À propos

La collection Les Chefs-d'oeuvre voudrait satisfaire le désir qui pousse aujourd'hui beaucoup de Français à remonter aux sources de leurs traditions nationales et à se retremper dans ce que l'esprit humain a produit de meilleur dans tous les temps et dans tous les pays.
Elle comprendra une ample série de textes soigneusement choisis, présentés par une élite de savants et de critiques, - toutefois sans aucun appareil d'érudition : notre ambition est de faire que ce trésor soit accessible, non seulement aux élèves des écoles, mais au grand public, pour lequel Les Chefs-d'oeuvre devraient constituer une bibliothèque de culture générale, aisément maniable et à la portée de toutes les bourses. Notes bibliographiques, introduction, notes au texte (en très petit nombre) n'auront d'autre but que de rendre la lecture facile, l'oeuvre vivante et toute proche du lecteur.
Nous voudrions aussi que le publie étranger trouvât dans Les Chefs-d'oeuvre la preuve que l'esprit français reste plus que jamais ouvert à toutes les idées humaines et à toutes les formes de la beauté.


Rayons : Littérature > Poésie


  • Auteur(s)

    Johann Wolfgang von Goethe

  • Traducteur

    JEAN FOURQUET

  • Éditeur

    Nouvelles Editions Latines

  • Distributeur

    Nel

  • Date de parution

    19/05/1946

  • Collection

    Les Chefs-d'oeuvre

  • EAN

    9782723399500

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    78 Pages

  • Poids

    70 g

  • Support principal

    Grand format

Johann Wolfgang von Goethe

Goethe (1749-1832) qui a traversé tous les courants de son temps, les Lumières, le préromantisme, le néoclassicisme, et dont la carrière littéraire a débuté par un succès européen ( Les Souffrances du jeune Werther ), est devenu très vite la forme incarnée du « génie » : poète, romancier,
dramaturge, savant, diplomate (Napoléon lui-même a souhaité le rencontrer en 1808), conseiller politique du duc de Weimar. C'est de cette ville qu'avec Herder, Schiller et Wieland, il rayonna sur toute la vie culturelle de son temps, et qu'il contribua à forger l'allemand moderne. Il fut l'idéal de la bourgeoisie éclairée et, comme le résume Nietzsche : « On pourrait dire qu'en un sens, le XIXe siècle a également aspiré à atteindre
tout ce que Goethe a lui-même cherché à atteindre personnellement : l'universalité de la compréhension, de l'acceptation, une manière de laisser-venir-à-soi le monde entier, un réalisme intrépide, le respect de
tous faits. »

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