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Dualpha
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Dans Mission des Souverains, Saint-Yves d'Alveydre dé-montre que l'État chrétien tend vers une Constitution Unitaire, ayant trcis pouvoirs arbitraires, comme organismes typiques. " J'ai donné à cet organisme le nom de Synarchie, qui signifie avec principe, qui est exactement le contraire d'anarchie, sans principe, nom qui caractérise l'état du gouvernement général de l'Europe, surtout après l'année 1648", déclare Saint-Yves.
Selon lui, la Synarchie, qui est composée de deux mots grecs, " sun " et " arkhé " peut être traduite par "commandements avec principes ". Dans la Synarchie, l'autorité gouvernementale est tenue par plusieurs personnes à la fois : direction intellectuelle et spirituelle libérale, corps juridique libre, structure économique incluant toutes les catégories professionnelles.
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Véritable réactionnaire, ennemi acharné du libéralisme de la Révolution française de 1789, a fortiori de la révolution jacobine de Robespierre, le comte Joseph de Maistre est né à Chambéry en 1753. Son père était président du Sénat de Savoie, province alors dépendante du royaume de Sardaigne. Lui-même fut magistrat puis sénateur. En 1792, lors de l'invasion française, il quitte son pays pour se réfugier en Suisse puis à Turin, capitale du royaume. De 1803 à 1817 il représente à Saint-Pétersbourg, comme envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire, le roi de Sardaigne, son prince, Victor-Emmanuel 1er. Revenu à Turin en 1817, il est nommé premier président des Cours Suprêmes. Il décède à Turin en 1821.
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Le Rosaire médité avec les auteurs spirituels, les poètes et les artistes...
Préface de Daniel Hamiche. En privant la jeunesse de la connaissance des oeuvres artistiques, et donc, par corollaire, de la connaissance du christianisme tel qu'il a été vécu, médité et illustré par une foule d'artistes, on la prive aussi de ses racines culturelles et spirituelles : de ses racines chrétiennes. Il fut un temps où l'humble et paisible pratique du chapelet était considérée comme un usage au mieux suranné au pis détestable digne d'être relégué au musée des obscurantismes médiévaux... C'est dire qu'en cette époque, on aurait volontiers fait un autodafé de l'ouvrage de l'abbé Molin en ruminant peut-être, tant qu'à faire, la vilaine pensée de l'y jeter avec...
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Jésus de Nazareth, le grand consolateur
Bernard Plouvier
- Dualpha
- Verites Pour L'histoire
- 29 Août 2008
- 9782353740871
Ce merveilleux personnage ne s'est jamais présenté comme un dieu(il ne délirait nullement, lui !), mais comme un prophète prêchant un Dieu-Père des humains, de tous les humains, et dieu d'amour... et non le Yawhé sectaire, colérique, un dieu racistene voulant du bien qu'à sa « race élue » !
Ce n'est que la veille de sa mort, dans des conditions très particulières bien détaillées dans le livre, que Jésus Christ a accepté de répondre « oui » quand on lui demandait s'il était le Messie, appellation qu'il avait toujours repoussée les trois années de sa prédication.
C'est Saül-Paul, en totale contradiction du successeur désigné par Jésus, son frère Jacques, qui a fait de lui un « dieu ». La religion « chrétienne » ne devrait s'appeler que « paulinienne » ; elle ne repose que sur le délire d'un épileptique, le sieur Saül-Paul, considéré comme « un fou », par les deux premiers « évêques » de Jérusalem, Jacques le demi-frère de Jésus et Siméon, son cousin.
La thèse de ce livre repose sur les évangiles apocryphes : ils révèlent un Jésus fort ambigu dans sa prédication, très savant (son langage prouve qu'il s'est frotté aux philosophes grecs). L'auteur, après analyse d'une douzaine de ces évangiles, estime que cet être exceptionnellement bon a progressivement abandonné sa foi en dieu, mais a prêché un dieu de bonté et d'amour ainsi que l'espérance de la « vie éternelle » par compassion envers l'humanité souffrante. S'il est un imposteur, c'est par pure bonté d'âme, par amour du genre humain. des imposteurs de ce type valent infiniment mieux que de fort honnêtes révolutionnaires.
L'histoire de Jésus est celle de l'être le plus exquis qui ait jamais été engendré par un couple humain (et si Jésus a repris le thème d'Akhénaton du Dieu-Père, c'est peut-être parce que son père était un homme remarquable (c'est le thème de la première partie du livre). Jésus est une merveille et sa « religion » un (beau ?) mythe, issu des hallucinations de Saül-Paul. La quatrième partie raconte la genèse de ce mythe.
Ce livre est un livre d'histoire pure, d'un auteur émerveillé par le personnage central... qui est l'élément majeur d'un trio... Encore une nouveauté de ce livre !
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La quete initiatique dans le mystere chretien
Gambirasio D'Asseux
- Dualpha
- 11 Mars 2005
- 9782915461350
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Le Christ décrypté n'est pas la énième histoire de Jésus.
De ce point de vue, la pensée spirituelle est pourvue jusqu'à la fin des temps. On aura beau multiplier les livres à l'infini, l'enfant de Nazareth reste un grand inconnu. Jusqu'à ce qu'il se manifeste lui-même, personne ne pourra changer cette réalité. Par contre, nombreux sont ceux qui, jouant de ce flou historique, en profitent pour affûter des armes contre l'Eglise en visant la personne même du Christ en qui s'exalte la présence de Dieu, ou pour le dénigrer à travers différentes postures caricaturales calomnieuses, histoire de troubler les esprits et de porter des coups décisifs contre la chrétienté.
C'est en réaction à cet état de choses que l'auteur ramène, selon une démarche non conventionnelle, le phénomène Jésus à sa vérité, vérité unique, indiscutable et indiscutée, contre laquelle aucune adversité n'a de prise. Comme il arrive souvent, l'ouvrage de Jean-Louis Orner prend en compte une situation de fait induite par des attaques convergentes contre l'Eglise catholique, où l'on retrouve les ingrédients de la dérision la plus grossière avec le fatras habituel de l'anticléricalisme le plus éculé, tel que l'illustre, par exemple, dans son Traité d'athéologie, le philosophe " hédoniste " Michel Onfray.
Face au désarroi d'une Eglise catholique en proie au doute, rendue à l'impuissance par les effets pervers et les déviations de Vatican II, des chrétiens relèvent la tête.
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De la terre au ciel... Cet ouvrage a été publié pour la première fois en 1996 sous le titre Dieu seul purifie. Cette nouvelle édition a été revue, augmentée et le titre modifié. Dans la page de couverture, il était écrit : " Au fil de ces promenades de l'esprit, ce sont les vérités de la foi que l'on rencontre ; et quand on croit divaguer, on s'aperçoit qu'on s'élance vers Dieu qui seul purifie. " Pour cette réédition j'ai préféré au titre Dieu seul purifie, celui de Promenades de l'esprit. Se promener c'est marcher doucement, s'arrêter pour mieux regarder les alentours de notre promenade ou cueillir une fleur sur le bord de la route... Ce livre est donc une invitation à se promener sur la route qui mène de la terre au ciel, en ne négligeant pas les beautés que la terre dispose sur notre chemin tout en sachant que le ciel est le but de notre promenade.
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G.K Chesterton (1874-1936), écrivain majeur de la littérature anglaise, dans l'enquête du père Brown intitulée « Les trois instruments de la mort », relève à propos de l'un des personnages : « Il appartenait à cette classe de catholiques négligents qui ne se souviennent de leur religion que lorsqu'ils se trouvent dans l'embarras. » Il en va souvent de même pour les Nations. Ainsi les 27 pays qui constituent actuellement l'Union européenne ne se souviennent guère qu'elles sont placées sous la protection de Saints Patrons. La laïcité - modérée ou forcenée, positive ou n'importe quoi - n'incite pas à fonder la construction de l'Europe sur le roc de ceux qui manifestent la présence de Dieu au sein des Nations.
La pratique de donner des saints comme patrons aux nations est ancienne, mais elle s'est particulièrement développée au XXe siècle sous l'impulsion des papes. Ainsi, pour la France, la Vierge Marie en fut déclarée patronne principale et sainte Jeanne d'Arc patronne secondaire par le pape Pie XI en 1922. Pie XII, en 1944, leur adjoignit sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la Sainte Face.
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François d'Assise ; l'utopie évangélique et l'attente de la Parousie
Bernard Plouvier
- Dualpha
- Verites Pour L'histoire
- 27 Août 2014
- 9782353742769
Depuis huit siècles, un personnage fascine quantité de chrétiens, d'athées et d'agnostiques, voire même de quelques musulmans non fanatiques : Jean-François Bernardone, plus connu sous l'appellation de François d'Assise. L'on a tenté de replacer cette vie exceptionnelle dans son contexte historique et théologique. François a vécu 44 années, situées à la jonction des XIIe et XIIIe siècles, dans l'Italie du centre, ravagée par les guerres entre cités rivales et le conflit de très longue durée opposant papes et empereurs pour la domination territoriale du pays. En cette époque d'enrichissement indéniable de la société urbaine, grâce à la mise en chantier de multiples bâtiments, grâce à l'artisanat textile et au négoce en Europe occidentale, les meilleurs des chrétiens aspirent à un genre de vie austère, proche de cette pauvreté évangélique dont on parle tant, alors. C'est aussi la grande époque des illuminés qui annoncent l'imminence de la manifestation de l'Antichrist tant attendu, car il doit précéder le retour glorieux du Fils de Dieu, cette Parousie que tous les chrétiens attendent depuis la mort de Jésus de Nazareth (et, en tant que prédécesseur, l'Antichrist est aussi l'Antéchrist). C'est enfin la période des 3e, 4e et 5e Croisades, François participant à sa façon, pleine de noblesse et de bonté, à la 5e. S'il ne reçoit pas « la palme du martyre », qu'il cherchait peut-être, il contracte, en Égypte ou en Terre Sainte, la maladie qui hâtera sa mort. L'on propose une explication médicale inédite aux « stigmates », qui s'intègrent si bien aux manifestations pathologiques multi-viscérales de l'implacable mal de François. Durant les six dernières années de sa vie, François a joyeusement enduré les tourments de la maladie et la tristesse de voir l'Ordre qu'il avait fondé s'éloigner petit-à-petit de l'idéal de pauvreté, d'humilité, de foi naïve et de pratique de la charité, un idéal jugé inaccessible au commun des mortels par des souverains pontifes à la fois admiratifs du personnage et sceptiques quant aux possibilités de descendance spirituelle, sauf à modifier, en l'adoucissant, le Règle de vie instaurée par François. Il demeurera, aussi longtemps qu'il existera des êtres humains, le poète lyrique de l'agapè, cet amour de l'homme pour son créateur supposé et pour l'ensemble du monde animal.
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Mission des souverains
Saint-yves d'alveydre
- Dualpha
- Grande Hierophanie
- 10 Juillet 2020
- 9782353744930
Préface de Richard Raczynski Dans Mission des Souverains, Saint-Yves d'Alveydre démontre que l'État chrétien tend vers une Constitution Unitaire, ayant trois pouvoirs arbitraires, comme organismes typiques.
« J'ai donné à cet organisme le nom de Synarchie, qui signifie avec principe, qui est exactement le contraire d'anarchie, sans principe, nom qui caractérise l'état du gouvernement général de l'Europe, surtout après l'année 1648 », déclare Saint-Yves.
Selon lui, la Synarchie, qui est composée de deux mots grecs, «?sun » et « arkhé » peut être traduite par « commandements avec principes. » Dans la Synarchie, l'autorité gouvernementale est tenue par plusieurs personnes à la fois : direction intellectuelle et spirituelle libérale, corps juridique libre, structure économique incluant toutes les catégories professionnelles.