Les Cosaques (préface Elena Balzamo)

Traduit par MARIA-LUISA BONAQUE

À propos

Riche et désoeuvré, las des fastes de Moscou, le jeune Olénine aspire à l'aventure. Aussi part-il faire son service militaire dans le Caucase, une région lointaine dont l'exotisme l'attire. Au coeur de majestueuses montagnes, entouré d'un peuple fougueux qui puise sa force dans la nature, Olénine se prend à rêver d'une vie nouvelle, plus simple et plus juste.
Lire Les Cosaques, c'est respirer l'air du Caucase.
D'une étonnante richesse poétique, l'oeuvre la plus importante du jeune Tolstoï offre l'expérience sensuelle d'une terre où se joue l'éternelle confrontation entre modernité et tradition, civilisation et nature sauvage.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Léon Tolstoï

  • Traducteur

    MARIA-LUISA BONAQUE

  • Éditeur

    Gallmeister

  • Distributeur

    Hachette

  • Date de parution

    13/04/2023

  • Collection

    Litera

  • EAN

    9782351789049

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    274 Pages

  • Longueur

    19.2 cm

  • Largeur

    11.6 cm

  • Épaisseur

    2.2 cm

  • Poids

    352 g

  • Diffuseur

    Hachette Diffusion

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Relié  

Léon Tolstoï

Léon Tolstoï (1828-1910) est un des géants des lettres russes. Ses romans et ses nouvelles se mêlent de réflexion morale et philosophique. Mobilisé lors de la guerre de Crimée (1853-1856), il témoigne de son expérience militaire dans les Récits de Sébastopol (1855). Guerre et Paix (1869), une reconstitution historique des guerres napoléoniennes, est aussi une réflexion sur la violence des conflits. Entrepris en 1873, Anna Karénine trouvera sa forme définitive en 1877, après que Le Messager russe, qui le publiait en feuilleton, eut désapprouvé son dernier chapitre. Tolstoï entame alors une quête spirituelle et morale qui se reflète dans La Mort d'Ivan Ilitch (1886), La Sonate à Kreutzer (1889) et plus encore dans Résurrection (1899), dont le héros rencontre la figure du Christ. À la fin de sa vie, il devient un maître à penser, prônant une vie simple et morale. Apôtre de la non-violence, il inspire directement le Mahatma Gandhi et Romain Rolland.

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