À propos

«La bienveillance est le contraire de la mièvrerie : c'est une arme de choc, une arme de joie, une arme absolue.»Utiliser cette arme pour contrer les difficultés de la vie, la souffrance, l'injustice, les guerres ?En s'appuyant sur des exemples personnels et des preuves scientifiques, Didier van Cauwelaert nous montre qu'il est possible de tout changer : notre rapport aux autres, à nous-même et à l'Univers, grâce à la bienveillance - comme le font les animaux, les plantes et même les bactéries...Et c'est un enjeu crucial pour l'avenir de l'humanité.


Rayons : Vie pratique & Loisirs > Vie quotidienne & Bien-être > Bien-être > Développement personnel


  • Auteur(s)

    Didier Van Cauwelaert

  • Éditeur

    J'Ai Lu

  • Distributeur

    Union Distribution

  • Date de parution

    20/01/2021

  • Collection

    Bien Etre

  • EAN

    9782290236185

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    286 Pages

  • Longueur

    17.8 cm

  • Largeur

    11 cm

  • Épaisseur

    1.6 cm

  • Poids

    210 g

  • Support principal

    Poche

Didier Van Cauwelaert

Didier van Cauwelaert est né à Nice en juillet 1960.
Didier van Cauwelaert commence à écrire des romans très jeune, en fait à l'âge de 8 ans. L'année suivante, il envoie son premier manuscrit, un polar, l'histoire d'un serial Killer en culottes courtes, aux éditions Gallimard, sûr d'être publié. Refusé par les éditeurs pendant 13 ans, il persévère. Passionné de bandes dessinées, il écrit alors un scénario qu'il envoie au peintre Marc Chagall, le voisin de son oncle, pour qu'il le dessine (refus poli). À 12 ans, il écrit le livret d'un opéra pour guitare qu'il envoie à Alexandre Lagoya (aucune réponse).
Sa première publication se fait dans le 'courrier des lecteurs' du magazine 'Télé 7 jours', que l'entretien imaginaire du jeune auteur avec Greta Garbo a séduit Après quelques années consacrées au théâtre (il joue Sartre, met en scène Beckett, Anouilh, lonesco) et une brève carrière de critique littéraire pour une télévision régionale. La consécration, attendue depuis plus de dix ans, vient en 1982 avec la publication de son premier roman Vingt ans et des poussières.
En 1983, alors que se joue au théâtre sa pièce L'Astronome, il fait son service militaire au 12e Régiment du Train, avec Patrick Bruel. Ensemble, ils écrivent et montent le spectacle de Noël pour les enfants des gradés. Cette action héroïque leur vaut la médaille du régiment.
Il a attendu longtemps le succès, mais aujourd'hui, avec l'impulsion du prix Goncourt en 1994, les ventes de ses romans atteignent les 700 000 exemplaires. Il admire Marcel Aymé de même que Romain Gary.
Il reçoit le prix Goncourt en 1994 pour Un aller simple, le prix de la Fondation del Duca pour son premier roman, Vingt ans et des poussières, le prix Roger-Nimier en 1984 pour Poisson d'amour, le prix du jeune théâtre de l'Académie française et prix de la fondation Johnson pour L'Astronome, le Grand Prix des lecteurs du Livre de poche en 1999 pour La vie interdite, le prix Gutenberg du livre 1988 pour Les vacances du fantôme.
Didier Van Cauwelaert s'est également vu attribuer le Molière 1999 du meilleur spectacle pour son adaptation au théâtre du Passe muraille. Ses pièces (L'astronome, Le nègre, Française et Noces de sable) lui ont valu le Grand Prix du théâtre de l'Académie française. Il se frotte régulièrement au cinéma, comme scénariste et dialoguiste (La Maison assassinée, L'Invité surprise, Triplex, Feu sur le candidat, Un Aller simple) et comme réalisateur (Les Amies de ma femme). L'auteur affirme aimer écrire dans la quiétude de la campagne et préférer la fréquentation des jardiniers à celle des milieux littéraires. Il tient à s'adresser au plus large public possible, pas seulement aux intellectuels, et c'est d'ailleurs par peur de l'hermétisme qu'il n'écrit pas de poésie. Quand il n'écrit pas, il fait du sport, s'occupe de son jardin ou de ses vieilles voitures : une Rover 1960 et une Jaguar 1968.

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