne pouvaient être vraies.
Le lecteur trouvera donc dans cette analyse uniquement quelques réflexions que le sens commun peut inspirer à quiconque relit attentivement les évangiles canoniques en oubliant, si possible, la tradition théologique ou dogmatique que l'église veut nous inculquer depuis 2000 ans.
Enfin, il est recommandé avant d'entreprendre cette lecture, d'oublier cette étonnante malédiction de Saint Luc, la malédiction de Jésus envers ceux qui rient (Luc 6, 25). Le ton ironique employé, parfois un peu caricatural, ne doit cependant pas faire oublier le sérieux des questions sous-jacentes. Cette analyse n'a pas pour but de scandaliser qui que ce soit mais simplement de susciter une réflexion personnelle sur les fondements de la foi chrétienne. L'auteur connaît les qualités humaines, le dévouement, et la charité de nombreux croyants, mais il ne peut admettre que de telles vertus puissent effacer les mensonges, les contradictions et l'irrationalité des écritures.
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Par son expérience de vie mouvementée, une femme pense pouvoir apporter un élément de réponse aux questionnements qui taraudent les esprits depuis la nuit des temps sur l'origine de la cruauté humaine.
Médium, professeur de danse, artiste et humaniste, pendant dix ans Sotcha vit une histoire d'amour dévastatrice qui fait ressurgir les fantômes de son passé. Pendant ces années, elle connaît aussi une expérience aux frontières de la mort, à la suite d'un très grave accident de voiture.
Par des activités paranormales provoquées et non-provoquées, elle réussit à sauver son équilibre psychique, elle parvient à expérimenter la vertu de la compassion et obtient involontairement des indications sur l'origine physiologique de la haine, la colère ou le ressentiment qui conduisent aux actes les plus répréhensibles comme le crime, le viol et toutes les violences connues...
La dernière de ses visions l'informe même sur une éventuelle fin de notre Monde tel que nous le connaissons...
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Comme pour l'analyse des quatre évangiles canoniques effectuée précédemment (cf. L'évangile incroyable aux éditions Bénévent), celle concernant les Actes des apôtres n'a pas pour but d'en faire l'exégèse, ni de procéder à une analyse philologique ou historique des faits rapportés par leur auteur, saint Luc en l'occurrence selon la tradition. En effet, des milliers d'exégètes ou de théologiens ont déjà effectué une telle démarche, mais ces auteurs étant pour leur grande majorité, juge et partie, et membres de l'institution chrétienne, qu'elle soit catholique ou d'autres tendances confessionnelles, ils ne peuvent déceler dans ces textes ce qu'une lecture attentive et indépendante rencontre presque à chaque instant : leur irrationalité.
Les exemples cités sont nombreux et dès le commencement, on remarque cette contradiction insensée dont l'auteur fait preuve entre la fin de son évangile (Luc 24, 51) et le commencement des Actes (1, 9). Il nous dit en effet à la fin de son évangile que Jésus " fut emporté dans le ciel " le soir même de sa résurrection, (ce qui est par ailleurs confirmé par Marc 16, 19), et le même auteur nous apprend dans les Actes que ce fut quarante jours plus tard ! Cette énorme différence, aussi étrange que cela paraisse, ne semble troubler ni les exégètes, ni, surtout, l'immense majorité des chrétiens ! Comment croire au récit de Luc, si dès le premier chapitre on constate une telle contradiction ?
Le texte est caractérisé par les multiples interventions de l'Esprit saint, se manifestant par des phénomènes extraordinaires : tremblements de terre, violent coup de vent, glossolalie, langues de feu. Luc aime le merveilleux, il multiplie les interventions angéliques, les manifestations de la puissance divine, les résurrections : deux dans les Actes. Il est l'évangéliste recordman des résurrections, avec un total de quatre si l'on y ajoute celles de son évangile, contre une seule pour les trois autres évangélistes !
Par ailleurs, Alfred Loisy nous fait remarquer que Luc ignore complètement la christologie de son héros Paul, lorsque l'on sait que les Actes furent rédigés une quarantaine d'années après les épîtres de Paul, on a du mal à comprendre cette lacune. Cette analyse n'a pas pour but de scandaliser qui que ce soit mais simplement de susciter une réflexion personnelle sur les fondements de la foi chrétienne. L'auteur a été élevé dans la religion catholique, il connaît les qualités humaines, le dévouement, et la charité de nombreux croyants, mais il ne peut admettre que de telles vertus puissent effacer les mensonges, les contradictions et l'irrationalité des écritures.
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L'auteur, ingénieur agronome, a travaillé dans le service public au Congo Belge devenu ensuite République Démocratique du Congo. Après une carrière où les moments difficiles n'ont pas manqué mais particulièrement riches en contacts humains les plus divers, il prend sa retraite dans le Midi de la France. Intéressé depuis toujours par le sens à donner à la vie et la réponse des religions, la catéchèse de ses enfants l'interpelle. Il se met alors à l'écriture pour tenter, au fil des ans, d'y voir plus clair, dans un monde déboussolé où, aux mains de fanatiques et de cyniques, le phénomène religieux confine aussi bien au ridicule qu'au tragique.
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Conçu pour être la clé de la Rédemption, c'est au fil du temps que Judas Iscariote découvre la vérité sur ses origines, sur sa famille, sur sa naissance. Douzième apôtre de Jésus-Christ, il apprendra les révélations les plus troublantes sur sa réelle identité, sur sa relation intime avec Jésus, sur Jésus lui-même, sur les Plans de Dieu, sur la réelle identité de Satan qu'il désaimait, et sur sa divine mission sur terre, notamment sur le « baiser » qui fera de lui le traître génétique de la chrétienté.
Plus fort que Da Vinci Code, aussi puissant que la Bible elle-même !
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Le bien et le mal, ou Dieu et le démon : ce sont des forces mentales qui nous sont bien supérieures. Bien qu'opposées, ces forces, de même nature, font partie du domaine de la pensée.
Essayons donc de développer les forces du bien, et de diminuer celles du mal.
D'autre part, nous ne vivons pas seul, mais au sein d'une communauté. Des influences mentales faites à distance et à notre insu peuvent donc nous inciter à faire du mal.
Cela nous amène à contrôler toutes nos pensées, et à ne faire nôtres que les pensées saines, rejetant impitoyablement toutes les autres.
Les forces mentales supérieures ont d'abord besoin de bien nous connaître. À cet effet, elles engagent avec nous des conversations mentales à distance et à notre insu : nous nous croyons seul, nous parlant à nous-même. Et nous révélons toutes nos pensées. Nous disons ensuite : « Dieu sait tout. » Le démon aussi sait tout de la même façon.
Nous connaissant bien, les forces mentales supérieures exercent ensuite leur influence par suggestions mentales volontaires, répétées autant que nécessaire, faites à distance et à notre insu.
Ne faisons que le bien, et nous serons heureux.
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Et si Dieu n'était pas aussi religieux que cela?
Gouingenet Agnès
- Benevent
- 1 Novembre 2007
- 9782756306490
La cinquantaine largement entamée, Pauline se retrouve seule, déracinée, veuve, sans enfant, sans réelle famille, mais avec la ferme impression de ne pas s'être perdue en route.
Son histoire est un roman qui trouve son origine dans un vécu humain plutôt flou, et évolue comme une fiction donnant à l'auteur (et au lecteur) l'illusion du précis.
Le bateau de sa vie est à quai, flottant, solidement ancré dans quelques certitudes. Mais le moindre souffle lui inspire d'aller au large, au loin, vers l'horizon qui unit ciel et terre, fil infini de l'espoir, ligne toujours présente mais indéfiniment changeante.
Le rêve prend-il ses racines dans un réel repeint par le désir ?
L'imaginaire est-il nécessaire à la compréhension de la vérité ?
Le roman de Pauline se définit dans l'inachevé, l'interrogation de la recherche, l'attente d'un accomplissement apaisant.
Le navire de l'agnosticisme de Pauline aurait-il du plomb dans « la » voile ?
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Le cheminement spirituel qui m'a menée au service de Dieu
Gisèle Sangelle
- Benevent
- 1 Octobre 2008
- 9782756309415
Depuis sa plus tendre enfance, Gisèle ressent de plus en plus de choses qu'elle-même ne peut expliquer.
Pour son entourage, cette jeune femme qui avait la joie de vivre et qui n'avait consacré jusqu'alors aucune importance à la vie spirituelle, ne pouvait que raconter des inepties. La jeune femme les a donc souvent dissimulées.
Subissant les perpétuelles violences de son mari alcoolique, Gisèle a désormais pour seul but le bonheur de ses enfants.
Mais lorsque ces choses qu'elle ressentait et percevait devinrent de plus en plus insistantes et mêmes handicapantes, Gisèle ne put les éviter plus longtemps.
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La destinée des mondes Tome 1 ; la genèse
France de Lea kondo
- Benevent
- 1 Novembre 2007
- 9782756307336
...le temps, aujourd'hui, demain peut-être... la Terre, son espace, sa fin et l'avènement du nouveau monde. L'Homme, son évolution et la naissance d'une bioculturite, d'une rebelle, d'une « fauve », d'une « mante » ... la consécration d'une Prêtresse, sa religion et sa prophétie.
« Chaque Empire qui atteint son apogée sème les germes de sa propre décadence ». Grâce à la future énergie du millénaire, Adan l'a expérimenté à travers une conquête spatiale menant vers le Code Angelus ; ces infinis improbables où croyances et pouvoirs ne font plus qu'un.
Mais, nul n'avait prévu que s'en mêle l'Amour. Ces amours impossibles qui convergent vers la Saga des Anges.
- Ne crains rien pour le « Psycho », lui dit-il. Ma mort ne changera plus rien au devenir des humains... J'ai le droit à un peu de bonheur moi aussi et ce sera près de toi : Morte ou vivante.
- Crois-tu que la vie accepte des existences comme les nôtres ? Nous avons été conçus, comme des erreurs qui embarrassent la nature, car nous sommes contre nature. Notre Amour est contre nature. Et sur nous, pèse le karma de la mort qui, sur l'Homme, s'est abattue depuis son commencement. J'ai tant de choses à te dire. Tant à t'avouer. Tant de vies à te révéler, mais je crains qu'il ne me reste plus assez de temps.
- Nous avons tout le temps du monde. Nous avons l'éternité.
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Raymond BAUDIER est né le 9 juillet 1928 à Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire). Issu d'un milieu modeste, il fait des études secondaires à Dijon et acquiert des connaissances en autodidacte.
Son livre est essentiellement constitué de constats et d'études dénonçant de façon non nominative l'irrespect, les carences et les imperfections dans le domaine des religions chrétiennes, des institutions politiques et chez quelques autres de ses contemporains.
La fin de l'ouvrage est complétée par un récit bucolique de sa jeunesse, passée à Dijon et sa banlieue où il vécut près d'un demi-siècle, et en Saône-et-Loire.
Il est marié et vit actuellement retraité en Charente Maritime.
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Vivre dans la lumiere de dieu et attendre son retour
Marie Llored
- Benevent
- 19 Juillet 2004
- 9782848713557
Marie LLORED est née en 1925, à Rasiguères, dans les Pyrénées Orientales, au sein d'une famille modeste, dont le père était maçon.
Les nécessités de la vie conduisirent toute la famile en Algérie, où elle passa la plus grande partie de son enfance. Elle grandit dans la foi chrétienne, parmi ses frères et soeurs, guidée dans sa croyance en Dieu par sa mère, qui lui enseigna la Bible dès son plus jeune âge.
C'est à l'âge de quinze ans qu'elle eut sa première apparition du Christ, et depuis ce temps, sa foi n'a cessé de grandir, malgré les drames qu'elle a vécus.
Tout au long de sa vie, elle reçut des signes et des messages de Dieu, et c'est aujourd'hui une grand-mère comblée qui nous fait partager dans cet ouvrage, l'incroyable révélation qu'un beau jour de Juin 1994, le Seigneur Tout-Puissant lui permit de découvrir sur l'image de son visage, telle qu'elle apparaît sur son linceul.
Bien au-delà de toutes les polémiques, et de toutes les considérations plus ou moins avérées, Marie LLORED nous offre cette page d'histoire, qui, aux yeux de millions de croyants, lèvera le voile sur un des plus grands mystères de la chrétienté.
Que nous soyons de différentes religions, ou couleur de peau, nous prions le même et unique Dieu. Tous ensemble, dans un même Esprit d'Amour, vénérer le Père Créateur, c'est donner tout son amour à celui qui a porté notre humanité.
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Attaqué de toutes parts depuis la Réforme, le catholicisme romain, ce christianisme si singulier, peut-être plus proche du polythéisme que d'un monothéisme authentique, a franchi allègrement le cap du troisième millénaire, connaissant même dans les dernières décennies du xxe siècle, grâce à un pape d'exception, un incontestable regain de prestige. Considéré par ses ennemis comme le symbole de l'obscurantisme, il est régulièrement sommé de se mettre au goût du jour, l'obsession de certains en ce domaine tournant particulièrement autour du préservatif, du mariage des prêtres ou de l'ordination des femmes !
à contre-courant du monde moderne, arc-boutée sur des dogmes anachroniques, sachant aussi délicieusement cultiver l'ambiguïté et le paradoxe, l'Église catholique fut tentée, un moment (Vatican ii), de suivre l'exemple protestant. N'ayant pu faire remonter son audience, et jugeant probablement qu'elle risquait en procédant ainsi de se dissoudre dans le paysage ambiant, elle semble depuis revenue à des positions plus traditionalistes. Tout en se plaçant dans une perspective désormais mondialiste (catholicisme = universalisme), et ne visant ni plus ni moins que l'éternité, l'Église romaine n'aurait-elle pas fait, en définitive, le pari de rester le dernier repère d'un monde occidental ayant tout aboli pour ne conserver qu'une loi, celle du marché ?