Les mystères du diamant bleu

Le Diamant bleu est découvert en inde au xviiie siècle, enchâssée dans une statue de Boudha. un prêtre la vole. il est retrouvé mort peu après. la pierre réapparaît en France dans les mains d'un aventurier, Jean-Baptiste tavernier qui la vend en 1668 à louis xiv. le roi la fait retailler et le diamant prend le nom de Bleu de France. lousi xv, louis xvi, marie-antoinette le possèdent successivement. en 1792, il est volé et réapparaît à londres. taillé à nouveau, il est acheté par le Banquier Hope dont il prend le nom. ruinés, les héritiers de Hope le vendent à Jacques Collet qui se suicide. on le retrouve dans les mains d'un prince russe, ivan Kanitovitch bientôt assassiné puis devient la propriété de sultan abdul Hamid, destitué quelques mois plus tard. son propriétaire suivant meurt dans un accident de voiture avec sa famille. le Hope traverse alors l'atlantique acheté par John r maclean, propriétaire du Washington post qui connaîtra une fin tragique, dans un asile, après avoir vu mourir son fils et sa fille. le diamant passe ensuite entre les mains de plusieurs diamantaires dont Cartier, pour finir par être acheté par Harry Winston, le célèbre joaillier new Yorkais qui l'enverra un jour, par la poste, dans une enveloppe non recommandée au smithsonian institut de Boston où il se trouve aujourd'hui. patrick voillot retrace dans un récit palpitant les aventures de ce diamant de légende qui porta malheur à tous ses propriétaires.
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