À propos

Un siècle après sa mort survenue le 21 janvier 1924, que reste-t-il de Lénine?? Fondateur et théoricien du bolchevisme, il devient, après le coup d'État d'octobre 1917, le principal dirigeant du parti unique au pouvoir. Alors qu'aujourd'hui certains s'emploient à le réhabiliter, il est nécessaire de revenir sur les racines de ce régime qui, dès décembre 1917, crée une terrifiante police politique?: la Tchéka, devenue Guépéou en 1922, puis NKVD en 1934, à la tête du Goulag. Ce recueil de textes éclaire d'une lumière crue la nature d'un système politique fondé sur la terreur. Pour Lénine?: «?un bon communiste est aussi un bon tchékiste.?»


Rayons : Sciences humaines & sociales > Sciences sociales / Société > Thèmes et questions de société > Changement social / Histoire sociale


  • Auteur(s)

    Jacques Baynac, Alexandre Skirda, Charles Urjewicz

  • Éditeur

    L'Échappée

  • Distributeur

    Belles Lettres

  • Date de parution

    19/01/2024

  • EAN

    9782373091496

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    300 Pages

  • Longueur

    18.5 cm

  • Largeur

    12 cm

  • Épaisseur

    2.2 cm

  • Poids

    270 g

  • Diffuseur

    Belles Lettres - Textes

  • Support principal

    Grand format

  • Dewey

    947.084

Infos supplémentaires : Broché  

Jacques Baynac

Jacques Baynac, historien et
documentariste, est notamment
l'auteur des Socialistes-révolutionnaires
russes (Robert Laffont, 1979), de
Mai retrouvé (Robert Laffont, 1978)
et de Présumé Jean Moulin (17 juin
1940-21 juin 1943) (Grasset, 2007).

Alexandre Skirda

  • Naissance : 1-1-1942
  • Décès :1-1-2020 (Mort il y a 5 ans à l'âge de 78 ans)

Alexandre Skirda (1942-2020)
est un spécialiste de l'histoire du
mouvement révolutionnaire russe.
Il a notamment publié Nestor
Makhno. La lutte pour les soviets
libres en Ukraine. 1917-1921
(Spartacus, 2020) et Kronstadt
1921. Soviets libres contre dictature
de parti (Spartacus, 2017).

Charles Urjewicz

Charles Urjewicz est professeur
émérite d'histoire de la Russie
et du Caucase à l'Institut national
des langues orientales (Inalco).

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